Au travail !

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Thérèse : 20 minutes que dieu et moi t'attendons jeune demoiselle vêtu de ... ça dit - elle en montrant du doigts mes fringues.

Je déteste qu'elle parle de dieu comme si c'était quelqu'un de réel, en attendant lui ne m'a pas épargner les souffrances de la vie. Je m'approcha de Thérèse et lui demanda ...

Aby : Mhhhhh, quel es le travail que vous avez trouvé encore ?

Thérèse : O arrête de faire l'enfant veux tu ! Tu t'es fait virer de ton lycée je te signiale ! Tu travaillera donc comme serveuse au Pat's. Au fait, tu commence dans 10 minutes !

Aby : Comme si j'en avais quelque chose à foutre d'être à l'heure chuchotai je.

Thérèse : O j'ai oublier, je lui ai demandé de te mettre des heures supplémentaires pour tous retards!

Visieuse, mais ça je le garda pour moi. Je sortis et pris ma planche à roulettes et partis a toute plombe. J'arriva avec quelques minutes de retard. Patrick, le proprio, me connais et me fis un clin d'oeil. C'était la deuxième fois que je travaillais pour lui pendant les vacances scolaires. Il me tandis ta tenue de travail et j'alla ma metre. J'executa mon travail jusqu'au soir en ramassant plusieurs pourboires qui provenait pour la plus part des mecs qui reluquaient mon cul.  À la fermeture, je me mis assise à une table et Pat me rejoint.

Pat : Tu as sacrément merdée Aby...

Aby : Mhhhhh, je sais ... Mais je crois que je paye déjà assez le conséquences en travaillant ici et d'être obligé d'aller dans le seul lycée qui veut encore de moi. C'est à dire Juliard.

Pat : Tu aimes jouer du piano nan? Alors va y et montre leurs ton talent Aby !

Aby : Pour voir tous c'est gosse de riche ?! De toute manière, je n'ai pas vraiment le choix... Aller a demain Pat ! dis je en allant vers la sorti.

Pat : À demain 5 heures !

Je pris ma planche et reparti chez moi. Je monta les escaliers et je retourna, sur ma porte,  le panneau '' Ne pas déranger chien méchant! ''.  Je rentra dans ma chambre et enleva mes bottes et mon manteau, puis je pris un élastique et m'attacha les cheveux. Je m'intastala au piano et laissa mes doigts, sur un air de Mozart, se balader sur le clavier. Demain allait être une dure journée !

Dead or alive ? Où les histoires vivent. Découvrez maintenant