DeepDream : Résurgence

piste 2 ; Pantomine - Imagine Dragons

6H30 du matin,c'estce qu'indiquait l'hologramme au plafond.

Mon repos avait étécourt,pour ne pas dire inexistant . Je m'étais réveillée vers 3havec l'impression aussi idiote qu'inexplicable d'êtreobservée,épiée avec la plus grande attention,comme au rayonlazer . Rendormie après trois quart d'heure en boule sous macouverture à me raisonner, je n'avais réussis qu'a enchaîner descauchemars insensés . S'était comme ça depuis 3 moisdéjà,j'abandonnais l'idée d'analyser la significations de cesrêves tous étranges les un que les autres . Parfois je courrais atravers la foret et la nuit d'après je me retrouvais attachée lesmains derrière le dos dans une caves sombre . S'était surmens ladrole d'alternative que mon esprit avait trouver pour palier au faitque nous ne remontions jamais a la surface . 300 mètre plushaut d'après ce qu'un garde m'avais laisser sous entendu une foi .

Les hauts parleurentamaient leurs jérémiades matinales habituels .

J'attrapais mesaffaires dans la hâtes,les places dans la salle de bain étaient cherle matin .

Dans le corridorColdwater ressemblait deja à une vrais fourmilière en pleineagitation . Les chambres s'ouvraient par ordre aléatoire ,tout étaitparfaitement orchestrer a la minute prés . Ce systèmepermettait de réduire le nombres d'individus circulant en mêmetemps dans les locaux et les débordement dans les douches quiétonnamment se trouvait être mixtes .

L'ordre de passagen'étant jamais le même,nous ne tombions que rarement sur les mêmepersonnes .

J'entrais enessayant tant bien que mal d'ouvrir mes paupière lourdes et gonflées. L'air chaud et embué me donnait d'autant plus envie de dormir .Le vestiaire était grand,peu accueillant,presque digne d'un hôpital,un sol carrelé blanc et une longue lignée de casiers métalliquesle long du mur,tous équipes de bodyscan . Les vingts douchesétaient prises d'apres les voyants rouge sur les portes coulissantes. Je commençais a enlever ma veste en me dirigeant vers une destrappes a linge sale quand une cabine s'ouvrit,ironie dusort,saiettais Zeed. Les cheveux trempés,l'air totalement al'ouest .

Une autre personnerentre dans la pièce quand une deuxième cabine se libère .

N'attendant pas letemps de la réflexion ,je me lève d'un bond,attrape zeed par laserviette et le jette littéralement dans la cabine d'à cote avantqu'il n'ai le temps de percuter quoi que ce soit . La jeune fille quivient d'entrer,la tête dans son casier ,n'a rien aperçu de monpetit manège .

-ohmerde je ne t'avais pas vu ! Dit-il avec des yeux demerlan frit .

-chutidiot tu va nous faire griller . Je lui pose ma main surla bouche lui faisant signe de baisser d'un ton .

Il s'assoit sur lerebord prévu pour poser serviette et effets personnels.

Je lui demandecomment s'est passer la nuit après mon depart,il m'expliquevaguement qu'ils sont rentrés dans leurs chambre une demie heureaprès . Il a l'air encore vexé de la façon dont le garde luia parler,son orgueil en a pris un coup .

Je m'accroupie acote de lui pour me mettre a son niveau et plonger dans son regard enlui tenant le menton pour le forcer a me regarder .

- tu as l'air préoccupé ...dis moi ce qu'il y a .

-Jem'en veux de t'avoir embarquer hier soir,tu aurais pu te blesser bienpire que ça . Et Hunter me fait la tronche . Il dit qu'acause de moi il ne t'arrive que des problèmes ...

Il dit cela avec unegrande simplicité .Quelqu'un qui ne connaît pas Zeed penserait delui qu'il n'est qu'un petit con qui se prend pour un rebelle,toujoursvulgaire et jamais sérieux ,mais quand on le côtoie comme moidepuis des années, on sait que c'est totalement faux .