Chapitre 1: L'enfer

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PDV Lou:

Ça fait 10 ans que je suis dans cet orphelinat et dans ce monde. J'ai rencontré Alice qui a le même âge que moi, mais elle, elle est arrivée quand elle avait 7 ans. Ses parents sont morts mais elle n'a jamais sut pourquoi, comme moi. Elle est très gentille et on déteste toutes les deux cet endroit. Il est sombre, froid et grand, même trop grand par rapport au nombre de personnes dedans.

Aujourd'hui comme tout les autres lundi on a la messe à 11h, mais la directrice a le malin plaisir à nous réveiller à 6h, je me lève et je tire les cheveux d'Alice pour la réveiller. A ce moment Mme Daching entre dans le dortoir en secouant sa cloche.

Mme Daching: Debout tout le monde ! Aller vous lavez, vous sentez mauvais !

Elle part après avoir levé brutalement Alice qui était resté dans son lit. Je me dirige vers notre salle de bain et prends une cabine de libre, je me douche et resort habilé de la jupe grise hideuse, de la chemise blanche tout aussi moche et du pull gris par-dessus la jupe comme le veux le réglement, il ne faut pas oublié les chaussettes hautes noires et les ballerines noires vernis qui sont affreuse. Alice m'attend, comme à son habitude devant le dortoir. On va prendre notre déjeuner et après cela nous allons avec les autres enfants dans la grande chapelle de l'orphelinat. [...] Il est déjà midi quand nous sortons de la messe. C'est notre "moment de détente" qui dure 15 min. Je vais avec Alice dans notre coin habituel à côté d'un arbre qui est un peut à l'écart des autres. Quand tout d'un coup, on entend deux personnes discuter:

?: Il faut que tout soit prêt pour ce soir je veut que tout soit parfait pour que les invités ne soit pas déçus.

?: Oui, pratiquement tout est prêt il reste encore quelques retouche, nous les accueillerons tous dans la salle commune !

?: Surtout n'oublie pas de demander au gardiens de tenir les enfants éloignés, je ne voudrai pas qu'ils nous dérangent.

Les personnes s'éloignent et la cloche retentit. Nous nous dirigeons vers notre salle de français, [...] le cours se fini et on on se dirige vers le réfectoire aujourd'hui cuisse de grenouille et épinard en dessert il y a un yaourt nature. On va s'assoir et on mange, une fois fini on sort du réfectoire, comme nous avons mangé dans les derniers, la sonnerie retentit et le professeur d' histoire-géo vient nous chercher, nous montons dans la salle et le cours commence, un cours très ennuyeux.

***

1 heure plus tard, le cours est fini, je me demande vraiment à quoi sert ce cours alors que nous avons déjà étudier 10 fois la carte de notre monde... dans la journée nous avons seulement 3h de cours, là c'est la pause ( le moment détente ) avec Alice on va vers "notre" coin.

Alice: Bon, alors ? On fait quoi se soir ? Puisqu'ils réservent la salle commune pour eux...

Moi: On peux passer par le passage qui mène au portail et on courra dedans.

Alice: Mouais...je suis sûr qu'il y aura des gardiens pour nous empêchérons de sortir du dortoir.

Moi: On aura juste à dire qu'on veut aller aux toilettes et puis comme on est de bonnes élèves ils vont se douter de rien.

C'est le moment de retourner en cours, cette fois c'est mathématiques...notre professeur n'est pas là, alors nous allons donc dans la salle d'étude où nous faisons nos devoirs pour demain et les autres jours même si cela ne sert à rien puisqu'on va partir de l'orphelinat pour toujours. L'heure se finit, nous allons prendre nos douches et nous mettre en pyjama qui est tout aussi moche que l'uniforme. Nous nous dirigeons vers le dortoir pour filles de 10 à 17 ans. Nous avons quartier libre jusqu'à 20h, il est déjà 18h. Avec Alice, on se met sur mon lit et on discute de tout et n'importe quoi mais je vois qu'Alice est songeuse. Quelques heures plus tard, alors que les autres filles dorment et que les adultes sont à la soirée, Alice m'appelle:

Alice: Psssst ! Alors ? On y va ?! Me dit-elle en chuchotant.

Moi: Bah oui ! Dis-je de la même manière qu'elle.

Alice: Lets go ! Me dit-elle en rampant.

Moi: Yep ! Dis-je en la suivant.

Elle se dirige vers la sortie du dortoir mais un gardien nous interpelle:

Gardien: Où vous allez comme ça ? nous dit-il avec une grosse voix.

Moi: On va au toilette, j'ai mal au ventre ! Dis-je en faisant une grimace.

Il nous regarde de haut en bas puis nous laisse passer. On se dirige vers les toilettes. Sans rien dire.

Alice: Bon, t'as un plan ?

Moi: Non.

Alice: Bah on va en faire un ! Déjà on sait qu'il y a une fête et ils sont tous dans la salle commune sauf quelques gardiens !

Moi: Oui... J'ai une idée !

Alice: Dit toujours....

Je lui explique mon plan puis on passe a l'action. On passe d'abord par la cuisine pour prendre quelques chose à manger et de quoi boire, dans le dortoir nous avions pris deux couvertures, notre pull, nos chaussettes ainsi que notre jupe et nos chaussures de week-end: des bottines noires en cuire vernis.
On marche contre le mur jusqu'à l'arrivée d'une petite porte où l'on peut a peine passer. On entre, puis il y a des escaliers qui descendent et qui mêne juqu'à un long couloir qui se stop pour mener à 2 chemin, un vers la gauche et un vers la droite.
On va a droite car on connait par coeur ce labyrinthe puisque c'était notre seule activité pendant ces 10 dernière annés. On arrive au bout du couloir où l'on trouve une petite porte, comme celle de toute à l'heure, qui mène à un long couloir remplie de gardiens et au bout du couloir il y a un "précipice" qui n'est rien d'autre que le portail pour passer dans l'autre monde. Je prends la main d'Alice car j'ai peur, mais je ne me rends pas compte que je sers très fort, j'entends Alice crier un peu trop fort, je déssére ma poigne mais je la tiens quand même.

Alice: On va se faire repéré ! Pourquoi tu m'as serré aussi fort ?!

Moi: Je suis désolée mais j'ai peur, maintenant il faut vraiment y aller !

Pendant qu'on parlait, les gardiens on eu le temps de venir, alors dès qu'on sent ait rendu compte je sers plus fort la main d'Alice. Et on a couru vers le portail. Je ressent un choque thermique puis plus rien. Je sens toujours la main d'Alice dans la mienne. Malgré le fait que je ne vois rien mais je sais qu'on est passée ! Je suis heureuse, car si je dois mourir je préfère mourir en étant libre...
Je sens quelque chose bouger à côté de moi, je tente d'ouvrir les yeux et je vois du brouillare et de la neige ! Je ne suis donc pas morte, bon début ! Je me relève difficilement et secoue tout doucement Alice, elle soupire et marmone quelque chose que je ne parvient pas à entendre. Elle se lève après quelques minutes

PVD Alice:

Je ne ressent plus rien, a part la main de Lou dans la mienne, je la sens se levé et elle me secoue. Je soupire et marmonne quelque chose que moi-même je ne comprend pas, je me lève après quelques minutes et je prends Lou dans mes bras car je suis tellement heureuse de nous voir là, sorti de ce monde et maintenant dans un nouveau en chair et en os après cette étape. Il ne nous reste plus qu'à trouver un endroit où vivre.

MenteuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant