Noël 💕

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       Mon métier me plaisait... Tellement que le temps avait passé à une allure de dingue.
Je m'entendais a merveille avec les autres kinés, surtour avec Jah'Yah  ce parfois pouvait agacer Antoine. Sa jalousie envers mon collègue était vraiment grandiose alors qu'il savait très bien que ce n'était qu'un ami et un collègue pour moi. Après je ne pouvais en aucun au cas être en colère après lui pour cela, étant donner ma jalousie excessive également. Cela me faisait juste rire, ses petits gestes envers moi quand Jah'Yah était avec nous.

Jetant ma valise sur mon lit, j'attendais désespérément le retour d'Antoine. Cette semaine sans lui ne m'avait absolument pas plu. Il me manquait et manquait à Mayah également. Ses matchs c'étaient tous très bien passé, il avait marqué deux buts et avait exécuter trois passes décisifs.
La petite n'avait pas réellement comprit pourquoi son père était absent. Elle avait déjà huit mois et rempait de partout. Elle avait eu la chance d'avoir les yeux d'Antoine, son teint... À vraie dire, c'était le portrait de son père. Elle ne me ressemblait absolument pas...

Antoine devait rentrer à dix huit heure, pour reprendre l'avion dès demain pour aller à la Réunion. En ce moment , il faisait chaud là-bas, alors j'étais vraiment presser de partir. Le froid ici était vraiment horrible pour moi. J'avais déjà préparer toutes les affaires de Mayah. Les miennes allaient être beaucoup plus rapides à faire, ceux d'Antoine également. 

Mes parents avaient été heureux d'apprendre notre venue...
On avait loué une maison sur St-Gilles pour toute la famille. Aurélie et Nelson, ainsi que Lou et Théo allaient être avec nous aussi. On allait être donc être au complet.

Antoine finit par arriver mais avec quelques heures de retard. Son vol avait attéri avec du retard. Arrivé, même épuiser, il prit tout de même la peine de m'aider à finir les sacs et nous finîmes par avoir quelques heures de sommeil.

*Elypse du vol *

Reprenant la route après deux heures de stop devant l'aéroport, Antoine prit le volant jusqu'à St-Gilles. La maison qu'on avait loué se trouver à quelques pas de L'Ermitage , la plage.

Mes parents et le reste de la famille étaient déjà arriver, nous étions les derniers.
Aurélie s'amusa directement à prendre Mayah dans ses bras, avant même de me dire "bonjour". 
Pour me narguer, elle me lança une phrase Espagnol, que je ne compris pas. Antoine rigola voyant mon incapacité de lui répondre.

Nous passâmes le reste de la journée a discuter après s'être installer... La nuit arriver, Antoine, Lou, Aurélie, Nel', et Théo squattèrent notre Chambre qui n'étaient qu'en fait, une multitude de matelas recouvert de drap avec énormément d'oreiller. Florian qui n'était pas d'accord que Mayah dorme sur moi, alla voler un câlin à Antoine en croyant me rendre jalouse. Il avait beau grandir, il restait toujours aussi ... câlin.

Tandis que les garçons ainsi que Lou jouait à FIFA, je couchais Mayah d'un côté de la Chambre et récupéra mon petit frère sur le torse d'Antoine pour le prendre dans mes bras.

Moi: Petit jaloux - lui lançais-je le serrant contre moi avec un sourire.

Florian: Oui!

Au moins, il le reconnaissait.

*Elypse de la nuit*

Le lendemain matin, nous nous réveillâmes à pas d'heure. Je passais la journée avec Aurélie et Lou, uniquement en ville. Nous fîmes des achats tandis que les garçons eux, étaient partis s'amuser un peu sur le terrain du Bernica.

* Point de vue d'Antoine Griezmann*

Pendant que les "vieux " comme on les appelaient, préparaient le repas du soir, Nelson nous emmena sur le terrain après qu'on ai acheté un ballon.
Nous avions rencontré une équipe de jeune qui jouait sur le terrain et leur entraîneur. Nous avions accepté de jouer avec l'équipe. Bien que j'avais demander à ce que mon apparition ici ne soit pas communiquer, une trentaine de minutes plus tard, des "gros-bras" durent venir sécuriser l'entrée du stade pour nous laisser jouer. La plupart comprirent que je ne sortirais pas, alors que je concacrais du temps aux enfants et à mes proches. Je n'avais pas envie de passer mon temps à signer des autographes au lieu de m'amuser un peu.
Je ne marquais aucun but, mais laisser plutôt faire les jeunes. Ils étaient heureux en marquant et c'est ce qui me rendait aussi heureux. Je me souvenais tant de ses sourires que j'avais a chaque fois que mes ballons atterrissaient au fond du filet.

Une Histoire Avec Antoine Griezmann Où les histoires vivent. Découvrez maintenant