4 : Fall

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              Un jour, il y eu une soudaine rentrée d'argent. J'étais sur mon ordi portable, sur le canapé en grignotant des petits gâteaux. Wow, j'ai sauté de joie. On mangeait des ramyuns depuis deux semaines. J'aimais ça mais manger un vrai repas serai un vrai plaisir. « Ne t'inquiète pas, me disait Yoongi, on va bientôt avoir de l'argent, je vais bientôt toucher mon salaire. » Yoongi s'est retourné, il comatait sur sa chaise de bureau à cause du manque de sommeil. Il se leva difficilement avec un sourire et s'effondra dans mes bras.

- Ce sont mes économies, peut-être qu'on mangera autre choses que des pates à l'avenir.

- Tu n'étais pas obligé tu sais... Ais je dis en le câlinant.

- Mais ça te fait plaisir ?

J'ai soupiré. Il n'était vraiment pas obligé. J'avais obtenu, de ma mère, un stresse quasi constant en cas de manque d'argent. Pourtant je vis comme une mendiante les trois quart du temps. Certaines chose sont contradictoires. J'ai prit le visage de Yoongi et je lui ai fait un bisou esquimau.

- Oh boudiouboudiou, comment j'ai fait pour tomber sur un mec aussi parfait ?

Il sourit de toutes ses dents et m'embrassa. Soudain, son portable vibra. Il l'attrapa comme il pu et décrocha.

- Oui ?... Ha... ok, j'arrive.

Il raccrocha et se leva.

- Je dois y aller. On me réclame.

J'ai fait la moue en croisant les bras.

- Qui d'autre que moi peut te réclamer ce soir ?

Il prit mes jambes et me tira tout en rapprochant son visage du mien. J'ai poussé un cri de surprise.

- Ne t'inquiète pas, je ne serais pas prit longtemps tu restes ma priorité.

J'ai rigolé.

- T'as intérêt.

Il posa ses lèvres sur les miennes et sortit. Bizarrement, quand la présence de Yoongi disparu, j'ai trouvé, pour la première fois, que l'appartement était très vide et froid.

La porte a claqué et m'a réveillé. Je m'étais endormie sur le canapé. J'ai entrouvert les yeux sans bouger. Yoongi s'est lourdement affalé sur le canapé à côté de moi sans retirer son blouson. Il devait faire froid dehors. Il me regarda une minute sans bouger. Il devait penser que je dormais. Puis, il soupira en sortant de la poche de son manteau une liasse de billets et commença à compter. Atta, atta, c'est quoi ça ? J'ai fait semblant de me réveiller. Tu es rentré ? Il rangea précipitamment l'argent.

- Hum.

J'ai prit ses mains.

- Wow, elles sont froides... C'est quoi cette argent ?

- Un... remboursement...

Ouais, à deux heures du mat, tu sais pas mentir beau brun.

- Je savais que t'étais bon au lit mais pas à ce point. Gigolo va...Ais lâché en riant.

Ouais j'ai un humour pourrit mais là, c'est tout ce que j'avais trouvé. Il me regarda surpris, je tendais mes bras vers lui pour les passer autour de son cou. Il se laissa faire et comme si il venait de comprendre la vanne, il me fit basculer en arrière et se colla contre moi. On s'est endormis comme ça.

Je me suis réveillé avant lui. Avec un peu de chance, il allait se lever au début de l'après midi. J'ai regardé l'heure. Ok, bon, il était onze heure. Je suis allée dans ma chambre pour travailler. Une heure, puis deux. Quand une odeur étrange parvint à mes narines j'ai relevé la tête de ma tablette. J'ai passé la tête dans le salon.

Flash lifeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant