Chapitre 1

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Les années défilèrent à une vitesse inimaginable. Et très vite, nous fûmes aujourd'hui. Le 8 juin 5632.

" La dimension céleste est appelée "Grazya" en sa langue natal, l'invenzia. Quand la planète bleue parue dans l'univers, la magie fut le déclencheur de la vie. Elle créa avant tout, la cyanobactérie. Puis passa à de nouvelles créatures microscopiques. Et vint, après des milliards et des milliards années l'être humain. Mais, déçue de sa création, la magie quitta la terre et créa la dimension céleste, la seconde réplique exacte de la terre, mais peuplée de créatures aussi extraordinaire les unes des autres. Cette source extrême abandonna la planète bleue qui se détruisait
elle-même petit à petit et s'introduit dans un dircurs, une pierre plus dure que le diamant qu'on surnomma "le coeur de cristal". Sur Grazya, les millards de créatures différentes forment des peuples. Et des millions de peuples vivent en paix et en harmonie."

Un petit sourire ironique se creusa au coin de ma lèvre. Le temps harmonieux et paisible décrit dans le gros bouquin que j'étais entrain de lire avait disparut depuis une centaine d'années déjà. Moi même, n'avais pu juir rien qu'une seule fois de la chaleur du soleil brillant. Je fermais le livre en penant soin de ne pas abîmer les vieilles pages fragiles et je le replaçais entre deux autres sur l'étagère. J'étais dans la plus grande bibliothèque de nos villes et villages. Celle d'Akata. Elle était splendide. Un bâtiment entier. L'entrée était conçue de deux grandes portes ornées de gravures représentant des flammes. Et l'intérieur...j'ignore si je suis capable de trouver les mots. Les fenêtres de milles couleurs étaient semblables à celles des églises, puis les étagères, les une derrière les autres formant des rangs spacieux. Je me rends très souvent en lieu, ici...je ne vois pas l'enfer à travers le dôme. La construction de cette bibliothèque avait été essentielle, il faillait qu'elle soit parfaite. Pourquoi? Parce que elle était un lieu sacré qui réfugiait nos livres les plus importants. Les histoires et les légendes du peuple, ainsi que ses relations avec les autres peuples et les bouquins de magie professionnelle, de contrôle, et de sorts.  Tout nous était extrêmement cher. C'était tout notre savoir.

Ça fait maintenant 136 ans que le seigneur Mouata à pris possession du coeur de cristal et a rendu la terre à l'esclavage. Je fais parti du peuple Fedzia, traduit sous "la ronde de feu". Mon père, le seigneur Erak est un puissant sorcier. Il su, avec le cercle puissant autrement dit le groupe des chefs,  leurs faire face. Aidé par leurs soldats courageux, ils purent protéger les femmes et les enfants. Il mirent en place un dôme transparent qui empêcha le seigneur de l'ombre, Mouata, de pénétrer nos terre. Celles-ci furent bien sûr réduite à cinq grandes villes, dont Akata la capital, et plusieurs petits villages.
Moi, j'habite dans un petit village appelé Myrenda. Oui en effet, il s'agit d'un nom de femme. Ceci est du à une légende concernant se petit pâté de maisons. Ma maison se trouve à la lisière d'une forêt importante. Cette forêt est un refuge pour un mini-pleuple, celui des fées-naines. Dans notre peuple se trouve un autre peuple. C'est sûre que pour des créatures d'à peine 5 cm d'hauteur, avec des petites ailes, le monde paraît beaucoup plus vaste.

J'eus un court temps de réflexion, mes doigts encore posés sur la fourre du livre. Suite à cette petite éclipse mental, je levais les yeux et admirais le plafond si travaillé du bâtiment. Qu'elle beauté..." Nos ouvriers on vraiment fait fort " pensais-je. J'avais beaucoup de respect envers ces artistes.
Ah! Qu'est-ce que j'apprécis ce calme! Juste quelques instants libérée de se stresse infatigable. Mais très vite, le temps recommençait à tourner, et je dus abandonné mon paradis de livres.

Je levai mon poignet pour l'introduire dans mon champ de vision à la hauteur de mon menton. Je me rendis compte avec effroit qu'il était déja 20 heure.
Je pris mon sac d'un geste rapide et je élançai dans les couloirs de ce labyrinthe pour rejoindre les deux grandes portes. Une fois dehors, je courrais jusqu'à l'arrêt de plaquettes.

Dimension célesteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant