I Will always hate You.

I Will always hate You. Chapitre1.

I Will always hate You.

Chapitre 1.

"Sur 7 milliards de personnes dans le monde, j'étais obligée de tomber sur eux"

-Tu es prête ? Me demanda ma mère en passant sa tête par l'entrebâillement de la porte.

-Oui, répondais-je, je suis enfin prête.

-Tu m'appelleras dès que tu arrives !

-Oui maman, promis.

-Tu sais Jenna, tu vas me manquer, à ton père aussi et à ta sœur surtout.

Je souris à cette parole. Les larmes aux yeux.

-Maman...

-Non c'est moi tu sais, j'aurais du être autant là pour toi que ta sœur et je suis désolée de pas t'avoir souvent épauler.

-C'est pas grave. Dis-je d'un sourire mélancolique.

Elle ouvrit finalement la porte pour venir me prendre dans ses bras.

-Ma petite fille. Tu es grande maintenant !

-Maman, dis-je avec un petit rire.

-C'est vrai ! Tu as tellement grandis ! Maintenant tu es une jolie jeune femme et ça y est tu t'en vas de la maison.

-Tu sais très bien que je ne m'en vais pas totalement de la maison. J'y vais juste à Londres pendant quelques années poursuivre mes études !

-Je suis fière de toi ! Je t'aime fort.

-Moi aussi, Maman.

-Allez viens ! On va descendre tes valises avant que ton père nous appelle encore une fois !

Je ris à sa phrase ! Ahh ma petite maman tu vas vraiment beaucoup me manquer ! Malgré nos disputes je l'aime énormément, c'est ma mère, celle qui m'a mis au monde.

On porta ensemble ma seule valise car les autres affaires avait déjà été directement envoyer dans mon futur studio. Et on se dirigea toute les deux dans la voiture de mon père où se trouvait déjà ce dernier et ma petite sœur, Emma.

❀❀❀

Après être arrivés à l'aéroport, ce fut le temps des au revoir.

Ma mère me pris dans ses bras en prenant bien soin de me rappeler encore une fois que je devais l'appeler dès que j'arrivais à Londres, ma sœur me fit un gros câlin pour mon plus grand étonnement, me disant que j'allais lui manquer beaucoup et qu'elle m'aimait malgré nos disputes constantes. On pleurait comme des cruches.

-Oh moins tu pourras écouter ton groupe de naze soir et matin. Lui dis-je en lui faisant un clin d'œil.

Elle rigola à ma blague et répondit avec un « Tu changeras jamais toi ! Un jour tu aimeras One direction ! Tu verras, la magie de Londres va t'hypnotiser ! Tu vas me manquer grande sœur, je t'aime fort. »

Sa dernière phrase me brisa petit bout par petit bout mon cœur de pierre.

Mon père me serra contre lui en me disant que je peux l'appeler quand je veux si j'ai le moindre problème et qu'il était très fière de moi et que j'étais sa grande fille chérie.

Ces au revoir étaient plus dur de ce que je pensais.

Après avoir passer les portes d'embarquement je ressentis comme un grand vide en moi : J'allais quitter ma famille, mes amis, mon pays, la France, ma vie d'avant.