Chapitre 3: Enlèvement

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-Je me réveille dans une chambre, plutôt propre, avec des décoration un peu ancienne, avec une table, un grand armoire en bois, une petite table ou etait poser une petite lampe, et un lit très grand ou je me trouve actuellement, couverts de couverture épaisse, et de gros coussins douillet.
Quelque rayon de soleil sortant de la petite fenêtre du toit, éclairé la sombre chambre.
Je ne me sentait vraiment pas bien.
J'étais trop faible pour bouger, même mes yeux s'ouvrait difficilement.

-"Mieux vaut pas bouger."

Cette inconnu était assis sur un tabouret au coin de la chambre. Je ne l'avait même pas remarquer.
Il s'approcha d'un pas lent.
Sa voix était grave et douce à la fois.
Il s'assoie à mes côtés. Je tente de bouger mais rien à faire.

Il caresse de ses grande main, mes cheveux qui se trouver sur mon visage.

-"Bonsoir." me dit-il d'une voix rauque.

-"Vous... vous êtes qui ?!"

J'arrivais enfin à l'apercevoir malgré le peu de luminosité.
Il était incroyable beau. Bourré de charme. Je rester bloquer par sa beauté. Ses yeux était gris, si intense, si profond. Mais quelque chose n'était pas normal chez lui.
Ses lèvres était entrouverte, son regard pesé sur moi.
Ses main était douce, grande, sont corps était un peu musclés, et ses cheveux était blond. Même blanc. Il était plutôt pâle et devait avoir dans la vingtaine même plus.
Son souffle s'écraser sur mon coup quand il laissé poser de doux baiser, et de multiple suçon.

-"Arrêter !"

Sa main atterri contre ma joue si fort que j'ai cracher quelque goûte de sang. Je ne m'y attendais vraiment pas.

Je suis tomber sur un malade mental.

-"Je ne te permet pas d'essayer de me repousser !"

J'étais tétanisée. Ou est passée cette personne douce ?
Il me fusiller du regard comme faisait mon beau professeur.
Mais c'était encore plus terrible. Planter moi un couteau sa fait le même effet.
Ma joue était rouge, ma mâchoire était douloureuse.
J'essaye tant bien que mal de bouger, je réussie.

-"Lâcher moi, arrêter laisser moi partir, je ne vous connaît pas, me toucher pas !"

Je pleurer, mais rien à faire. Il commença à me donner des coup de point dans les côtes, sur mon visage, partout sur mon corps. Quand il arrêta, il pris une corde et l'attacher tout autour de mes poignets.

-"Bouge encore et tu est morte."

Je fie un léger auchement de la tête, grâce à mes dernières force. Mon corps était douloureux. Je repensée à ma mère qui devait être morte d'inquiétude à attendre que sa fille rentre, le gâteau d'anniversaire à la main.
Je suis conne, pourquoi je suis rentrer toute seul à pied ?

-"Regarde moi."

Mes mains était attachée au barreau du lit, au dessus de ma tête. Il était à califourchon sûr moi, avec une bouteille de bétadine et des compresses dans les mains.

-"Regarde moi de suite."

Je le voyais flou pour cause de mes larmes.
Il imbibé la compresse de betadine, et passer sur les zones ou j'avais mal. Il leva mon tee-shirt.

-"Non arrêter..."

-"Continue et je te donne une autre claque."

Je rester tétanisé. Pas encore...
Il presse la compresse contre mes lèvres ou une plaie était ouverte, la douleur était terrible. Il passa une crème sur mes bleues qui prenez des couleurs violet, jaune. La crème était froide comme ses mains qui caresser mon ventre.
Il appuyer pas très fort mais des gémissement de douleur sortie de ma bouche.

Il retira la corde, pris des affaires et s'en alla de la pièce sans dire le moindre mot.
Il ferma à clef, et ces pas s'éloigner.

Il n'y avait aucune échappatoire. La fenêtre était sur le plafond au niveaux de toit de l'extérieur. C'était trop haut et trop petit.

Tellement de question, d'émotion se mélanger.
Que font mes amies, ma mère ?
Pour moi ? Pourquoi le jour de mon anniversaire ? Et surtout qui et cette personne ? Que va t'il me faire ?

Je vivais un cauchemar.

Bad LifeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant