Chapitre 8: Teacher

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Je m'était enfin calmé. Le professeur était assis sur le grand bureau en face des tables des élèves.

Monsieur Klarck coupa ce long silence.

-"Astrid, qu'es qu'il t'est arrivée enfin ?!"

-"J-je... Je sais pas."

Mentais-je.

-"Tu le connaît d'où cette élève ?"

Dit-il d'un air vraiment curieux.

-"J-je le connais pas."

-"Dite moi la vérité."

-"Je ne le connais pas... "

J'étais nerveuse.

-"Donc vous avez donner des coups de poing à plusieurs reprises à un nouvelle élève pour le plaisir peut être ?"

Je ne dit rien. Je ne pouvais rien dire... Il à raison c'est insensé, il doit s'en douter.

Je sert mon bras si fort que cela me provoque des douleurs insupportable. On ajoute aussi mes bleues sur mon corps et donc mes bras.

Le regard gris du professeur descendi sur mon poignet que je serrais.

-"Soulève tes manches."

J'ai avaler de travers se qui me fit tousser.

-"P-pardon ?"

-"Tu m'a bien entendu."

Je me mord la lèvre, tentant de retenir mes larmes.

-"Je doit sérieusement y allez, veuillez-m'excuser..."

Je me dirige vers la porte mais il me pris le bras, se qui m'arracha un gémissement de douleur.

Il prit mes mains. Les siennes étaient froide comme celles de... L'inconnu.

Il me donna la chair de poule quand nos peau se toucha.

Je me rend à l'évidence, sa ne sert à rien de me débattre .

Il lève les manche avec douceur, et constate à quel point mes bras était dans un état pitoyable.

-"Comment tu t'est fait sa ?"

Il lève ses yeux pour me fixer jusqu'à la profondeur de mon âme. Sérieusement, il m'intimide.

Je n'arrive pas à détacher mon regard du sien. C'est pire que de l'hypnose.

Il essaie de lire dans mes yeux.

Ne pleure pas Astrid, ne pleure pas... Retiens toi.

-"Accident de voiture. J'ai était percuté il y à quelque mois. Les bleues ne part pas."

-"Mensonge."

Dit-il sûr de lui.

-"Qu-quoi ? Non pas du tout !"

Il me lâche les mains et ferme la porte à clef.

-"Retire ta chemise."

Sa voix ressemblais étrangement à celle  de mon réviseur.

-"Quoi ? Non mais vous êtes malade !"

Soudain, tout s'illumine dans ma tête.

Les yeux gris si profond, les mains si douce et froide, leurs échanges de regards, leurs ressemblance physique.
Et... Cette perversité.

C'était son fils, ou du moins, quelqu'un de sa famille.

-"C'est votre fils ?!"

Il ne répondit pas, et marcher vers moi.

-"Enlève ta chemise."

-"Non !"

Il me plaqua contre le mur, retira mon pull avec facilité malgré que je le frappe.

-"S'il vous plaît, non !"
Il mis sa main sur ma bouche.

Je pleuré encore et encore.

Pourquoi cela n'arrive qu'à moi ? Je voulais juste... Partir de ce monde. J'ai était violée par le fils de mon professeur. Maintenant, c'est son père qui va me faire du mal. Tel père, tel fils.

Il déboutonne ma chemise et la jette par terre. Je me laisse maintenant faire. A quoi bon ? J'ai usée toute mes forces tout le long, et à quoi cela ma servie ? Rien.

Il contempler mon corps recouvert de tâche violette, bleue. Son visage se changea. C'était de la colère... Il était hors de lui.

-"Ce putains de... Je vais le tuer."

Il frappa fort contre le bureau, passa sa main dans ses cheveux rebelles, et laissa échapper un long soupir.

Il ne voulais pas me faire du mal. Mais voir qui la fait. Je n'arrive pas à croire que c'est son fils bordel.

J'étais en soutien-gorge, contre le mur, en pleure.

Il ramassa la chemise et me la tendu.

Je la pris et la mise avec difficulté.

J'avais mal de partout, je n'arriver pas à la mettre; mes larmes m'empêcher de voir correctement.

Il passe derrière moi et m'aide à la remettre.

-" Je suis navré de t'avoir fait peur...Que ta t'il fait ?"

-"R-Rien..."

-"Ne me ment pas."

-"J'ai honte..."

-" Je t'emmène chez moi tout à l'heure. Tu doit tout me dire Rosy. Mais cela reste secret."

Il ne montré aucune émotion pendant qu'il m'aider à mettre mon pull.

Cela faisait longtemps qu'on ne m'appeler plus Rosy. C'était bizarre de l'entendre.

-"L- les relations entre élèves, professeur sont formellement interdit non ?"

-"J'en suis conscient. Je n'est pas une quelconques relations amicales ou amoureuses avec vous. J'espère que vous le savez, et que vous ne vous imaginez rien de tels."

-"Non. Bien-sûr que non."

Cela me fit un petit pincement au coeur. Je commencer à croire qu'on aurait pu être plus que de simple élèves professeur. De bonne connaissance, Juste.

Il me donna un tissu, dont je me sert pour essuyer mes lames.

Il mis sa main contre mon dos pour que l'ont se dirige vers la sortie.

En ouvrant la porte, j'étais choquais de ne voir que le directeur, et les élèves de ma classe, tous bouches-bès en me voyant. Même Gaël.

Clair se jeta littéralement sur moi en pleure.

-"Astrid ! J'ai eu trop peur oh mon dieu. Qu'es qu'il t'arri-"

Le directeur la coupa.

-"Mademoiselle, veuillez suivre votre classe et le professeur s'il vous plaît, Graham, suivez moi dans mon bureau."

Clair souffla, et me fis un bisous sur le front avant d'ajouter un petit: "Je t'aime."

Clair est une amie formidable. A sa place je serait dans le même état.

Elle partie suivie de Dan et Yohan qui d'ailleurs se faisait beaucoup de soucis pour moi.

Le professeur Klarck me lança un dernier regard l'air de dire "t'inquiète pas."

Je suivi le directeur vers son bureau, perdu dans mes pensées.

PDV MR KLRACK:

Mon fils me dégoûte... Il a recommencé.

Qui sais se qu'a enduré Astrid. Elle ne peu pas finir comme les autres.

Je la regarde une dernière fois partir avec le directeur. J'ai vu dans quel état était son corps. Je n'est qu'une envie c'est de demander à Astrid se qu'il c'est passés. Et lui... Je vais le retrouver.

Natanael, tu me déçois jusqu'au plus profond de mon âme.

Bad LifeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant