«_Tudois être Harry, Harry Potter n'est ce pas ? » résonne une voix dans le lointain.
Harry se trouvait dans un lieu lugubre et sombre composé d'arbresaffreusement grands, des mauvaises herbes ornaient également ce lieuqui faisait froid dans le dos. Le jeune Potter était étalé dans lapelouse humide et à l'entente de cette voix féminine envoutante, il ne pu s'empêcher de se relever tellement l'envie de savoir laprovenance de ce son mélodieux gagnait de plus en plus son corps.
«-Qui est-ce ? Dites moi qui vous êtes et où vous trouvez vous ?» s'écria t-il en guise de réponse.
Il scruta l'horizon difficilement tellement le brouillard étaitintense. Il dû à plusieurs reprises plisser ses yeux émeraudespour pouvoir détailler tout ce qui pouvait se trouver autour de lui.Au bout de plusieurs minutes, comme aucune réponse ne désirait luiparvenir, il prit l'initiative d'explorer ce lieu qui ressemblaitétrangement à la forêt interdite de Poudlard. Sauf qu'il n'y avaitpas de centaure, pas de licorne, pas d'araignée géante. Non, rien detout ça. Juste le bruit inquiétant de chouette qui résonnait aulointain et des voix inquiétantes comme si des âmes allaientrejoindre l'enfer. Harry Potter marcha pendant bien une quinzaine deminutes mais il avait l'impression de tourner en rond. Tout seressemblait dans cette forêt profonde et ténébreuse. Les mêmessons parvenaient à ses oreilles lui faisant perdre son calme.
«-Harry...Jeune Harry Potter, tellement insouciant et séduisant. Viens parici, viens me voir je désire tellement rencontrerCelui-Qui-A-Survécu», résonna la savoureuse voix féminine.
Lejeune sorcier se stoppa et sortit sa baguette de la poche de saveste. C'est à ce moment là qu'il se rendit compte qu'il n'avaitjustement pas de veste. Il était en vêtement de nuit, sanschaussures. «_Maisquelle est cette blague ? Se jouerait-on de moi ? Ce n'est pasplaisant » semurmura t-il d'un ton sarcastique. Il regarda au loin et cruapercevoir une silhouette. Mais elle se déplaça tellementrapidement qu'il ne su pas en déchiffrer la nature. Il se stoppaquelques instants et se rendit compte qu'il commençait à avoirfroid. Le vent se faisait de plus en plus fort créant unemini-tempête.
«-Cen'est pas poli d'ignorer des jeunes femmes. Viens donc mevoir. susurraune fois de plus cette voix mystérieuse.
-J'ail'habitude d'être galant avec les personnes qui se montre à moi. Jen'ai pas envie de tomber dans l'un de vos pièges.» déclarat-il sous le ton de la méfiance.Uncraquement se fit entendre derrière lui. Harry se retournarapidement pour faire face à la personne qui se tenait près de lui.Au plus la personne avançait, au plus il trouvait que la silhouetteavec des courbes envoutantes. Il pu apercevoir de légers cheveuxchâtains ondulés, un visage ovale presque angélique, une femmed'assez grande taille mais pas assez pour le dépasser. Mais ce quimarqua le plus Harry c'était les yeux d'un bleu perçant quiressortaient de toute cette obscurité. Malgré tous ces détails, ilne pu détailler précisément la jeune femme qui se trouvait face àlui. Il sentit un souffle chaud au creux de son oreille, ce qui luiprovoqua un torrent de frissons.
«-Jene tenterai pas de pièges pour l'instant. Mais crois moi, tonarrivée risque de changer dans quelques semaines. Profite desdernières semaines de l'été, si je ne m'abuse il ne te reste plusqu'une semaine et demi avec tes amis ? Peut-être que cela sera l'undes derniers étés que tu vivras. Oui mon petit coeur, tu aurais dûrester loin du monde magique, comme tu as bien su le faire durantpresque une année entière,» déclarala voix de manière hautaine.
HarryPotter serra la mâchoire et déplora l'absence de sa baguette. A cemoment là, il en avait tellement besoin, il désirait plus que toutde lancer un stupéfix à cette femme qui l'attirait étrangement.
«-Jene vous permets pas de me parler sur ce ton. Qui êtes vous ? dit-ilen perdant son sang froid.
-Tule sauras bien assez vite. Et tu comprendras bien assez vite.»
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Oubliettes
FanfictionPlusieurs semaines se sont écoulées après la mort de Lord Voldemort par le célèbre Harry Potter. Le monde magique n'aspirait qu'à prospérité et joie dans les foyers, mais il se trouvait que les foyers avaient le cœur meurtri par la pertes d'êtres ch...