Chapitre 4

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•PDV Victoria•

Jeudi 7 septembre 2016:

Peu importe le temps, je dois avancer et non reculer. Je dois surmonter chaque épreuve qui me poussera à bout. J'ai appris une leçon de vie et cette leçon de vie est celle que personne ne montre. Je laisse de côté ma haine et ma tristesse derrière toute les choses insupportable que je me souviens. Je souri malgré tout... J'oublie la peine et la pitié et j'arrive à un chemin où je ne peux malheureusement pas reculer...
Je prend en compte mon futur et oublie mon passé.
Je me souci de mon avenir et avance à chaque pas.

Ce jour là, le 7 septembre 2016, j'étais malheureusement à la mauvaise place au fond, la populaire du lycée m'a dit:

«-Euh...bouge!

Elle ricanait avec ses copines.

-Je...y'a d'autre place.

Je me suis mise à rire à l'intérieur de moi mais ce n'était plus drôle quand elle dit:

-Tu vas lever ton ptit cul de cette chaise et me laisser la place.

Elle m'a dit ça tout en se penchant vers moi.

-J'ai dit moi, qu'il y'avait d'autre place.

Ses copines rigolèrent mais elle ne trouvait pas ça drôle.

-Mmh, tu fais ta maline! Aller les filles! On s'en va.»

Je sais vraiment pas quel est son problème. Je devais me méfier d'elles !
Le cours commença mais j'avais chaud même très chaud. Des gouttes de sueurs perlaient sur mon front, je ne savais pas ce que j'avais. Ma vue se troubla et les bruits agaçant de la salle retentissait dans ma tête. Le crayon de papier que j'avais dans les miens était devenu coupant.
Je savais que des personnes de ma classe me regardait mais il fallait que je tombe et que je me repose alors c'est ce que j'ai fait.
Je me suis évanouie.

Le lendemain, j'étais à l'hôpital. Branchée à des files avec un bruit constamment entrain de biper.
Un mal de tête apparût quand j'ouvris les yeux. La lumière m'éblouissait les pupilles.

Une porte s'ouvrit soudainement et je pris conscience que ce n'était autre que des infirmières.

«-Où sont mes beaux parents ?, ai-je demandé d'une voix douce à la dame.

-Ils arrivent ma belle..., m'a t-elle répondu.

-Que c'est-il passé ?

-Tu es faible, il faut que tu mange, il faut arrêter le stresse. Voilà pourquoi je vais te donner des anti-dépresseurs.»

Elle m'injecta un produit qui m'a fait dormir en une seconde.

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