Chapitre 2: Bad Birthday

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6:45.

Bon là par contre je me lève sinon je vais être encore, encore en retard. Comme les deux derniers mois.

Oui les deux mois se sont écoulés plus vite que je ne le pensée.
Tant mieux ! C'était ennuyeux à en mourir. La routine quoi. Je me lève en retard, j'arrive, je voie tout les faux-cul de mon Lycée, le connard de service Dan, le gay que je kiff Yohan, Clair et Julia. Ensuite cours très ennuyeux pendant toute une journée.
Quelque chose de positifs?
Le fait de pouvoir matter le beau professeur, qui me met clairement mal à l'aise quand il pose ses yeux sur moi. Et les tableaux me remonte aussi le moral !

Par contre je vais bouger mon cul la !
Je me prépare, met mon uniforme que je trouve un peu trop courte, maquillage tout sa, la routine.
Mes cheveux je vais les laisser lâchés.
Je ne suis pas en retard ça va...

Aujourd'hui est un jour un peu spécial pour moi.

-"JOYEUX ANNIVERSAIRES MA CHÉRIE! "

-"Merci maman !" Lui dit-je en la serrant fort dans mes bras.

-"Tu grandie trop vite... Déjà 17 ans !"

-"Et oui maman, sa passe vite..."

J'aurais aimer avoir un père ou un frère ou une soeur. Mais rien. Mon père ne voulais pas de moi étant jeûne, alors il c'est casser avant que je soie née.

-"Mon amour grandie vite ! Alors, des petits copain ?"
Je tousse.

-"Nop. Celib jusqu'à la fin de mes jours"

-"Dit pas sa ma chérie. Tu trouvera. Il faudrait que tu me dise si tu à déjà ..."

-"Maman s'il te plaît ! Pas de cours sur la sexualité de ta fille ! Je vais être en retard, gros bisous à ce soir maman !"

-"Haha d'accord, encore joyeux anniversaire mon ange, passe une bonne journée! "

-"Toi aussi man' ".

Je l'embrasse et sort de la maison pour prendre le bus.

¤¤¤¤

-"JOYEUX ANNIVERSAIRE !"
Me disent quelques personnes.

Je leurs remercie avec un sourire au lèvre à moitié faux.
Je trouve que mon anniversaire n'est pas important.

-"NOYEUX JANNIVERSAIRE ASTRIDEUH !"
Me crie Clair et Johan en coeur. Ils me sautent littéralement dessus, ne pouvant plus respirer, je leurs dit de me lâcher.

-"Merci mes amours."

Quelqu'un me tape les fesses. Je sais très bien c'est qui.

-"Joyeux anniversaire ma belle. Je peut t'offrir un cadeau très coquin si tu veux."

-"Chut s'il te plaît ne gâche pas les quelque moment de joie."

Tout le monde rigolés en coeur. Qu'es que c'est beau de voir ses visages joyeux. J'aurais bien aimer faire chacun de leurs portrait sur mes tableaux.

¤¤¤¤

-"Donc c'est pour cela que Pablo Ruiz Picasso dénonce la guerre, la mort, camouflé dans le décor de son tableau, Guarnica. C'est un peintre engagé, comme dans beaucoup de poème qui peuvent être engagés et [...]"

Ce court était très long mais putains je prenait vraiment du plaisir à l'écouter, cette sublime créature qui était mon professeur.
Gaël n'arrêter pas de ce baisser pour montrée sa petit culotte.
Sa place est sur les trottoirs pas dans cette classe.

La fin de la journée approche; j'ai hâte de rentrer chez moi !
La sonnerie retentit. A moi la liberté!
Quelques filles mettaient du temps à rangés leurs affaires pour tout simplement regardés le prof'. Pathétique.

Je sort de l'établissement. Il est 18:48 bientôt 19. Il fait très noir, trop même.

-"Tu veux que je t'emmène beb ?"

-"Heu non merci Dan, préfère y allez à pied, bye."

Il n'a pas pu répondre je suis partie limite en courant. Je déteste ce mec.
C'était pas si loin chez moi donc bon, ça va.
Après avoir dit aurevoir à Clair et le reste, et après avoir reçu leurs tonnes de cadeau et parlé de la big fête pour ce week-end pour mon anniversaire, je partis enfin.
J'ai du mentir à Clair et les autres pour rentré chez moi toute seul leurs disant que ma mère venait me chercher.
J'aime bien restée un peu seul.

Mais j'avais un peu peur. C'était pas prudent du tout. Seul, dans la nuit qui tomber, l'air frais caressé mon visage pâle et je penser à de multiples choses.
J'entendis un bruit derrière moi. Je commencer à vraiment flipper ma race alors je couru vers une ruelle.
Je m'adosse a un mur pour souffler, m'apprête à repartir.

Mauvaise idée.

Un tissu blanc était sur ma bouche. Ma tête tournait peut à peut, les muscles et ma forces me lâche.
J'étais faible et fait comme un rat.

Je ne pouvait même plus crier. Mes jambes me lâche aussi, je sombrie dans un sommeil profond.

Bad LifeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant