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Toi, cœur,

A qui l'on donne la forme d'un cœur,

Mais qui est comme un rubis,

Qui donne un rythme à la vie.


Tu es le moteur,

Qui décide de nos humeurs,

Mais fragile, 

Tu veux te construire comme de l'argile.


Tes petits battement,

Que j'entends paisiblement,

M'apaise,

Et me mette à l'aise.


Parfois tu te remplit de noirceur,

Parce que parfois tu fais face à des arnaqueurs,

Qui te volent,

Et surtout t'abandonnent.


Petit cœur,

N'est pas peur,

Tout va aller pour le mieux,

Ce n'est pas pour maintenant les cieux.


Le ballet des mots Où les histoires vivent. Découvrez maintenant