Bonus n°3

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“ Quand je recroise un d'mes ennemis, elle me conseil de le démarrer 🔥 ”

Dans la nuit noire, la silhouette d'Aymen se faufila dans les rues de la ville. Ses pas résonnèrent, si fort que les derniers passants le fixé.

Il continua jusqu'à chez le vieux trafiquants. Un homme qui vendait des armes dans la plus grande discrétion depuis longtemps. Il sonna, une femme en tablier ouvre :

Aymen : c'pour le patron.
Elle: bonsoir, je l'appelle, entrez.

Il entra, et retira sa capuche qui camoufler son visage.

Elle: montez à l'étage.

Elle laissa Aymen la. Il monta à l'étage et toqua à la seule porte présente.

Patron : entre gamin.
Aymen : j'ai plus 12 ans papi *rire*
Patron : ah oui, t'es marier à la p'tite Benatia. 2 Minos à la baraque et c'que tu recherches ici c'est quoi ? D'l'argent ? Ta pas d'sous pour le lait en poudre tapette ?
Aymen : PTDDDRR nan mais t'es fouuu papi yoyo *mort de rire*
Patron : payo va, qu'estu cherche ? 
Aymen: une arme, une cagoule et des gants.
Patron: d'la dinette en fait, tu veut pas un AK-47 (jsp si sa s'écrit comme sa mddr) ?
Aymen: nan c'bon chef.

Le patron se leva, alla dans sa réserve et pris la commande d'Aymen. Lui ramène et lui donna dans un sac.

Patron: aller casse toi, ta une gueule à casser.

Aymen sourit, dit au revoir et sorta.
Une fois dehors il ouvre le sac et une liasse avec un mot
“ 250€ pour ton lait, tarlousse ”.
Ah ouais papi était sur que les p'tits avaient besoin d'lait.

Aymen se mis dans un coin, enfila sa cagoule et gante ses mains. Charge l'arme et repris la route. Un message de Nazir afficha l'écran de son cellulaire.

-- Naz 🔥 : 2 rue des cyprès, Dream Chi' --

Aymen accéléra, et arriva à destination. C'était une chicha/bar ou un truc comme sa.

Houssem fumer sa cigarette, seul.
Il était au tel avec un ami à lui.

Aymen s'approcha dangereusement mais silencieusement de son ennemi.

Il le baleya, écrasa son téléphone.

Houssem : nique ta mère t'es qui frère ? Celui-ci avait la voie pâteuse, sont l'effet de l'alcool.

Aymen: un gars qui veut t'faire saigner.

Les coups s'enchaînent, les uppercut, crochets et chassés s'écrasèrent sur Houssem.

Il tira deux fois, dans la jambe et dans son bras. Il lui remis un violent sauvage en plein visage avant de dire:

Aymen : tfou, ne3dine mok.

Il cracha sur lui et rentra chez lui sereinement.

Amel : MAIS T'ÉTAIS OU ? TA FOUTU QUOI ? POURQUOI TA UNE CAGOULE.

Elle l'attendais dans la rue de leur pavillon.

Aymen: Amel ...
Amel: Nan, ta gueule. Si tu veux t'battre comme Irak / Iran tu fais sa ailleurs pas a 10 minutes d'la maison quand Nabil et Ezra dorment. T'veux du bénéfice ? Va vendre du shit ailleurs clochard.
Aymen : rentre et wAllah je t'ex...

Elle venait de le gifler, il l'a poussa alors.

Aymen : TU T'CROIS OU SALE CONNE ?
Amel: MOI CONNE ? C'TOI LE CON OUAIS T'ES FOU ! T'SAIS QUOI VA DORMIR CHEZ L'GERANT DU FOUR.

Elle repartis et laissa alors Aymen sur le trottoir. Il l'a suivis pour rentrer à la maison.

Amel: TU T'CASSE !
Aymen: ils ont défoncer Landess, j'suis aller le venger c'tout.
Amel : c'tout ? C'TOUT ?! Tu va t'manger des balles parce que t'a bouger ton cul. Et c'est hors de question que le père de mes enfants meurent d'une balle. T'es plus tout seul. J'suis la et les gosses aussi.

Elle avait raison. La rue n'est pas gratuite. Il y a toujours un souci. Un qui peut détruire des vies. Un qui peut, anéantir. Faire verser des larmes et en faire la rivière d'son jardin au Paradis.

Elle se fait porter dans les cœurs d'autrui et brise les familles.
Dans ses histoires, il y a une douille. Un sucre cassé dans l'dos...

Ou une balle perdu pour t'écraser le guelb.

BAM 🔥

Amel tombe au sol, Aymen se retourna. Derrière l'arme de trouve notre cher Narcisse.

Narcisse : la rue à ses gle-re. Qu'ta pas respecté kho.
Aymen: FILS DE PUTE.

Il sortis son arme lui aussi et les voilà s'affrontant. Amel hurla de douleur. Narcisse se tourna pour retirer sur elle.

Dans un réflexe Aymen tira.
Oh nan c'est pas vrai. Il ...

Il venait de tirer dans la tête de Narcisse.


L'homme tomba au sol, mort.

 « Les poumons remplis de haine » [1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant