Chapitre 1

44 5 2
                                    


Pdv Louis :

Je cherche un moyen de m'échapper de ce camp, ça pue le mort. Je dois absolument sortir d'ici ce soir. Une fois la nuit tombée j'attends patiemment que les gardes aillent manger pour pouvoir sortir par une des portes à l'arrière afin que personnes ne me voit.


Pdv Harry :

Je suis chez moi, j'écoute le moindre bruit en provenance de l'extérieur pour ne pas subir une nouvelle attaque des allemands. Puisque nous sommes en guerre depuis 1939, Hitler veut anéantir les juifs ce que je trouve minable, dégueulasse. La France elle combat. Je prépare un repas car il se fait tard.


Pdv Louis :

C'est ma seul et unique chance de sortir d'ici il n'y en aura pas de deuxième. Je dois sortir d'ici vivant. Je franchis une des portes qui nous est normalement interdite, mais je le fais car je sais qu'elle me mène a dehors. Je l'a franchis puis je cours vers les champs, mon cœur tambourine dans ma poitrine, je dois passer sous des fils électriques, j'y vais, je prends le risque, je suis assez fin je n'ai pas trop de mal à le faire.

Je sens mon cœur me faire mal dans ma poitrine on dirait qu'il va exploser cependant je dois le faire pour ne pas mourir dans ce camp, je ne veux pas mourir faible. Je jette un dernier coup d'œil risquer vers les gardes qui eux continue à manger sans se soucier que quelqu'un s'échappe. Je suis passer sous ce fil puis je cours aussi vite que je peux.

Je ne sens plus mes jambes on est en fin de mois de novembre et je suis munis que d'un pull, j'ai froid, faim, soif. J'essaye et je dois tenir jusqu'à la ville voisine. J'y suis arrivé je suis dans la ville voisine, je me dirige vers la maison la plus proche, je supplie le bon Dieu que ce ne soit pas des allemands ou autre. Avec mes dernières forces je toque à une porte à mes risques et périls.


Pdv Harry :

J'entends qu'on frappe à ma porte, je crains que ce soit les boches. Je me dirige vers ma porte d'entrée, j'ouvre doucement et vois un jeune garçon complétement apeuré.


Pdv Louis :

Je ne sens définitivement plus mes jambes, ma tête me fais mal ça tourne, je ne me sens pas bien j'ai la gorge en feu et j'ai froid. Je vois un inconnu ouvrir la porte, puis à bout de force je m'écroule devant lui.


Pdv Harry :

Je vois ce jeune garçon s'effondrer devant moi, je prends pitié car il me semble jeune donc je le porte jusqu'à mon fauteuil et le couche par la suite je lui met une couverture. Je sais pas pourquoi je l'ai rentrer peut être car il est perdu ou alors c'est peut être c'est un éclaireur... je dois sûrement trop réfléchir


Pdv Louis :

Je me sens léger tout à coup, on me porte oui ça doit être ça. On me dépose sur un canapé, puis je sens une couverture sur moi, je me sens plus chaud, mais j'ai toujours aussi soif et faim.

- D.. De.. L'.. L'.. L'eau.....

J'essaye d'articuler pour qu'il comprenne, je ne sais pas s'il est à côté de moi ou pas car j'ai les yeux encore clos et j'ai du mal à les ouvrir.


Pdv Harry :

Je met fin à mes pensées lorsque sa voix me parviens aux oreilles. Il a soif je me lève donc chercher un verre d'eau. Sa voix est faible et fatigué, je me demande ce qu'il lui est arrivé.

- Tient, un verre d'eau. je lui tends le verre d'eau.


Pdv Louis :

J'ouvre doucement les yeux puis j'attrape le verre d'eau que l'on me tends. Je le bois d'une seule traite. J'avais vraiment horriblement soif.

- M... M... Mer.. Merci...

Je ne sais pas trop quoi dire d'autre, de toute façon je suis trop fatigué pour dire quoi que ce soit d'autre. J'ai encore soif mais n'ose rien dire.


Pdv Harry :

Je regarde ce jeune garçon boire d'un seul coup, il devait mourir de soif. Je l'observe il est assez maigre et sale.

- De rien, tu en veux un autre ?

Je lui demande gentiment, il parait sur le point de s'endormir, je ressens de la peur dans son regard et en même temps du soulagement. Je regarde de plus près sa tenue : c'est un pyjama rayé, avec une étoile jaune. C'est seulement là où je comprends que c'est un juif qui à du s'échapper.


Pdv Louis :

Il me demande si j'en veux un autre. J'hoche la tête positivement quoi que ce soit et s'il allait prévenir les boches ? Non impossible, il est vraiment gentil. Je m'attarde sur sa table et je vois qu'il a préparer à manger pour lui bien sûr. Je n'ose pas lui dire que j'ai horriblement faim malgré le fait que mon estomac crie famine.


Pdv Harry :

Il me réponds positivement je lui ressert un verre d'eau, j'entends aussi son ventre gargouiller, donc je prends une assiette avec un verre d'eau et le lui met à son niveau pour qu'il puisse manger. Il à l'air gêner.

- Tient, un verre d'eau et un plat pour te remplir l'estomac tu dois avoir faim, je me trompe ?

Je lui pose sur ma table basse et je reviens accompagné d'une assiette pour moi et je m'assois sur le siège en face de lui.



La Guerre De l'amourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant