Partie 39

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Selem 💖

RETOUR DANS MA PEAU 🇲🇦

[Quelques heures plus tard ...]

Je me réveil dans une chambre. Un lit, une porte à ma droite et une armoire blanche sont présente.

Je me lève et je sent une forte douleur a ma jambe droite. Je me rallonge directement. Je soulève mon jogging.

Moi: A3doubiLlah ...

Ma jambe était complètement décapité mdr. Du sang partout, des plaies et des trous.
Je me souviens d'avoir était shlasser, je regarde sous mon pull et vois une dizaine de point de soutures j'les regarde les yeux grands ouverts. Mais qu'est ce qui est arrivé ...

La porte à ma droite s'ouvre subitement. Une femme vêtue d'une robe bleu nuit arrivant aux genoux. Des Louboutin et une montre qui brille. Un chignon tiré qui, lui donne un air strict.

Elle vient vers moi :

Elle: Lisa, venez
Moi: Lisa ?

Elle me regarde de travers avant de rajouter :

Elle: oui Lisa !
Moi: mon nom c'est Amel wesh ?!
Elle: Amel ? Ah ici en Colombie il n'y a pas d'Amel. Lisa venez c'est tout.

La Colombie ???!?! La Colombie c'est looooin de la France zeh. Keske keske keske... Mdrr.

Je m'appui contre les murs et touts. Pour pouvoir, marcher correctement.

Elle: Mon nom est Mariata, maîtresse de cette maison et femme de Mario. 

Ces mots me bloquent, je sais pas c'que j'fiche ici déjà et ensuite j'lui ai pas demandé de me raconter sa ive ! Je fais la " sans émotions " et " sans peur " mais là j'assume plus, plus tout même. 

Elle: viens, suis moi. 

Moi: Nan, j'sais pas t'es qui déjà je suis pas les inconnus surtout ceux qui sont des j'ne sais combien de km de chez moi ! Vas-y casse toi là bas ! Aller hop, du balais ! 

Elle me regarde les yeux grands ouverts, zehma choquée qu'un "kidnapée" elle ouvre sa bouche. Mais moi j'suis pas sa chienne ok ? J'fais la suicidaire mais j'sent qu'après je vais pas assumer mddr.    

PDV AYMEN ❤

On est arrivé devant une grande foule. Truc de fou, d'la fumée noire survolait nos têtes. Je savais pas d'où elle venait. Même Nazir il a buger quand il a vu ça. Je regardais un peu partout quand je vis Siham. La pote à Amel. Marié depuis peu, le jilbeb la couvrait. Elle devait sortir de la mosquée.

Moi: Naz', chouffi la bas la *en la pointant du doigt* c'la pote à Amel. Viens on bouge la voir.
Nazir: vas-y.

Je ferme la voiture et part avec lui en direction de la fille.

Je marche avec Nazir quand il se stoppa direct et me plaqua au sol.

Nazir: BAISSE TOI ! Y A UN MEC QUI VA TIRÉ !
Moi: ON S'CACHE DERRIÈRE LA VOITURE VIENS.
Nazir: NAN FRÈRE WALLAH Y A UN RACLO POSTICHÉ SUR L'TOIT Y VA TIRER ON SAIT MEME PAS SUR QUI, AYMEN BOUGE PAS ZEUBI !





Omniscient

Le jeune homme très têtu, refuse alors de rester derrière un cross accrocher à un arbre. Il veut, se diriger vers sa voiture pour aller voir Siham et savoir où est Amel.

Nazir lui essaya en vain de le retenir, il hurlait qu'il ne fallait pas bouger. Qu'il mettait sa vie en péril et que cela était bien trop dangereux.

Il avait vu cet homme, cet homme fou. Fou d'elle, qui voulait absolument tuer ceux qui s'en approcher. Il ne l'aimais pas nan, il l'a haïssait au plus haut point. Il voulait la savoir, triste, malheureuse.

Il pointa son arme, un sniper plus précisément. Sur Aymen qui se fesait hurler dessus par son ami d'enfance ; Nazir.

Mais, le destin en décida autrement ...

Aymen: NAZIR FAUT BOUGER FRÈRE VIENS ON COURS MÊME !
Nazir: NAN WALLAH C'EST DANGEREUX !

Il débattait depuis quelques petites minutes de leur fin de vie.

Nazir: *reprenant son souffle* Aymen, on peut pas. C'est risqué.
Aymen: qu'on cours on qu'on reste ici Nazir on va crever.

Nazir et Aymen. Oulala, une grande histoire d'amitié.
Depuis les couches culottes, depuis la maternelle même. Leur amitié n'avait aucun commencement.

Mais, elle aura une fin précise. À moin que Dieu rétablisse cette situation.
Qui sait ?

Aymen se leva en prenant Nazir par le poignet.

Et c'est à ce moment là, que le fou tira. Mais qui, en visant mal ; touche notre beau saoudien.

Nazir.

Son corps s'effondra au sol, sous les yeux d'Aymen qui leva la tête vers le bâtiment 3. Et il le reconnu. Le bâtiment fesait seulement 3 étages.

Il pris son ami et le transporta jusqu'à la voiture.
Il l'allonga sur la banquette arrière tout en, déchirant un morceau de son t-shirt Adidas qu'il place sur le ventre de Nazir. Qui lui perdait énormément de sang.

Aymen: NAZIR PAR ALLAH TIENS LE COUP. YA RABBI GARDE LE EN VIE !
Nazir: dé... démarre

Aymen démarra au quart de tour et pris la route rapidement vers l'hôpital.

Le fou, n'était d'autre que le balafré turc.

Houssam.

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LE RETOUR SE FAIT EN FORCE 👊🏼

 « Les poumons remplis de haine » [1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant