Chapitre 2

19 1 0
                                    

Un nouveau chapitre de sorti! j'espère qu'il vous plaira ! BONNE LECTURE

Nous sommes allées chez moi, par les rues déserter et morte, pris par la peur et par le bras je me débats sans cesse. Quelques heures avant il n'était qu'une dizaine, maintenant ils sont une centaine à nous pourchasser, sans relâche. Rendu chez moi, j'ai dit à Jérémie de prendre tout ce qui pouvait qui pourrais nous sauver. Ma mère surprise de nous voir nous crie.




-Qu'est-ce qui se passe ?!





-on n'a pas le temps, on est en danger de mort. Rassemble tous les couteaux et arme pouvant nous protéger. Dis-je en panique à ma mère qui se tiens devant moi ce demandant qu'est-ce qui nous arrives.





-Pourquoi ?





-On sait fait attaquer. Par des mort-vivant sortit de l'enfer.





Ma mère compris ce qui se passe et ouvrit à l'instant la radio.

<<Bonjour, chères citoyens, nous sommes actuellement en direct de la place principale. Nous vous conseillons de rester à l'abris chez vous. Les autorités ne répondent pas à l'appel de détresse. Ces nombreux visiteurs deviennent de plus en plus nombreux suite à une catastrophe, donc nous ignorons la cause. Le chercheur Donatello et sa coéquipière Maika sont actuellement disparue de la surface de la terre, un avis de recherche a été lancer. Nous vous prions de rester à l'intérieure de chez vous, ne l'ai laissé pas entrée, pendant que nous cherchons les chercheurs disparus.>>

On entendit des bruits suspects et d'un coup nous perdons le signale radio. Nous sommes laissées à nous même, dans se monde qui se détruire petit à petit. Tous se qu'on a construit s'envole au vent comme de la vulgaire poussière. Dans quelques temps, on aura oublier c'était quoi un cinéma, j'en suis sûr. Ma mère nous a demandé d'aller chercher des provisions, moi, personnellement je ne suis pas forte sur le fait de me promener dans les rue infester de zombie. Ma mère avec insistance me dit que c'est vraiment important de prendre des provisions. Je soupire bruyamment. Elle n'est pas sérieuse !? Limite elle me demande d'aller me faire bouffer. Je prends Jérémie par le bras et le traine jusqu'en dehors de l'appartement. Nous déambulons dans les rues vide. Tout est si calme, les maisons sont autant vides que les rue et les magasins surement vide aussi. La population diminue, ils deviennent de plus en plus nombreux. Jérémie me semble très confiant même si au fond de lui il doit avoir peur. Armé d'un fusil, nous nous engageons dans l'entré d'une maison autant mort que ce qui se trouve dehors. Monsieur a insisté pour passer devant parce qu'il juge que j'aurai peur. En ouvrant la porte, il vit une silhouette bouger.


-AHHHHH...!



-Quoi? Dis-je surprise.





-J'ai vu un truc bouger ! Je te le jure Florence !


Je vois un chat passer devant moi.




-Tien voilà se mystérieux monstre don tu as tellement peur ! M'exclame-je en riant.



Son visage se crispa. Il secoua la tête pour se changer les idées. Dans la maison, il avait rien de très intéressant. J'ouvrais un tiroir, se que je trouve dedans me perturbe. Des munitions. Qu'es que la personne faisait avec sa? Je les prend avec précostion même si je sais qu'il vont pas m'exploser dans le visage.


- il y a rien, sa sert a rien de reste ici en plus il commence a faire noir.


Cette fois, il me laisse passer en premier pour sortir de la maison. Rendu dehors en empruntent la rue principale je conclue dans ce silence perdu que tout ça va finir en vrai cauchemar.  Dans ce silence perdu je voie que tout est désert, ne voyais aucune vie qui vient vers nous. Il y a des portes décorer de sang d'innocente victime. A pas lent, sur nos gardes, j'entre dans mon bloc où rien vient me réconforter, avec le vent qui fouette mon visage. Rendu devant ma porte qui plus tôt m'étais familier je cognait avec une prudence qu'on ne peut calculer. Tout d'un coup, une silhouette familière apparais sans faire le moindre bruit, mon frère mort de peur me dévisageais d'effroi. Il recula et me fit passer, j'entendis la porte se refermer derrière nous. Jérémie me regardait avec une peur que je ne peux imaginer. Je posai notre maigre trésor sur la table, ma mère nous dévisageais en se demandent ce que nous avions trouvé dans cette ville fantôme.

Sur la table nous déposons quelque boite de conserve et quelque litre d'eau, notre maigre trésor sera ce qu'il y a de plus précieux. Le soleil se couche doucement tandis que la peur grandit comme un ouragan. Avant d'aller nous coucher je prépare les couvertures pour Jérémie, le sol venais juste d'être lavée, ce qui étais plus encouragent pour le sommeil. Il 00h15 , ma ronde prend fin, mais avant je regardais par la fenêtre si une vie apparaissait. Aucun signe de ce qui a été autrefois mes voisins. Cherchent la porte de ma chambre dans la pénombre, ma main toucha une poignée froide et inerte. Entrant dans la chambre plonge dans le noir je trébuche sur ce qui est le lit fait maison de Jérémie.  Je tomber nez-a-nez avec lui, ce demandaient ce qui se passe il allumaire la lumière qui ce trouvais a coter de lui.

           


-A eeh salut...juste...pour te dire...que eeeh...c'est ton tour de...garde. Dis-je en bégayant sans trop faire venir la gêne.


Il me fixe d'un air ravie tout en rougissant.


-ah...eeeh...ok. Eeeh... j''y vais...si seulement tu...pourrais...te...tasser de dessus moi.


Rapidement, mais malheureusement je me tassai avec regret.





Merci d'avoir lu se 2ième chapitre! Le suivant sera peu-être plus petit mais c comme sa :p !

Exterminez pour survivreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant