Chapitre 1 : Disparu

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Je suis bien au chaud dans mes draps, emmitouflé dans ma couette chaude, dans un sommeil profond, quand mon réveil se mit à sonner, j'émis un léger grognement et sortis mon bras de sous ma couette, pour éteindre cette maudit sonnerie, laissant passer un air glaciale dans mon cocon de chaleur.

Qu'il fasse aussi froid en plin moi de Juin devrait être interdit.  J'avais l'impression d'être en pleine banquise, il était or de question que je me lève, tout de suite, surtout pas avec ce froid. Je tâter de ma mains, ma table de chevet et pouvoir me recoucher rapidement. Ma main rencontra du vide et les quelques neurones de mon cerveau, se connectèrent enfin. Je n'avais jamais eu de réveille matin.

Je me levais précipitamment de mon lit, ma couette sur les épaules pour affronter le froid. Le bruit s'était tu, j'avais sûrement rêver. J'étais sur le point de me recoucher quand mon pied glissa et que je chutais brusquement sur le sol glacé. Cette journée commençait merveilleusement bien, maintenant j'étais obligé de me lever. J'essayais de me relever, mais je glissait aussitôt, claquant mon dos douleureux sur le parquet. L'esprit embrouillé par le sommeil je comprenais enfin que le sol n'était pas juste froid et glissant, mais bel et bien. Et il était certains que je ne m'était pas endormi dans une patinoire.

Je me déplaçais difficilement m'aidant des murs pour avancer jusqu'à mon radiateur,qui était lui aussi glacé, le chauffage devait encore une fois dérailler, c'était ça, d'habiter dans une maison aussi veille.

À ce moment précis, je me demander pourquoi je n'avais pas déjà quitté se trou paumé, comme la plupart des ados qui avaient habités cette ville, ou les maisons et leurs habitants étaient aussi vieux que des dinosaures.

J'arrivais avec difficulté à me mettre debout et remarquer enfin, que la fenêtre de ma chambre était grande ouverte, ce qui devait expliquer qu'il fasse aussi froid et peut-être aussi que le sol soit gelé, même si cette hypothèse me semblé bizarre.

Je n'étais pas vraiment forte en science, mais j'étais pratiquement sûre que laisser une fenêtres ouverte pendant une nuit en plein hiver, ne pouvait pas gelé une pièce entière, mais bon comme je n'avait jamais écoutée un seul cours de science, de ma vie, peut-être que c'était possible.

Je ne me rappeler absolument pas d'avoir laisser ma fenêtres ouverte, il fallait être vraiment débile pour laisser une fenêtres ouverte en plein hiver, soit j'étais débile, soit quelqu'un d'autre à ouvert cette fenêtre.
Je disais n'importe quoi pourquoi quelqu'un serait entrée chez moi juste pour ouvrir une stupide fenêtres, j'étais vraiment parano.

Je me dirigeais vers ma fenêtre, mais impossible de la fermer, elle est bloquée par le givre, je tiraid plus fort, en vain. J'allais réessayé une seconde fois de l'ouvrir, quand j'aperçus quelques choses dehors, un énorme grillage.
Depuis quand, la ville était grillagée et comment en une seule nuit ce grillage avait pu apparaître.

Je me précipité sur mon téléphone, allumer l'écran où était afficher la date d'aujourd'hui, le 2 Décembre.
C'était impossible, je ne pouvais pas avoir dormis deux semaines entière, mon téléphone devait simplement dérailler.

Je courait vers les escalier, toujours ma couette sur les épaules, manquant une énième fois de tomber par terre.

Il ne faisait pas juste froid dans ma chambre, mais partout dans la maison, les escalier étaient aussi recouvert de givre, comme tous le reste de la maison d'ailleurs.

Je m'agrippais à la rampe pour pouvoir descendre, sans tomber encore une fois.

Le salon était vide, bizarre, d'habitude ma mère, serait en train de déjeuné, elle était sûrement dans la cuisine. J'entre dans la minuscule pièce servant de cuisine collé au salon, elle est vide, elle aussi. Ma mère n'a pas pût disparaître comme ça, surtout que sont fauteuil est dans le salon. Elle dormait peut-être encore. À cette heure là, elle était toujours réveiller d'habitude, j'espérais qu'elle aille bien et qu'elle n'était pas tombée.

