La partie ne fait que commencé

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Mais pourquoi mon corps refuse-t-il de se mouvoir bon sang ! Il est en train de me dire qu'il veut me goûter ça veux dire quoi ! Je sentais sa deuxième main remonter le long de mes hanches puis de mon ventre tout droit vers la poitrine, Si je le stop pas maintenant qui sait ce qu'il va ce produit, au moment où sa main se posa sur mon sein droit je réussis à enfin mouvoir mon corps. Je le poussai fortement en arrière tout en m'étant une certaine distance de sécurité entre nous deux, il se redressa en passant sa main dans ces cheveux noirs de jais. Son regard envoûteur changea en un instant, avant qu'il ne se mette à rire aux éclats. Tellement fort qu'il en cracha c'est poumon.


- Aaaah non mais tu devrais te regarder ! On aurait dit que tu avais vu un fantôme ahah

- Il n'y a rien d'amusant là-dedans !

- Ooh si tu es tellement marrante on dirait une petite vierge, ne t'inquiète pas tu n'es pas mon type j'aime plutôt celle à forte poitrine

- Et alors ça fait quoique je sois vierge espèce d'idiot


D'où ce crétin me traiter-t-il de planche à pain ! Certes je ne possède pas un bonnet D et alors . Alors, à ses yeux je n'étais qu'une planche à pain avec qui il peu s'amuser. En même temps je ne m'attend pas à ce que ce sois un ange, mais m'attaquez sur mon physique ça je ne le supporté pas.



- tu ne vas pas me faire la gueule pour cette blague quand même .

- Non j'en vois pas l'intérêt, je te laisse-moi et ma petite poitrine a du boulot à faire et ne fais pas cramer le gâteau merci


Il resta planter dans la cuisine sans rien ajouter, fier de lui avoir fermé son clapet je me rendis dans ma chambre. C'était bien le dernier endroit où il ne rentrait jamais sans ma permission. La maison redevenue silencieuse je me remis sur mon cahier a dessin, crayon à la main je laissai mon imagination débordante griffonner cette page blanche. Le dessin était comme une échappatoire pour moi. Je m'y réfugiais assez souvent surtout lorsque je suis contrariée, sa remarque concernant ma poitrine m'a touché. Je n'ai certes pas un corps de top-modèle, les garçons de ma classe me l'avaient déjà dit. Mais venant de lui ces mots étaient blessants, peut être parce que je le considère comme un ami. Cela voulait dire que même pour un démon mon corps ne les attire pas, le son du crayon sur mon bureau me ramena à la réalité. Sur ma feuille y était dessiner un homme de dos ressemblant fortement à Adam, décidément cet idiot ne souhaite pas sortir de ma tête. À croire que j'avais un faible pour lui, cette pensée me fit lâcher mon crayon. Il ne faut pas que je pense à ce genre de choses il est celui qui va me tuer, pas celui dont je dois tombe amoureuse !



- Reprends-toi espèce d'idiote !


Je laissai ma tête se cogner sur mon bureau espérant pouvoir le sortir de ma tête, mission impossible mon cerveau avait décidé de me faire chier !

Changement de point de vue

PDV Adam

Que les femmes peuvent être compliquées ! L'humour elles ne connaissent pas, ça c'est sur. Franchement je me fiche bien qu'elle le prenne bien ou mal, si elle me fait la gueule je peux dire adieu à c'est bons petits plats. Il va falloir que je le mette ma fierté de côté et m'excuser, j'en ai la nausée rien que d'y penser. Mais nous allons passer sûrement pas mal de temps ensemble si ça ce passe mal ils vont encore me tomber dessus en bas. Déjà que la dernière fois je suis passé de peu de me faire désintégré, je ne compte pas refaire les mêmes erreurs. Je m'assois sur l'un des sièges de la cuisine tout en vérifiant le minuteur du four. Il faut que je trouve quelque chose pour m'excuser, hors s'excuser n'est pas dans ma nature. Plus les minutes passez plus mon mal de crâne s'intensifiait, tout ça commence vraiment à m'énerver. Mon regard se baladait dans la pièce, la sonnerie du four retenti et la vue de son portable sur le bar me donna une idée. Le four éteint, je pris son portable quelques instants. Enfin une idée venait de germer dans ma tête.

Je vais te montré le paradis qu'est l'enferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant