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•Chapitre 14•

•UNE FIN D'ANNÉE        CAUCHEMARDESQUE •

•••

Je soupire en entrant dans la salle plongée dans le noir, le peut de lumière présente provient de la lune brillante de mille feux et traversent l'immense baie vitrée. J'appuie sur l'interrupteur pour pouvoir y voir un peut mieux.

La lumière produite par le grand néons me brûle instantanément les yeux et il me faut un petit temps d'adaptation avant d'y voir claire. Je rigole de moi même, sérieusement on dirait une petite mémé et en prime, je ris pour rien et pourtant, je n'est pas bus une seul goûte d'alcool.

J'active la musique et m'assois sur le sol, le dos appuyée contre le mur. J'observe les moindres recoins de cette immense salle de danse, nous somme aujourd'hui le trente et un décembre deux mille seize et je suis seul. Toute ma famille doit être autour d'un bon repas autours de la belle table fraîchement décoré par ma marraine et dégustant le merveilleux festin produit par ma mère elle même.

Je soupire une nouvelle fois, moi, je les aient lâchement abandonné pour au final me morfondre dans une salle de danse seul et dans le noir avec en prime, une musique déprimante en fond. Quoi rêvez de mieux pour une fin d'année ?

                                   •

Je marche, dans la pénombre afin d'arriver enfin au paradis, j'ai nommé..Mon lit ! Je jette un rapide coup d'oeil à ma montre et c'est avec amertume que je remarque qu'il reste seulement une heure avant minuit. J'arrive après quelques minute devant mon immeuble, j'aperçois la lumière traversé la porte en verre, qui peut bien être là ? Tout le monde devrais être entrain de fêter la fin d'une nouvelle année.

J'entre et monte deux étages les sourcils froncés, et si c'était un voleurs ?! Pour accentué mon stress, je me rappel soudain que je n'ai pas fermé ma porte a clé. Franchement, je  m'applaudis moi même.

Un bruit me fait sursauté et je me munis aussitôt d'un balais qui trainais sur le sol. Je le brandis face a moi et je continue mon chemin le souffle coupé. Si je n'aurais pas aussi peur, je rigolerait de moi même, je suis vraiment minable.

Je ralentis le pas lorsque j'aperçois une silhouette, assise sur une marche de l'escalier qui mène au couloirs de ma petite chambre Universitaire. L'individu a une capuche sur la tête et je tend mon balais dans sa directions au cas ou il déciderais de m'attaquer, c'est lorsqu'il jure en relevant la tête que je sursaute une nouvelle fois. Il jette son téléphone sur le sol puis son regards chocolat se place dans le miens et je n'ai pas le temps de faire un mouvement qu'il éclate de rire. Je reste dans la même positions, avant de finalement ramené mon arme vers moi.

__«Tu ma flanquer la frousse ! Dit-je en constatent que le "voleur" n'est autre qu'Edden.

__«Jpeut' savoir pourquoi tu tiens se pauvre balais ?» Dit-il entre deux rires.

Je baisse la tête pour observé mes pieds, honteuse.

__«Pour.. Me défendre, j'ai crus qu'il y avait un voleurs..»Finissais-je par dire tout bas.

Il pouffe de rire et je fait finalement de même me rendant compte de mon idiotie. Quelque seconde plus tard, le silence a repris place et je m'assois a coté de lui.

__«Je pensais qu'il n'y avait personne sur le campus, tu ne fête pas la nouvelle année ?»

Il relève sa tête qui était baissé jusqu'à présent pour finalement posé son regards sur le mur qui se dresse devant nous.

__«Je te retourne la questions.»

Je hausse seulement les épaules en guise de réponse.

__«Tu sais ce que je pense ? »

Je tourne ma tête vers lui, le regards interrogateur.

__«Au fond ont a tout les deux un secret, mais aucuns de nous deux en a envie d'en parler»

Je reste quelque instants dubitatifs, puis j'affiche un sourire nias au visage avant de me relever, monté les quelques marches qui me séparent de ma chambre puis y entré. J'effectue cinq petit pas avant de me laissé tombé sur mon lit.

Je tâte la poche de ma veste et c'est avec lassitude que je me rend compte que j'ai oublié mon téléphone dans la salle de danse et pire encore, j'ai carrément oublié mon sac. Je soupire puis me lève et passe a nouveaux la porte de ma chambre. C'est partis pour marché encore une fois, seul, dans le noir.

Je remarque rapidement mon voisin de pallier qui n'a pas bougé d'un poils, je passe devant lui et je constate son regard inttérogateur, il doit sûrement se demandé pourquoi je descend encore ces fichus escaliers.

__«J'ai oublié mes affaires dans la salle de danse.»

Je lui dit avant qu'il ne pose la questions et je fronce les sourcils lorsqu'il se lève a son tours.

__«Je viens avec toi, il ne reste plus que quelques minutes avant minuit et vus que je m'ennuie a mourir et que toi aussi, autant se faire chier a deux.»

Sympas.

Du point de vue Omniscient.

Les deux jeunes adulte rigolèrent une nouvelle fois en atteignant l'étage où était situer les salles mise a dispositions des élèves. Le doux rire de la jeune blonde se tus rapidement, elle avait en effet, entendue de la musique provenant d'une des salles.

Elle se tourna alors vers la salle d'où s'échapper le son, se demandant qui pouvait bien s'entraîner à une heure pareil et surtout, un jours comme celui-ci. Elle entrebâillas alors la porte sous le regarde interrogateur de son voisin de pallier, elle remarqua une shilouette de jeune fille, Wendy ne pouvais pas apercevoir le visage de cette dernière puisqu'elle était de dos. Elle pouvait seulement apercevoir ses long cheveux brun qui était bouclé mais son regard se bloqua sur une de ses mèches, la seul qui était de couleur dorée parmi les autres semblable au chocolat.

C'était plutôt atypique mais la jeune blonde n'était pas du même avis. Elle, elle était entrain de vivre un cauchemar éveillé et c'est lorsque que la danseuse à l'unique mèche dorée fit un tours sur pointe qu'elle sus, elle sus que le cauchemar était loin d'être fini.

En effet, le passé nous rattrape toujours.