Chapitre 20 : L'araignée

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Point de vue Jim

J'étais vraiment trop contente, Nico avait accepté de patiner avec moi ! Yam, elle c'était inscrite avec Ramiro.

J'étais dans les casiers avec Yam, on lassait nos patins pour aller s'entraîner. On se dirigea vers à piste, Ramiro était déjà là. Nico arriva quelques temps après, j'avais déjà pleins d'idées à lui proposer ! On avait la piste quasiment pour nous seul quelques habitués du soir étaient là.

Après plusieurs propositions qu'il refusait ou que je refusais, on se mis enfin d'accord on allait faire "Harry Potter à l'école des Sorciers !". On commença à imaginer la chorégraphie mais rien l'allais. En plus de ça, Delfina et Gaston était arrivés pour eux aussi s'entraîner. 

Nico faisait tout de travers, il n'essayais même pas ce que je lui proposais ! 

Nico: Tu sais quoi Jim ? J'arrête, je ne participe plus avec toi ! 
Moi: Quoi ? Non, Nico tu ne peux pas me faire ça !
Nico: Ça ne sert à rien, on ne fait que ce disputer. 

Il s'en alla et je le fusillais du regard. Je vis que Yam et Ramiro avaient disparu. Soudain Delfina piqua un sprint vers la sortie visiblement très en colère. Gaston et moi étions désormais seul sur la piste. Il me lança un regard et vint vers moi. 

Gaston: Nico t'a abandonné ? 
Moi: Non, il a abandonné. 
Gaston: Comme Delfina...

Un silence se fit, on se regardais. 

Gaston : Ça te dirais de patiner avec moi alors ...?

Je ne réfléchis qu'une demi-seconde avant d'accepter sa proposition ! Je voulais absolument participé à cette compétition avec Nico ou sans Nico peu importait au final ! C'est simplement que Gaston aurait été la dernière personne à laquelle j'aurais pensé. Il aimait l'idée d'Harry Potter et on commença à inventer la chorégraphie, lui au moins il aimais et comprenais ce que je faisais. 

Point de vue Ambre

Je chantonnais Valiente assise sur ce qui était désormais mon lit. Cette chason me faisait du bien, surtout que j'avais un nouveau plan qui s'annonçait tout simplement génial ! 

Mr. Balsano ne tarda pas à arriver comme à son habitude avec insolence. J'avais su cerner toutes ses petites habitudes.Il posa le plateau repas sur le bureau et s'assit sur la chaise coulissante. Il m'observa en racontant des annecdotes que lui seul trouvait drôle. Comme je mis attendais, il sortis son téléphone de sa poche pour regader l'heure. C'était le moment où jamais !
Je me mis à hurler, il fronça les sourcils et accouru vers moi en me demandant ce qu'il se passait.

Je mettais mis debout sur mon lit lui montrant une araignée. Je l'avais capturé hier non sans dégoût.

Moi: Faites quelque chose ! Aaah !

Il grogna ecrasa l'araignée dans un mouchoir et s'en alla visiblement en colère gromellant que ce n'était qu'une petite araignée. J'avais un peu de peine pour cette araignée...

Dès qu'il fut sortie, je vis que comme prévue dans la précipitation il avait laissé son téléphone posé sur le bureau. Je n'avais que très peu de temps avant qu'il ne s'en rende compte.
J'attrapais son téléphone et tapais le chemin du mot de passé qu'il faisait deux à trois fois par jour devant mes yeux.

J'envoyais alors un message à Matteo:
"C'est Ambre. J'ai été kidnappé par ton père !  Aides moi s'il te plait !  Ne réponds pas à ce message !"

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