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Salam aleikoum

Bismillah

Je vois le conducteur il a klaxonner je vous dit pas hummm j'ai fais un sprint vous savez chui grosse donc j'ai du mal à courir et là je sens la personne me suivre putain chui encore jeune pour mourir et Allah aide moi koy et la je sent vla comment on m'attrape les épaules et qu'on me retourne brusquement.

Abou: 😬😬 otoumaah éyé djinè déyé waa djogodi dé (c'est comment ta vu un djine ou c'est comment?)

La honte putains genre imaginez vous votre frère il est dans sa voiture et qu'il vous fait appel et vous vous mettez à courir comme une hystérique par peur que sa soit un inconnu qui vous veus du mal ou un truc du genre tous ce que vous voulez. (je sais que vous trouvez ça bette mais pour moi c'est honteux).

Moi: ayi ! (non)

Abou: bilay hann néé ma daahlaa yèla y koungolo dafalé n'do (bilay je ne crois pas que t'es normale).

J'avais tellement honte que j'ai baissé la tête par peur de croiser son regards et voir le sentiment qu'il ressent pour moi.

La plupart des fois quand je regarde quelqu'un dans les yeux j'aperçois que du dégoût de la répugnance de la écœurant et ça sa me fais mal je ne comprends pas comment le physique de quelqu'un peux autant répugner si je pouvais faire quelque chose pour changer ma physionomie pour qu'elle soit meilleure soyez sur que je l'aurais fait je me sens vraiment complexé mais quelque chose au fond de moi me dit qu'un jour je le ferais je je changerais mon physique en bolide en avion de chasse en kamicase en bombasse en body de déesse inchaallah que se ne soit pas qu'un rêve priés aussi pour moi les filles !

Abou: otouma ébé sogoo délaa waaa mou n'déddo ( tu rêve ou se comment ?).

J'étais perdu dans mes pensées que je l'ai oublié.

Abou: yèlaih n'kata y bla soo (monte je vais te déposer à la maison).

Moi: ayi akagne ne séra kaban (non c'est bon je suis presqu'arriver).

Je ne veus pas des problèmes avec papa après il va me frapper pour de rien.

Abou: honn nni minè (tiens attrape ça) me tenant un billet de 2000fcf.

Moi: non c...

Abou: hee tchè prend ça

J'ai pris l'argent en lui disant merci et on se dit au-revoir j'ai continué ma route et lui la sienne.
Arriver la Maison j'ai fais ce que j'avais à faire et j'étais dans la chambre avec Awa et Madina (les domestiques) (on partage la même chambre genre y'a un vieux matelas deux place par terre pour elle et moi je dors sur une natte en plastique )
Quand Madina dit:

Madina: Aïda y té naa en nofè enw terimousso féy (Aïda tu ne viens pas avec nous chez nos copines?).

Moi: hee nébé  siran papa gnè ( moi j'ai peur de papa).

Awa: até foy ffo ( il ne va rien dire ).

Bref elle ma convaincu nous sommes sorties rejoindre ses amies elles sont sympa on a un peux discuter non je dirais pluto fait connaissance pas beaucoup comme chui dohni (un peu) réserver et peu sociable avec les gens que je ne connais pas donc j'ai préfère limité notre conversation à une simple présentation.

Mais Awa et Madina ont essayés de me faire intégrer dans leurs papotages j'ai esquiver de la manière la plus polie qu'elle soit.

On a fait les 100 pas pendant environ 1h et on se dit au-revoir on a pris le chemin du retour j'avais un mauvais pressentiment je ne sais pas comment vous le décrire genre j'avais une boule au ventre mon cœur il pesait des tonnes et le visage de mon père défilait dans ma koungolo (tête) comme un long cliché à photos mon coeur bat mille à l'heure pourvu que je me fait juste des allusions.

On vient d'arriver et là quand Madina a ouvert la porte mon coeur il direct fendu j'ai même entendu un petit crac mes yeux se sont écarquillés tous seul et Allah les filles la prochaine fois que vous entendrez mon nom il sera suivi d'Allah y rahma et les garçons commencez à creuser ma tombe starfllah mais je pense sincèrement que ma saya (mort) approche à grand pas...



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@Rose_des_mogoo

Aïda My Bodily Them Repel (Surtout lui) [I]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant