L'amour interdit

La nuit de l'interdit

Chapitre 13

Toute la semaine, je fus traitée comme une princesse : petit déjeuner au lit, le droit de faire ce que je veux, un petit ami avec qui vous passer de bon moment. Bref j'aimais cette vie. Mais les bonne choses ont une fin. On était vendredi : la fin de "ma convalescence", le docteur disait que je m'en étais bien sortit et il ne comprennait toujours pas mon cas. Le pauvre, s'il savait... On était vendredi, c'était le jour du bal d'automne au Lycée, moi et James n'y étions pas allés car de un, on détestait sa autant l'un que l'autre et de deux on allait passé la soirée à regarder des dessins-animés romantique non, bon pour tout vous dire à part Mary Poppins et les films avec les princesses disney je n'aimais pas trop les classiques disney mais James était tellement heureux à l'idée de cette soirée que je me tus. La journée passa très vite pour laisser place à la magnifique et somptueuse nuit. A chaque fois que la nuit arrive, je sens une grande vague de puissance en moi et se soir encore plus. Je me mis à la fenêtre en attendant James, tata m'avais enfin laisser le droit de marcher seule. Je voyais tous les lycéens allaient en direction du gymnase dans leur voitures : certains possédaient de vielles chevrolets, d'autres des Cadillac et je vus une voiture porche, on devinait très bien qui était qui. Je mis ma tête au rebord de la fenêtre, je comptemplais les étoiles, elles étaient les plus anciennes choses au monde et certains n'y prêtait même pas attentions. En regardant la nuit étoilée je repensai à tous ce qui c'était passé en même pas deux semaines: j'avais retrouvée James qui était mon seul et véritable amour, c'était le sorcier de ma prophétie, j'étais une sorcière et des centaines de gens voulaient ma mort (j'avais jetée un coup d'oeil sur Sorci-pédia) et tous ce qui m'inquiètais c'étais que le livreur de pizza et James ce grouille. Ce fut enfin que je vis James en compagnie de la livreuse de pizza, une magnifique brune aux yeux verts, le genre de meuf à te piquais ton mec en en battement de cils. Ils s'arretèrent devant la porte et parlèrent. Je me mis à écouter leur conversation (je pouvais entendre les conversations des gens):

_Alors, dit la brune, t'es en couple et t'es sur que...

_Oui c'est elle, et steu plaît sœurette, sois gentille avec elle, demanda James à sœur.

_T'façon, j'aurai que à la voir pour tout savoir.

_Bon, jt'aime ma sœur à demain (c'est vrai qu'il devait dormir chez moi).

_Moi, aussi je t'aime.

Ils se prirent dans les bras et James passa le seuil de la porte. Je fis semblant de dormir, pour que James ne se doute de rien et qu'il est un peu de remord. Je fermais les yeux, jusqu'a ce que James vienne et me dise :

_Lève-toi, princesse j'suis là.

_Hum,lui répondais-je en faisant mine de me réveiller.

_Aller, lève-toi, j'ai les pizzas.

Je me tournai, lui souris et me mis debout, j'arrivais à marcher, mais c'était pas top. On mit le film, se posa sur le canapé, et mangea de la pizza encore toute chaude. On regardait le film avec ma tante car elle n'avait rien à faire, j'étais en train de manger quand j'entendis un bruit, je n'étais pas la seule à l'avoir entendue. Ma tante et James se levèrent en me hurlant de rester derrière eux. On entendit des pas dans l'escaliers puis on vit quelqu'un descendre, mes mains étaient moites, la personne me regarda, souria puis regarda autour d'elle. Cette personne était un garçon d'a peu près notre âge, il était grand, bruns avec des yeux noisettes, et la peau blanche. Il regardait ma tante et James puis dit :

_Alors on commence sans moi ?

D'autres hommes sont descendus, ils étaient une dizaine. Il me toisa et dit :

_Bonjour, Mlle Kimberly, je me présente Adriano Descolle, ma mission très simple vous détruire vous et celuis qui partage avec vous cette prophétie c'est-a-dire James Kameron.