La Guerre De l'amour

Chapitre 8

Pdv Harry :

Il me dit de partir, ce que je fis. j'ai été écrire un peu sur ma nouvelle histoire au bout de quelques temps, il m'appelle par mon surnom j'arrive dans la cuisine ou il y a une bonne odeur.

-  Hmmmm, sa sent super bon dit donc.

Pdv Louis :

Je suis tout fière de moi mais je transpire à fond j'ai les cheveux tremper..

- Oui sa sent le Lou nan sa sent bon parce que le manger est bon. Il me sourit.

On s'installe et je le sert tel gentleman de l'eau

- Je sais ce que c'est con de te demander ça.... Mais on est quel jour aujourd'hui ?

Pdv Harry :

Je ris 

- Tu sens bon la peinture...

Je lui lance un clin d'œil et m'installe, il me sert à  manger en me demandant la date du jour.

- Euh le mardi 7 décembre 1943 pourquoi ?

Pdv Louis :

Je rigole a mon tour

- Parce que hum, la on voit à quel points ces putains de camps sont horrible, parce que dans les camps ils nous disent pas les dates qu'on est... Je croyais qu'on était en novembre..

- C'est bientôt noël ? Et mon anniversaire...

Pdv Harry :

Je reste silencieux, je déteste les camps de concentration putain vraiment... Et quand il dit que c'est bientôt son anniversaire je suis étonné.

- Ah bon ? C'est quand ?

Dis-je pour changer de sujet.

Pdv Louis : 

Il veut savoir ma date d'anniversaire...Et bien lui d'abord.

- C'est quand ton anniversaire Hazza ? D'abord toi et après peut-être je te répond.

Pdv Harry

Je souris

- Le 1er Février à toi Loueh ?

 Pdv Louis :

- Le 24 décembre et je suis l'un des derniers de l'année mais c'est pas trop mal....

- Alors tu aimes ce que je t'ai fais ?

Pdv Harry :

- T'es un beau cadeau de noel à ta famille et oui c'est très bon.

Je savoure son repas, qui est très bon.

Pdv Louis :

- Oui c'est sûr, pur ma famille oui.

Je balance mes pieds sous la table c'est une habitude, j'ai toucher sans le vouloir son genoux ce qui le fais virer au rouge pivoine.

Pdv Harry :

Je le voit gêner, je souris et d'un coup je sens son pied sur mon genou qui m'a foutu des frissons dans tout mon corps, je me sens virer au rouge.