Tragédie

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À mon arrivée sur les lieux, tout ce que j'entends c'est le vacarme des sirènes d'urgence et des hélices d'hélicoptère, mais aussi un bruissement sourd caché dans le bruit. La fumée envahit l'air tel que le feu se répand. L'air pollué par la poussière est irrespirable. La circulation est bloquée. Ce qui s'est produit, un attentat a la bombe, voilà ce qui s'est produit. L'explosion s'est produite à l'heure de pointe, le moment idéal pour faire le plus de victimes possibles. La Gare Centrale de New York n'est plus qu'une immense accumulation de débris et de cendres, autrement dit, il n'en reste plus rien. À travers ces décombres, un groupe de pompiers s'aventurent au coeur du danger pour sauver une dame coincée sous un bloc de béton. Un peu plus loin, d'autres font tout leur possible pour éteindre le feu. Les policiers tentent d'accomplir leur travail en gardant les gens loin du lieu de l'exposition. Malgré leur effort, certaines personnes essayent de les contrer pour aller voir leurs proches. Près de moi, un agent du FBI est informé de la situation par l'intermédiaire de son talkie-walkie. Ce que j'entends c'est la voix d'une dame qui donne les dernières informations : « ... serait un agent du FBI, une jeune femme qui s'appelle Alex Parrish. Elle mesure un mètre soixante-quinze, a la peau mate, les yeux marron, les cheveux bruns et longs. Elle a été vue sur la 41e rue. Certainement armé et considérer comme... » L'agent s'en va à toute vitesse vers l'Est. En un mot, c'est une tragédie.

Secondaire 5. Texte avec une vitesse de narration au ralentit et un narrateur témoin.

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