Une soif de vengeance Livaï x Reader

La rumeur

Pdv Reader :

Il me tira par la main et j'atterri sur ses genoux pendant qu'il remplissait ses papiers. Je me mis à gigoter dans tous les sens mais il me bloqua.

- Arrête de bouger.

Puis il est revenu à ses papiers en posant sa main gauche sur mes cuisse.

- Tu peux retirer ta main de ma cuisse ?

- Pourquoi ?

- C'est gênant !

- Tch. Je vois pas en quoi.

- Ne met pas ta main sur ma cuisse c'est tout !!

- Ah ? Et si je la remontais plutôt.

En même temps qu'il dit cette phrase il remonta légèrement sa main sur ma cuisse et en la passant à l'intérieur.

- A.... Arrête ç...ça mai.....maintenant !!!!!!!!!!!!!!!

- Alors arrête de gueuler dans mes oreilles !

- Si t'arrêterais te faire des trucs pervers je gueulerais pas !

- Tch.

Il continua à faire ses papiers en laissant sa main sur ma cuisse. Environ une heure plus tard Hanji est venue pour voir on on en était.

- Alors ça avance ?

Elle rentra dans le bureau en disant ça et se figea en nous voyant.

- Tiens, tiens, tiens. Aurais-je interrompu quelque chose entre vous deux ?

- Non. Case-toi maintenant j'ai déjà assez de problème comme ça.

- Oooooh. T'es méchant Shorty. J'espère qu'il est pas comme ça au lit ma petite [t/p] sinon je te plains, à moins que tu préfères qu'il soit méchant. Hahahahahahahahahahahaha.

Je rougis à sa phrase remplis de sous-entendu, en plus Livaï a toujours sa main sur ma cuisse. "Si Hanji vois ça je donne pas cher de notre peau. Elle va pas arrêter" Je la vois s'avancer vers nous et poser son regard sur la main de Livaï.

- Eh ben, t'en profites Shorty.

- Tch. Je t'ai dis de dégager j'ai pas que ça à faire.

- Du calme du calme. Je m'en vais.

"Elle est comme un ouragan."

- Bon lèves toi.

- Hein ?

- J'ai fini alors bouge. A moins que tu ne veuilles rester là ? Dit-il avec un sourire à peine dissimulé.

- NON !

Je me leva et lui aussi il pris les feuilles qu'il avait fait et partit vers la porte -moi à sa suite- puis alla au bureau de mon père.

- Tiens j'ai fini.

- Ah merci.

- Tu peux nous détacher s'il te plait p'pa ?

- Non.

- Mais pourquoi ?!

- Parce que comme ça j'entend plus de dispute.

- Et tu comptes nous détacher quand au juste ? Répondis Livaï.

- Peut-être demain soir je verrais si vous êtes sage.

Sur ces mots on repartit dans sa chambre, et on se rendormis comme l'autre fois parce que "Monsieur" ne veut pas dormir du côté gauche. "Il peut pas faire un effort et dormir de l'autre côté !" La nuit ce passa relativement tranquille. Le lendemain matin c'était autre chose par contre. Une fois levé on se dirigea vers le réfectoire mais il y avait des murmures quand on passait personnellement je m'en moquais un peu mais c'était loin du cas de Livaï. Et au bout du milieu de l'après-midi il craqua.