Chapitre 2

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cette nuit là fut agitée. Un horrible cauchemard domina mon esprit perturbé. Ma mère, une femme magnifique toujours souriante, le genre de personne cherchant à toujours aider et faire plaisir aux autres sans même se préoccuper de son propre bien, se trouvait prisonnière du seigneur de l'ombre. Elle se trouvait retenue dans une cage de barreaux en métal infranchissable. Sa cheveulure noir pareille à la mienne s'agitait à chaque fois qu'elle émettait un son de détresse. Ses yeux d'une couleur semblable était rouges souillés par des larmes d'effroit et de désespoir. Pour une raison que j'ignore, je ne pouvais m'élancer vers elle pour la secourir. Comme si une force invisible me retenait. Je ne pouvais pas intervenir dans la scène, j'étais une spectatrice qui ne devait qu'observer. Puis un homme apparut à côté de la cage à fauve. Il portait un long manteau sombre qui était propulsé en arrière à chaque fois qu'un coup de vent rageait. Et, un grand chapeau de chasseur cachait son visage que je devinait très masculin et terrifiant.
Au moment où il s'apprêta à le relever pour me voir, tout devint noir, je ne vis plus rien. Et je me réveillai en un sursaut.
Ma mère était partie il y a deux semaines à la lisière du dôme pour construire de nouveaux plans de défense et de nouveaux sorts d'attaque. Elle était en toute sécuritée, rien ne pouvait lui arriver...normalement.
Je repoussais doucement mon duvet de fourre bleu claire et me levais. Je prenais tout mon temps,  comme chaque matin quand je fis agitée par un cri.

" -BORDEL ! ! !  LYKIA !  c'était une voix grave et imposante,  celle de mon père.

Je su tout de suite qu'il était plus judicieux pour moi de bouger vite fait. J'accélérais le ritme,  j'enfilais un pantalon serré noir et un haut confortable. Puis sortis de ma chambre en courant. Je sentais une excitation dans l'aire, quelque chose s'était passé. Une fois au rez-de-chaussez, je vis mon père habillé d'un manteau noir, un peu plus long que celui dans mon rêve, il avait pris un aire sérieux et énervé.

"-Papa? Dis-je d'une petite voix.

"-ne discute pas, on y va. Il y a eu un soucis avec le dôme et je viens de recevoir l'appel d'un village voisin. Mikia, le pâté de maisons où se trouvait ta mère à été attaqué. Apparemment, le dôme à reculé et le village s'est trouvée du côté ombre. "

J'eus un coup de couteau dans le coeur en apprenant cette horrible nouvelle.
Je poussai mon père et sortis de la maison en courant.

"DÉPÊCHONS-NOUS!" hurlais-je, cette fois c'est moi qui eus cette voix imposante et grognante.

Il avança et fit apparaître dans les aires, des plaquettes comme celles du "métro " à l'aide de cerfis larges.

Pour tout dire, notre pouvoir consiste à avoir une capacité mental capable de bouger tous les atomes de l'aire. L'aire est fait de milliards d'atomes tous les uns à côté des autres. Nous pouvons faire en sortent de les raprocher et de les faires exploser entre eux. Ce qui donne, à l'oeil nu, des fils de feu, qu'on appelle les "Cerfis", on peut les bouger, les formers, et faire ce que l'on veut avec. Les cerfis sont des traits visible dans l'aire mais de la matière transparante relie les traits entre eux quand on produit une forme, ce qui leurs donne de la force. Mais pour le manier correctement on a besoin d'énergie comme le soleil ou la lune. Si une personne est Soleil et qu'il n'y a pas de soleil, sont pouvoir diminura jusqu'à devenir totalement inexistant. Mais, les maîtres, comme mon père, savent le contrôler à la perfection des deux énergies. Moi, qui ne l'ai jamais beaucoup utilisé, j'ignore encore si je suis soleil ou lune. Mais depuis que le Seigneur Mouata à transformer la planète en ombre et que le soleil ne brille plus, nous sommes devenus plus faible.

Il me pris par l'avant-bras et me fit monter sur ses plaques. Tout deux, avançâmes sautant de plaques en plaques dans les aires pour survoler les forêts et ne pas avoir besoin de contourner toutes constructions naturelles.
Dans le ciel, les nuages noirs crachaient des éclaires rouges. À chaque fois que je levais la tête, je voyais le monde horrible de lequel nous vivions. Puis je baissais la tête et voyais le sol. Nous étions à environs 5 mètres du sol et je voyais parfaitement les villages que l'on survolait. Tous étaient encore brillants, décoré de fleurs capable de pousser sans soleil, des enfants rigolants en essayant leur pouvoir courraient dans les rues étroites et hurlaient quand il parvenaient à faire apparaître une étincelle.  Et je regardais ensuite l'horizon, infini et pourtant inatteignable. Finalement, mon père s'arrêta d'un coup. Plongée dans mes pensées je lui rentrais dans le dos bêtement. Il me regarda d'un aire sérieux, je ne fis aucun geste et il changea son aire en aire moqueur. Qu'es ce que je l'aimais. Depuis toujours il était pour moi un héros. En dessous de nous, nous vîmes un tas de gens réuni dans un petit village. Nous descendîmes des plaques.
Des femmes, des enfants et des paysans étaient tous en actions, ils courraient dans tous les sens et faisaient des allers-retours entre leurs maisons et un grand bâtiment en pierre. Nous nous dirigeâmes vers celui-ci. Un panneau bleu était affiché au bord de la route, nous étions à Mikia.