Je traversai la cuisine, jusqu'à une porte donnant sur une réserve, aménagé en chambre depuis l'accident de ma mère, il lui était impossible pour elle, de monter des escaliers. Sa chambre était vide, comme le reste de la maison, je ne comprenais plus rien, si ma mère n'était pas là, ou elle avait bien pût aller, surtout dans son état.

Je décidai de m'occuper de la chaudière, de toute façon ma mère ne devait pas être bien loin, je m'inquiètai pour rien.

Je descendis à la cave, j'appuyais sur l'intérieur, mais rien ne ce produit, après la chauffage qui sautait, l'élection, génial. J'attrapais mon téléphone, qui se trouvait dans la poche mon sweat trop grand, me servant de pyjama.

J'éclairais la pièces a l'aide de mon téléphone, pour apercevoir cette stupide chaudière. Je donnais un bout coup de pied dans la machine, espèrent qu'elle ce remette en marche, comme à son habitude, mais rien n'arriva. Pas très surprenant, vu l'âge de ce tas de ferrailles rouillé.

Je lâchai un soupir de désespoir , comment j'allais trouver l'argent pour racheter une chaudière neuve, j'avais déjà du mal à payer le loyer de cette ridicule maison, avec les soins de ma mère, qui devenaient de plus en plus cher, j'allais devoir trouver un troisième petit boulot. C'était pas avec mon petit salaire de serveuse que j'allais pouvoir, payer une vrai maison à ma mère.

Je remontais en haut, le moral à zéro, quan un cris d'effroi retentis dans l'air, sans réfléchir une seconde, je me précipita dehors, pour voir de où provenait ce crie.

Une petite fille se trouvait là, sur le trottoir dans face, une tignasse brune en bataille, un visage d'ange recouvert de larmes, dans un pyjama rose bonbon, un nourrisson pleurant à chaude larmes, dans ces petit bras d'enfants.
Je ne suis pas la seule, à avoir étaient alerté par le crie de la petite fille, des dizaines d'enfants sortaient des maisons qui bordent la rue.

Quelques choses clochait, il n'y avait aucun adultes, pas un seuls parents tenant la main de leurs enfants en pleurs, à la place des petits visages baignés de larmes, affolés et apeurés. Où était passé leurs parents ? Ils ne pouvait pas avoir tous avoir disparus, mais surtout où ce trouvait ma mère.

Le bras de la petite fille, se lèva tremblotant de peur, et indiqua une direction ou plutôt quelques choses, juste en face de ma maison, le même grillage que j'avais vue de ma fenêtres, je n'avais pas rêvé, la ville était entouré d'un gigantesque grillage, montant jusqu'au ciel, nous coupant du reste du monde, nous gardant prisonnier, comme des rats dans une cage.

Des enfants se mirent à crier, d'autres sanglotèrent, en appelant leurs mère avec désespoir, en apercevant le gigantesque grillage, quand à moi je ne pouvais pas quitter des yeux ce grillage, je ne bougeai pas, tout était confus dans mon esprit quelqu'un ou quelques choses nous avaient enfermé ici, mais pourquoi c'était la question que me posé.

Un bruit strident retentis des haut parleur de la ville, faisant stopper les pleurs et cris, perçant mes tympans par la même occasion. Tout les enfants s'arrêtèrent de parler et de bougé, quelqu'un s'apprêtait à prendre la parole ...

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N.A : Salut !!!
J'espère que ce chapitre vous à plût, mes petits hiboux ^^
Je pense que comme c'est les vacances, je vais posté plus de un chapitre par semaine ^-^

J'ai besoin, d'idée de noms, pour mon personne principal, d'habitude j'en est des tonnes, mais là rien, alors dites moi des noms en commentaire ^_^

Et aller lire, la fiction " enquête au campus " de safa_1547, elle est vraiment bien .

Bye !! Bye !! Les petits hiboux ^^

Enfance sans vie [Pause ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant