•Chapitre 7•

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                    •MR LE MOUTON•

//En média Sacha.\\

Je pousse la porte de la bibliothèque à bout de souffle, je me penche en avant et poses mes mains sur mes genoux pour reprendre une respiration normale. La petite veille présente à l'accueil me sermonne pour le bruit que je produit et je roule des yeux. J'aurais bien pris ma voiture mais cette lâcheusse a décidé de ne plus démarrer pile aujourd'hui. Il est dix-heure passés, Ana nous a retenue et me voilà en retard.

Marchant le long des rayons pour  trouver mon voisin de palier, je l'aperçois enfin, assis sur une chaise avec son téléphone dans les mains et la mâchoire contracté.

Il daigne m'adresser un regard lorsque je m'assois nonchalamment sur la chaise en face de la sienne et que je me me racle la gorge en voyant qu'il reporte son attentions vers son petit écrans.

- «Désolé pour le retard, mon professeurs nous a lâché plus tard.

-  Je n'ai pas spécialement envie d'avoir une mauvaise note à cause de toi alors tu met ton tutu a deux balles de coté le temps que l'on finissent ce putain de devoirs.»

Je fronce les sourcils et le regarde méchamment, apparemment monsieur n'a pas l'air d'être du genre sympathique, certes, cela est son caractère mais de la à me dire de mettre mon tutu a deux balles de coté, ça, je ne le conçois pas.

- «Je ne te permet pas, la danse est mon options et c'est plus important que ce fichu devoirs d'histoire, alors maintenant, mouton, mettons nous au travail.»

Le mouton relève la tête vers moi un sourcil haussé, je n'ai jamais compris comment les gens faisaient pour faire ça, cela doit être un muscle caché.

- «Mouton ? Sérieusement ?»

Je hausse les épaules avant de sourire, j'ai au moins réussis a lui arraché un petit rictus.

- «Je ne connais pas ton prénom et puis, tu as les cheveux bouclé alors...Le blond ne me laisse pas finir et plonge son attentions sur l'énoncé.

- Bien, d'après ce que j'ai compris, il faut construire une maquette."

Jusqu'à la, il ne m'a rien appris alors hausse les sourcils en lui lançant un regard qui ce veut ironique. Le problème, c'est que je ne sais même pas ce que l'on étudie en cours, je n'était pas la. 

- «Pour répondre à ta questions, ont travail sur la différence entre les Hommes, leur différent point de vue de ce qu'est l'Homme idéale, quel carrière doit-il faire pour suivre l'interminable cercle infernale. C'est en quelque sorte ironique vu l'université dans laquelle nous étudions..»

Le long de sont récit, je suis fasciné par ses mots, l'histoire n'a jamais été mon fort et je n'ai jamais rien compris au terme employé dans les différentes leçons au cours de mes études. Miraculeusement, je comprend absolument tout ce qui m'explique. C'est étonnant, mais je n'imaginé absolument pas mon voisin de pallier comme ceci, appliqué et soucieux de ces notes, non, je pensé qu'il était plutôt du genre a rien foutre de sa vie et je suis agréablement surprise.

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Edden Slone, j'ai enfin réussis a mettre un nom sur son visage, bien sur, j'ai du le lire en douce sur son cahier d'histoire. Après avoir passés une après-midi entière a travailler, je suis rentré dans ma petite chambre universitaire et mes veilles pantoufles au pieds, je danse au rythme de la musique provenant de ma radio. La station de UAD a au moins un avantage, ils passent de bon sons.

Release ✔Où les histoires vivent. Découvrez maintenant