Il y a toujours cette petite personne, assise au premier rang, assidue. Prête à répondre, peu importe le sujet, cette personne qui était considérée "d'intello" simplement parce qu'elle se donne les moyen pour être à un bon niveau. Alors oui, entrée depuis peu de temps dans cette faculté de médecine j'avais déjà était étiqueter."Mademoiselle Winston, s'il vous plaît laisser la chance aux autres de répondre." Raillât ma professeur de biologie. Comme je vous l'explique j'ai toujours était une bonne élève. Et à ce jour je le suis encore, mais pour je ne sais qu'elle raison cette vieille carne de Pradle ( professeur de biologie) m'avait pris en grippe depuis le début du semestre.
La sonnerie se fit entendre, et malgré le fait d'être une bonne élève, ma place au premier rang m'offrai aussi la possibilité d'être la première à sortir du cours. Quoi? On est pas tous parfait, à vouloir gratter le professeur à la fin, surtout quand celui ci ne vous apprécie guère.
"Bo, attend moi" Aucunement besoin de me retourner pour savoir que Bryan me crie d'attendre seulement pour que je lui passe mes notes. "Tien" Je ne lui laisse pas le temps de parler que je me retourne "Merci ma petite Ebony" croyez ce que vous voulez mais je riais. Bryan n'était pas méchant, loin de là. Mais il prenait pas le temps de prendre des notes chose que je fait à sa place. Je ne dit rien pour l'instant. Un jour va falloir qu'il se débrouille tout seul.
J'habite pas trop loin de la fac, bien évidement on m'avais proposer d'habiter dans le campus. Mais à vrai dire je suis plutôt du genre solitaire. Donc la colocation ou avoir des personnes qui passe toute les 5 secondes devant mes fenêtres c'est pas possible. Puis les party chez eux c'est bière, bière et encore bière. Dans ce cas je préfère largement sortir en boite de nuit.
La nuit commence à tomber petit à petit sur Londres, les poteaux électriques éclaire les rues ainsi que les vitrines des magasins. Nous sommes en période d'hiver, et c'est partout pareil. A partir de 17h la nuit montre le bout de son nez. Je ne rentre pas directement à mon petit appartement. Je continue mon chemin pour allez chercher ma baguette de pain ainsi que passer à la pizzéria. Se soir je n'est aucune envie de cuisiner.
[...]
Ma baguette accrocher à mon bras, j'ouvrais la porte la pizzeria. Une bonne odeur de tomate ainsi que de parmesan me fouetta le visage. La chaleur du petit restaurant me réchauffe automatiquement les doigts gelés par le froid "Bo, ta commande est prête mais veux tu bien attendre, j'ai embauché un caissier pour m'aidait mais ce gosse disparaît dès qu'il en a l'occasion" Je ravale en gloussement face à l'énervement de Johny, ce n'était peut être pas la meilleure pizzeria au monde mais ce petit endroit chaleureux et accueillant me plaisait réellement.
Quand Johny revint, je ne pus réprimer mon sourire. Il tenait à bout de bras un garçon, enfin je dirait un jeune homme, qui d'ailleurs le surplomber de au moins deux tête. A ma vue, il me sourie avant de me donner ma commande et d'encaisser le reste. Poliment je lui dit au revoir ainsi qu'à Johny et repartie pour enfin rentré chez moi.
Une fois avoir mis la couverture sur le divan, je m'y faufila pour manger. Il y a quelques années en arrière, ceci je le faisait dans la maison familiale. Avec mes deux autres sœurs, Jenny et Penny. Deux jumelles, et nous avons toutes les trois la même terminaison de notre prénom, et pour être franche je ne serais vous dire si ça à était fait exprès ou non. Mais à présent je faisait notre petit rituel seule, au décès de ma mère je suis partie. Je n'est réellement pas supporter le drame. Et être entouré de personne qui vous rappel chaque jour l'événement tragique qu'il c'est passé ce n'est pas vraiment la tasse de thé.
Le lendemain matin, j'avais congé, enfin disons plutôt que Mme Kledin n'était pas présente pour notre cour pour je ne sais qu'elle raison. Mais bon cela aller me faire plus de bien, sachant que pour une fois je traînais un peu au lit. Et je pense d'ailleurs descendre boire mon café dans le petit bistro d'en face. Plusieurs fois je m'y était arrêter pour le journal et Frane, une dès serveuses m'avais plusieurs fois ventait les louanges de leurs café. D'après elle il serais beaucoup plus délicieux que c'est café fade de chez Starbucks.
"Dit moi ma petite Ebony que cette fois ci tu viens pour notre café, tu es la seule qui rentre ici juste pour le journal." Je rie, comment ne voulais vous pas rire, elle est adorable et ne semble pas lâcher l'idée qu'il faut que je goûte au moins une fois leur café. "Je vais même te faire plaisir et en commander un grand" Son sourire s'agrandit avant de m'indiquer une petite table libre. Je m'assis comme elle me l'avais indiquer à la petite table, j'y laissa pendre sur la chaise, ma veste ainsi que mon écharpe. Et je fis que patienté.
"Ça va, ne vous gêner pas. Ma table, mon journal, vous ne voulez pas non plus boire mon café?" Je releva les yeux sur un garçons, je ne peu vous le décrire parce que je n'y le temps de voir ses yeux vert et le dos de sa veste. Parce qu'il était déjà partie payer son addition au comptoir. Je vis Frane froncé les sourcils avant de refuser l'argent.
[...]
J'étais déjà sur le chemin de la fac, se matin effectivement Frane avait raison leur café est vraiment très bon. Je lui avait demandé ce que le jeune homme avait bien pu lui dire ou encore si elle le connaissait. Mais non, jamais elle ne l'avais vue dans le quartier. Elle n'avait pas voulu lui faire payer simplement parce qu'il n'avait pas eu la consolation qu'il avait demander. A quoi bon payer quelque chose que l'on a pas eu? C'est compréhensible!
"Bo, j'ai une faveur à te demander" Brian est bien évidement devant moi, pas vraiment à l'aise, il regardait ses chaussures. "Vasy" J'essayais de trouver son regard, mais impossible, c'est comme si il avait honte. "Mes parents on vue tes notes, enfin que je les utilisés pour faire mon cours. Et ils se sont aperçue de ton écriture que c'était toi qui travailler pour moi" Il releva enfin son regard sur moi, et j'opinai du chef lui faisant comprendre de continuer. "Il voudrait te voir ce soir enfin si tu es libre, sinon une autre fois. Mais ils insistent fortement." J'était troubler. Normalement Bryan aurait du me présenter des excuses. Si cela m'arrivait c'est la première chose que mes parents m'aurait demandé de faire. "Mais pourquoi?" Il me regarda autant perdu que moi "Je ne sais pas, ils ont rien dit. Juste ça.. Tu sais ils m'ont dit la dernière fois que si je me mettait pas moi même au travail que j'irais en pensionnat. T-tu crois qu'ils vont le faire?"
Je ne dis rien, que voulez vous que je dise? Ses parents l'avait prévenu j'y suis pas vraiment pour quelque chose. Bryan actuellement était un enfant. Il avait peur, il m'attendrissait. Je lui posa la main dans le dos, lui frottant celui ci. Signe de réconfort. Mais un homme dans le couloir m'interpella, ses yeux. Je le reconnaissais, c'était celui du café.
Mais que fessait-il ici?