"-c'est là que les survivantes se sont réfugiées." disait mon père.

Je réalisais tout à coup qu'il y avait eu des victimes. Je réalisais que j'avais peut-être perdue ma créatrice, ma mère, elle qui m'avait appelé cette nuit et que je n'avais pas cru. Je sentais mon coeur brisé, brisé d'avoir pas réagi quand ma mère appelé à l'aide. Ma peine et surtout ma peur étaient atroce.

Nous avançâmes et entrâmes dans l'énorme  bâtiment blanc.

Une fois à l'intérieur j'avais de la peine à garder les yeux ouverts.
Des lits, des dixaines de lits au draps blancs des hôpitaux, étaient occupés par des femmes gravement blessées. Certaines avait déja rendu l'âme.
Une infirmière paysanne s'approcha de nous et nous salua. Puis elle nous expliqua les faits:

"-bonjour Monsieur, bonjour mademoiselle. Je suis une infirmière, je m'occupe de ces femmes depuis qu'elles sont arrivées. Elle parlait calmement, sa voix était triste et grave. C'était une catastrophe. Je suppose que vous êtes ici car vous avez une connaissance? "

"-dites moi ce qu'il s'est passé" gronda-mon père.

"-celles qui étaient capable de parler nous ont dit qu'elles s'étaient toutes tranquillement couchées hier soir et que le dôme s'est retiré de leurs maisons pendant la nuit, à 4 heures du matin, elles furent attaqué par des créatures de l'ombre contrôlée par Mouata. "

Mon père était énervé, je l'avais rarement vu comme ça. Moi aussi d'ailleurs. Comment cela avait-il pu se produire! C'était pas possible! Ça voulait dire que le dôme devenait fragile et qu'il pouvait disparaître, nous serions tué en à peine quelques heures.

"-Minerva Etuly " hurlait mon père à l'infirmière. Apeurée elle plongea son nez dans une liste de noms. C'était le nom de ma mère.
Quelques secondes plus tard, elle releva la tête et dit:

"-...je l'ai effectivement dans ma liste, dans les femmes blessée, allez tout droit et tournez à droite, elle devrait ce trouver là bas. "

Mon père la contourna et suivit les instructions. Je fis pareil mais j'adressai un signe à l'infirmière pour la remercier.

Nous regardions chaques lits, en essayant d'ignorer les tâches de sang et les femmes décédées.
Et m'arretais. Elle était là, allongée sur un des lits. Je courus vers elle.

"-MAMAN" j'hurlais tellement fort que ma voix virait legerementet résonnait dans la salle parmi toutes les autres. Je la vit ouvrir les yeux. Mon coeur se remettait à battre. Elle était vivante.

"-pardon! Pardon! Je suis désolée! Désolée de n'avoir rien fait pour toi! De ne pas avoir écouté et réagi réellement à tes cris." elle était faible, très faible. Elle arrivait à peine à garder les yeux ouverte. Mon père se tenait à côté de moi, il tenait sa main tramblante.

"-j...je...vous...aime tellement..." son souffle se coupait à chaques son qu'elle prononçait.
"-je...v..vous...en..pris, sauvez..le plu..s de monde possible!, j..e serai pour toujours...à vos cotés. "
Je restais bouche bée et la prenait dans mes bras, mon père nous enlassait les deux.
"-reste...avec nous!" la supliais-je.
Je la vis faire un petit sourir avant de me répondre:
"-vou..s réchau..ffez mon...coeur froid, j'avais peur...de mourir...sans vous dire aurevoir...je peux partir tranquille maintenant..." elle ferma les yeux et son corp devint pâle. Ses mort m'avait fait pleurer, je me haissais au point de vouloir en finir! J'en pouvais plus de vivre comme ça, je devais faire quelque chose. Pour la vanger, pour vanger toutes les personnes mourrantes et décédée ici.
Mon père, le plus puissant que j'avais jamais vu, avait les yeux brillants, puis je vis une larme coulée sur sa joue. Ça me touchait tellement que je pleurais encore plus. Je n'arrivais plus à respirer. Je l'a pris et la reposa sur le lit. Je mis mon indexe et mon majeur doite sur son frond et je mis les deux même doigts sur le mien.

"-je te promets, sur les paroles du coeur de cristal blanc, que je vangerai ta mort." chuchotais-je.
Un signe de rune en triangle se grava sur son frond et disparut. Je lui avais promis. Mon père était sortit entre temps sur bâtiment pour hurler au ciel à quel point sa douleur était insupportable. À quel point il haissait Mouata et à quel point il voulait le détruire dans les plus fortes souffrances.

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⏰ Dernière mise à jour : Dec 21, 2016 ⏰

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