Putain, c'était beau comme on s'aimait
Dis, penses-tu as moi dans ce monde ?
Entends-tu la tristesse de la pluie quand on se détestait ?
Ressents-tu la solitude de mon monde ?Les larmes dévalent, je n'y peux rien
Je veux voir un visage heureux pas un prit par la pitié
Etre parti était censé être pour mon bien ?
Où donc la logique est passée ?C'était fou comme on s'aimait
Le monde dansait dans la grâce
Il est détruit à jamais
Avec cette vérité qui m'embrasseLe monde sous mes pieds s'est brisé
Je tombe dans un empli de ténèbres
C'est une tristesse inépuisée
C'est un amour qui me térèbreNos yeux entrelacés
Je n'avais donc jamais aimé
Sois fière, je ne le referais plus
Je ne veux plus être le surplusJe ne veux plus savoir le présent
Oublions le passé veux-tu ?
Mes sentiments devenus statue
Est-ce pour toi un bien plaisant ?Nos yeux parlent mais
Nous ne nous reverrons plus jamais
Je regarderai de loin ce sourire fou
Je resterai debout avec un sourire douxPrend mon cœur
Sers-le si fort qu'il se brise
Laissons-le avec la brise
Vaincu, tu pourras être le moqueurLa tempête en moi est pire
Elle pourrait tous vous détruire
Oublis-moi dans le passé
Puisque tu m'as déjà effacéNos mains étant enlacées
Continuons sans faire attention
Sans plus d'émotions
Il suffisait de s'embrasserPlus jamais tu ne devrais te souvenirs
Faisons comme si ta mémoire
Ne m'avait jamais enregistré
Brise aussi mon souffle agitéPris au loin par cette destinée
Je fonds dans le passé
Je balance mes bras ensanglantés
Pourraient-ce mes pieds épinés cessés d'avancer ?Nous n'étions qu'un bien pour même un amour
Tu t'en va au loin laissant la douleur
Prend mon cœur pour égaliser cette souffrance
Tu sais, je n'ai désormais plus d'existenceUn verre de trop et il se retrouve à terre
Avec les morceaux de mon cœur
Marchons dessus, je suis insensible
A ce genre de connerie risibleJe t'en prie, sauve-moi car je tombe
Mais mon cœur bat plus vite
Il n'y a pas d'espoir en futur visite
Retrouvons-le en enclanchant la bombeJe ne cesse de courir
Je veux m'éloigner du « moi » d'aujourd'hui
Marchons sur ses souvenirs
Sortons de la routine qu'est ce circuitMes ailes ont été percées
Par les flèches de cupidon
Il n'a jamais prononcé
Ne serait-ce un vague pardonJe continue de courir pour ce qu'il me reste de vie
Pourtant jamais assez vite pour oublier
Je suis malade d'attendre avec l'ennuie
Malade d'être celle que l'on peut remplacerJe tourne en rond, jamais il n'y aura d'issue
Sourions à ce « toi » nouveau
Regarder mon état, tu serais déçu
Lève les yeux, c'est un monde beau sans cerveauCet amour me course encore
Je me suis toujours tenue ici seule et triste
Je tombe à mes pieds à force de courir
Qui l'a remarqué ? Vous êtes tous touristesJe tombe, car je suis épuisée
Je tombe sans me relever
Depuis quand la nuit est elle si fossée ?
L'amour a prit mes yeux, repars avec ton trophéeBrisons également tous nos liens
Toi qui pars la tête haute, plein de fierté
Je veux à jamais tout arrêter
C'était un bel amour qui s'est avéré être un rien
VOUS LISEZ
PLANETS & PLANETS
PoesíaTextes d'un 🐻urs flemmard sorti de sa grotte pour regarder les étoiles