Je vais te montré le paradis qu'est l'enfer

C'est un cauchemars

Comme je m'y étais préparé rien ne c'était produit durant la nuit, c'était bien la dernière fois que je faisais ce genre de chose. Je préparais mes affaires pour la journée, ma douche fini et mon petit déjeuné avale du moins ce que je pouvais avaler, je pris la routes vers mon écoles. Les cerisiers étaient encore en fleur, leurs pétales roses claire tombaient sur les trottoirs et la routes. Cela rendait le paysage encore plus magnifique, c'était aussi pour cela que je rêvais de venir ici. Le retours à la réalité fut plus que brutal, alors que je marchais sur le trottoirs menant au portail de mon école je recevais une canette de bière sur le coin de la tête rapidement suivis d'une voiture passant a tout a vitesse devant moi, je reconnus un garçon de l'équipe de tennis à travers la fenêtre me traité de tous les jolies noms d'oiseaux qu'étais composé son vocabulaire si peu fournit.

- Reprend toi ma grande tu vas aller étudier comme tous les jours et laissé c'est crétin mené leurs vies de misère

Montré au sein de l'école fut plus que glorieux et humiliant, garçon comme fille me regardais avec ce regard haineux et moqueur collé à leurs visage, tout ça parce qu'ils avaient surement partagé la vidéo alors que cela pourrait leurs arrivé à eux aussi. La meilleure arme pour moi contre ce type de situation était l'ignorance totale, les deux premières heures furent les plus durs. Entre papier mâché collé dans les cheveux, les punaises sur ma chaise ou bien que l'on me pousse contre un casier cela devenais ma routine mais me révolté ne changerais rien au contraire j'aurais 10 fois plus d'ennuis qu'avant. La sonnerie retentit enfin c'était la pose déjeuné le moment que je préférais je pouvais souffler et me détendre un peu, j'avais trouvé ma planque idéal un endroit où aucun étudiant ou très peu s'y rendait surtout à la pose déjeuné, la bibliothèque. Comme à mon habitude j'allais m'installé au fond de la bibliothèque près de la fenêtre j'étais sûr d'être tranquille et de profité de mon repas, je ne pus m'empêché de peaufiné quelques leçons quand je sentie comme un regard insistant sur moi cela devenais gênant c'était une drôle de sensations, je levais les yeux mes personnes n'étais là. Je me reconcentrais sur ma lecture quand cette même sensation recommença, mais cette fois si un peu plus intensément, je me levais rapidement la tête et aperçue au fond d'une allé une ombre. Je me levais vers cette allé mais il n'y avait toujours personnes cela devenais très perturbant. Un livre tomba et quelqu'un sortit d'une allé un peu plus loin, je poussais un souffle de soulagement ce n'était que l'une de mes dernières amies a encore me parlé Yuki, c'était une jeune fille très timide qui rêvait de devenir mangaka elle passait c'est journée a lire des livres et des mangas, c'est d'ailleurs cette passion qui nous avait rapproché.

- Oh ce n'est que toi tu m'a fait peur Yuki, c'était toi tout à l'heure qui me regardais ?

- Euh non pas du tout je viens seulement d'arrivé pourquoi il y avait quelqu'un ?

- Et bien j'ai crue oui mais cela doit être mon imagination

Nous nous asseyaient tout les deux autour d'une table a mangé nos bento tout en discutant du dernier épisode de nôtre animé préféré. C'était bien la seul personne avec qui je pouvais parlez librement sans courir le risque d'avoir des ennuis, nôtre discussions du rapidement interrompus par la sonnerie du couloir, je n'avais même pas vue le temps passé il fallait que je rende à mon cours de couture, le seul ou le professeur ne m'avais pas pris en grippe. Mais j'allais devoir supporté Mélissa et c'est commentaire désobligent, elle devrait plutôt ce mettre au travail sinon elle risque le redoublement en même temps la mode n'étais vraiment pas son fort heureusement que le ridicule de tuais pas sinon elle serait déjà morte depuis bien longtemps.

Nous nous faisions un au revoir avant de nous sépare chacune de notre côté, la salle de couture était à l'autres bout de l'école et n'ayant pas mon matériel je dû faire un crochait à mon casier. Alors que j'ouvrais mon casier Ren passa rapidement en faisant tomber tout mes affaires sur le sol du couloir, les élèves regardaient la scène sans réagir certains marchais même sur mes affaires, quand à lui ce Ren était heureux il avait l'air de l'homme le plus heureux du monde .