Une Histoire Avec Antoine Griezmann

Je m'enfous d'elle! ❤💘

Aujourd'hui était le grand jour pour nous. Ça à allait être la première fois depuis sa naissance que ni l'un ni l'autre n'allaient être avec elle. On allait la laisser seule avec sa baby-sitter. A vraie dire, elle ne me plaisait toujours pas. Nous l'avions revu dans la semaine pour qu'elle voit Mayah, et qu'elles forment serait-ce un brin de lien. 
Elle avait encore une fois un peu trop regarder Antoine. Que les femmes quelconque la regardent de haut vers le bas, je n'y pourrais rien, mais le fait que la nounou de ma fille analyse le corps de mon mari de cette façon sous mes yeux, bah, çà me m'énervait. Mais malheureusement, étant donner que çà avait été la seule personne ayant correspondu aux termes obligatoires à nos égards à moi et à Antoine, nous n'avions pas eu le choix. 
Antoine lui, avait eu cette habitude de ses regards de femmes à longueur de journée, donc, il n'y faisait pas attention... sauf que moi, je n'en avais jamais eu l'habitude... C'était la première fois que je me trouvais face à cette situation, et pour tout avouer, je ne gérais pas du tout. 

Heureusement qu'à part aujourd'hui elle allait me servir uniquement dans la fin de l'après-midi et la soirée parce que laisser tous les jours Mayah seule aurait été impossible, bien que j'aimais mon nouveau métier. 

 * 8h00*

Antoine partait déjà à ses entraînements, et moi j'attendais Tiana, la baby-sitter de Mayah qui devrait arriver à 11 heure, à l'heure où moi, je partirais. 
J'étais stresser à l'idée de la laisser seule. J'avais peur de qui pourrait se passer lors de mon absence. On me disait que j'étais trop une "mère poule".

Tiana finit par arriver, je lui donnais les horaires des biberons pour toute la journée, et la soirée. J'allais passé la journée dans le centre pour rencontrer tous les personnelles, on allait me donner ma liste de patient, et faire encore plusieurs choses. 

Antoine lui mangeait au centre et reprenait à 17 heure avant le premier match de la saison. C'était contre Las Palmas, et ils jouaient à domicile... Et après le match, j'allais devoir m'occuper des joueurs pour la toute première fois.
Au moins, j'allais pouvoir regarder le match... 
Mes moments au Stade était très rare, ce qui me déplaisait. J'aimais tellement les regarder jouer et cela même si c'était pour perdre. 

Je finis par devoir partir après avoir avoir embrasser Mayah une dernière fois.

* Au centre*

Arrivant, je me rendais au bureau du dirigeant des kinés. Je me sentais perdue, c'était la première fois pour moi, comme vous pouvez vous l'imaginez. Je fis la rencontre d'un jeune homme Jah'Yah qui était lui aussi un nouveau kiné et qui avait son rendez-vous en même temps que moi. Nous avions tout les deux le même âge et lui aussi était français. Je me demandais tant que ce l'Espagne avait d'attirant pour les français. Personnellement, si ce n'était pas Antoine et son métier, jamais je ne serais venue ici. 

Oui, la France me manquait... La Réunion surtout. Mon île exotique, où il faisait toujours chaud et beau, sans hiver à moins dix degrés ou pire, me manquait. Après l'Espagne n'était pas mal non plus; mais le reste me manquait aussi...

Le dirigeant des kinés, était un homme d'environ trente-cinq ans... Il avait un air très sérieux, quand il me donna mon livret avec le nom de mes patients et mes horaires, il prit un air plus sympa en me disant qu'Antoine avait tout fait pour être sur ma liste. Je lui souriais.
On pouvait lire sur l'étiquette de sa chemise qu'il s'appelait Marco Rodriguez...
L'homme nous escorta jusqu'à nos salles... Nous montra avant ça la salle de repos, le Café, nous présenta nos assistants... On s'occupait chacun de trois joueurs... En ce qui me concernait Antoine , Kevin Gameiro, et Fernando Torres.

À 11h50, M.Rodriguez revint nous voir pour aller nous présenter aux autres kinésithérapeutes. Nous mangeâmes tous ensemble . Ils étaient tous très conviviales... Ils venaient nous parler, et nous posaient toutes sortes de questions pour qu'on apprenne à se connaître. J'étais plus coincé que Jah'Yah qui lui se prêtait plus rapidement qu'au jeu que moi.