J'attendais, j'ai regardé chaque seconde ma montre. Ils sont arrivé au bout de sept minutes et quarante deux secondes. Quelle rapidité je me suis dit. Je n'ose pas sortir de peur que ce ne soit pas eux. Mais vue qu'il m'ont dit d'aller dehors, je rassemble mon courage à deux mains et quitte la pièce où je me trouve.
Une fois dehors, il y a trois voitures de police et une ambulance. La plupart des personnes se sont dirigé en premier vers les blessés. Seul une fille, une policière un truc dans ce style s'approche de moi.
"- C'est toi qui nous a prévenu ? me demande t-elle.
- Oui.
- C'est très, tu as très bien fais. Tu as peut être sauver la vie de toutes ces personnes. "Elle me prend pour qui ? Un bébé ? Je sais que je leurs ai sauvés la vie. Je sais que c'est ce qu'il faut faire comme même.
Tout à coup, du bruit se fait entendre dans les bois, un craquement de feuille sûrement. Quelqu'un qui marche ou plutôt courre. Quelqu'un qui s'échappe. Tout le monde se regarde quand enfin quelques instants plus tard quelqu'un prend la paroles.
"- Faites la rentrer ! Appelez une équipes de renforts ! On y va. On va voir se qui s'y passe, ordonne un homme grand et musclé qui devait être le chef. "
Tout le monde s'exécutent. On me fait rentrer dans la maison. Des renforts vont arrivé. Ils ont été prévenus. Cinq personnes, tous des hommes partent en direction de l'immense forêt qui entoure les lieux.
Ils mettent plus d'une trentaine de minutes avant de revenir mais seulement à quatre. Je sort quand je les voit approcher. Certes ils sont à quatre mais ils ont réussi à arrêté l'homme qui a causer tous se carnage.
"- Ou est Marc ? demande la fille qui pendant tous ce temps était rester avec moi.
- Il est blessé.
- Comment ça ? Blessé ? Juste blessés ?
- Il est mort, je suis désolé, répond le chef.
- Quoi ? Non c'est pas possible, pas lui. Que c'est-il passé ?
- Je suis désolé, je peut pas t'en parler Carla, il va y avoir une enquête. "Elle se met à pleurer. Des larmes ruissellent sur ses joues. Elle ne peut les arrêter. Un instant plus tard, elle regarde l'homme coupable et crie énervé :
"- C'est toi le sale type qui a fais sa ? Je te jure, je pourrais te tuer sur le champs. "
Elle attrape son arme mais n'a pas le temps de la lever que le chef de la brigade comprend. Il se jette donc sur elle ce qui la fait perdre équilibre et tomber. Il lui arrache par la suite son pistolet des mains.
"- Carla, arrête, ce n'est pas sa faute, il n'a rien fais à Marc, lui dit-il.
- Tu crois que je vais te croire ? Et tiens, comment se fait-il que ça ne te fasse rien ? Marc était ton frère Lilian ! Il a tué ton frère et mon mari et toi tu trouve une seule chose à faire, prendre sa défense. C'est une honte !
- Oui c'était mon frère. Oui c'était ton mari. Mais non je ne prend pas sa défense car il n'a rien fais. Il y est pour rien. Tu n'était pas la-bas, tu ne sais pas ce qui s'est passé, s'énerve Lilian.
- Certes je n'étais pas là-bas mais c'est tellement logique. Tu as peur que j'y aille, tu as peur que je meurt. Tu m'aimes comme au tout premier jour que Marc m'a présenté à votre famille. Tu as toujours tous fait pour que je rompt avec lui. Tu serais même capable de le tuer pour que je sorte avec toi. "Tout le monde les regardent sans dire un mot, sans bouger. Certains policiers dévisagent Lilian, d'autres Carla. Ce silence n'est pas de courte durée, il n'est pas éternelle. Quelques instant plus tard, la voix calme, Lilian reprend :
"- Oui je t'aimais et je t'aime toujours. Mais Marc était mon frère, jamais j'aurais ose le tuer pour t'avoir. Tu n'es pas un objet Carla. Tu ne m'a jamais aimé, je le sais. Tu me détestait au début, un peu comme maintenant. Je n'ai pas peur que tu y ailles mais je préfère envoyer des personnes plus expérimenté que toi. J'aimais Marc. C'était mon frère, jamais j'aurais voulu le tuer, rajoute t-il à la fin."
Ces paroles sont sincères. On le sens à sa voix. Il pleurs, en tout cas il a les larmes aux yeux. Carla pleurs toujours elle aussi. Elle se retourne et part seul à pied vers la ville sans dire un mot.
"- Je vais avec elle Lilian. Reste ici, occupe toi de l'enquête, moi je m'occupe de Carla, propose un homme très beau gosse.
- Merci. "Il part. Je ne comprend pas vraiment ce qui se passe. Tout est passé si rapidement, en un fragment de minutes.
Une femme vêtu d'une blouse blanche, sans doute un médecin s'approche de moi pour m'avertir qu'il y a qu'un seul mort. Elle me présente ses condoléances. Elle me rassure au suivant en me disant que toutes les autres personnes sont vivante et qu'elle vont être emmené dans l'hôpital le plus près. Avant de repartir, elle me demande si j'ai besoin et si je veut quelques chose. Je répond négativement donc elle s'en va.
Les policiers ont repris sérieusement leur travail. Ils cherchent des traces d'empreintes ou quelque chose qui peuvent les aider. Un d'entre eux s'approche de moi.
"- Y a t-il quelqu'un à prévenir ? me demande t-il.
- Non enfin je croit pas. Ce n'est pas mes parents mais ceux de ma meilleure amie décédée. Je vais toujours les voir depuis sa mort. Nous sommes très proches. "Il fallait que je trouve vite fais une excuse et seul celle la est parvenus à ma tête. C'est aussi la seule qui me paraît valable et logique.
"- Et pour toi, veux-tu que je prévienne tes parents ? poursuis l'homme.
- Non merci.
- Je ne veux pas te faire peur mais tu vas devoir venir au commissariat avec nous pour déposer ta déposition. Tu es mineure et il te faudra un adulte lors de l'interrogatoire avec toi.
- Obligatoirement mes parents ?
- Non mais quelqu'un en qui tu as confiance.
- Ma sœur par exemple ? Ça passe ?
- Si elle est majeur oui.
- Elle a 21 ans.
- Alors donne moi son numéro je vais la prévenir, on va t'accompagner jusqu'au poste de police où tu pourras l'attendre. "Il l'appelle ma sœur - je lui ai donner son numéro - qui accepte de venir sans problème. Une fois le coup de téléphoné terminé, je vais chercher le reste de mes affaires à l'intérieur puis nous partons en direction du commissariat.
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Revenue ...
Teen FictionElle est là ... Dehors ... Je la voit... Je ne rêve pas. Je ne dors pas. Je suis réveillé. Elle me regarde. C'est bien elle. Je la reconnaît. C'est Neela, elle est vivante.