Chapitre 2 Survivre

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PDV Peter 

Il est là.

Greg et Tamara me l'on amené, le plus pur des croyants mais sa famille ne va pas mettre longtemps à arriver sur l'île. Je pense avoir quand même un peu de temps devant moi. Je le sentirais quand ils seront là et enfin on pourra s'amuser.

P: Ha, tu es réveillé. On va pouvoir commencer.

H: Commencer quoi ? 

P: Hé bien à jouer. ( En s'adressant aux garçons perdus ->) Vous pouvez venir !

Il n'avait même pas encore fini sa phrase que déjà une vingtaine de garçons formaient un cercle autour d'eux. 

Henri devînt anxieux, il ne savait toujours pas où il était ni qui étaient tous ces garçons mais celui qui l'effrayais le plus c'était celui qui semblait être leur chef, ils l'écoutaient et faisaient tous ce qu'il demandait

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Henri devînt anxieux, il ne savait toujours pas où il était ni qui étaient tous ces garçons mais celui qui l'effrayais le plus c'était celui qui semblait être leur chef, ils l'écoutaient et faisaient tous ce qu'il demandait.

P: Henri, je te présente les garçons perdus.

Henri fit un mouvement de tête pour tous les regarder.

Félix: Bienvenue au pays imaginaire !

H: Et toi qui es tu ? 

Maintenant les deux garçons se regardaient fixement.

P: Aurais-je omis de me présenter ? Je suis Peter, Peter Pan.

Le cœur d'Henri sauta un battement. Il le regarda étonné mais le cru sur l'instant puis lui demanda:

H: Pourquoi m'avoir fait venir ici ? 

P: Tu le sauras vite, mais crois moi Henri, tu as une tache importante à accomplir. 

H: Quelle genre de tache ? 

P: Tu verras au moment venu, pour l'instant prend cette arbalète. Félix, vient ici et met cette pomme sur ta tête.

Félix n'avait pas l'air très heureux d'avoir été choisi.

P: Henri, vise la pomme. 

H: QUOI ? Mais je vais le tuer! 

P: Seulement si tu ne te concentres pas. Alors tait toi et vise pour ne pas rater ta cible.

De toutes évidences Henri savait qu'il n'y arriverait pas sans blesser quelqu'un... Alors il se mit en place, leva son arme, visa et posa son doigt sur la détente, la pressa légèrement. A la surprise général, il pivota sur sa gauche et lâcha la flèche qui ne se dirigeait plus vers la pomme mais droit sur Peter.  Pendant un instant personne ne parla. La flèche filait vers sa poitrine à une vitesse où tout être humain aurait dû la recevoir en plein cœur mais Peter l'arrêta à quelques centimètres de celui-ci. Son regard devînt noir mais esquissa un sourire sarcastique, il leva les yeux vers Henri qui lui n'avait pas bougé et retenait toujours son souffle.

P: Henri, Henri, Henri... ( D'une voix de plus en plus basse )Tu ne croyais pas réellement pouvoir me tuer ? 

Henri ne su quoi répondre.

F: On devrait le tuer !

P: Voyons Félix, on ne tu pas nos invités de sang froid. Je crois plutôt qu'Henri à envie de jouer dans la cours des grands. 

Félix acquiesça et sourie en baissant la tête, tous se mirent à sourire dangereusement, ce qui inquiétait Henri.

P: ( En regardant Henri ) Tu veux jouer ? Très bien ! Jouons !

Henri n'u ni le temps ni l'envie de parler. Il vit tout les garçons perdus prendre un bâton et commencer à se battre entres eux. Peter vînt vers lui et lui en tendit un. Le jeune garçon le prit et lâcha l'arbalète qu'il avait toujours dans sa main.

P: Bat toi ! 

H: Que je me batte ? 

Peter prit un de ses garçons et le mis devant Henri.

P: Bat toi avec Henri !

Le garçon qui avait été choisit par Peter n'avait pas l'air plus âgé qu'Henri mais semblait ravi de devoir se battre contre le nouvel arrivant. Il n'attendit pas pour attaquer et donner des coups à Henri qui lui parvenait à en esquiver et donner certains par moment. Le combat fût stoppé pour laisser place au repas du soir autour du feu où Pan en profita pour expliquer les règles du jeu, le combat n'était qu'un avant goût.

P: Vous connaissez les règles mais je me dois de les expliquer à notre nouvel ami. Henri, le but est simple: survivre.

Ce dernier ne compris pas de suite mais continua d'écouter tout en sentant la peur le saisir.

P: Normalement ce jeu est réservé à ceux qui souhaitent faire parti des garçons perdus mais je vais faire une exception pour toi. S'ils survivent alors ils sont des nôtres en revanche s'ils échouent c'est qu'ils ont abandonnés ou bien qu'ils sont morts. Dans ce cas c'est qu'ils n'étaient pas fait pour êtres des garçons perdus.

Henri cru s'évanouir. 

H: Mais si je suis tué alors tu m'auras fait venir pour rien, je ne te serais plus d'aucune utilité. 

P: J'y ai pensé, c'est pourquoi ils ont interdiction formelle de te tuer en revanche rien ne les empêchent de te blesser mais rien qui te soit fatal.

H: Je ne veux pas jouer !

P: Je ne t'ai pas demandé ton avis. Le jeu commencera au crépuscule. Henri tu choisira ton arme et partira en premier, tu auras une heure avant qu'ils ne se lancent à ta recherche. J'espère pour toi que tu seras bien caché.

H: Comment je saurais que l'heure est passé ?  

P: Tu le sauras , maintenant mange pour avoir des forces.

Le crépuscule fût rapidement arrivé. Henri dût choisir parmi beaucoup d'armes qui entre les mains d'un de ces garçons étaient toutes aussi dangereuses les unes que les autres. Il décida de mettre le plus de chance de son coté en prenant deux lames de différentes tailles, il en glissa une dans sa chaussure, l'autre dans sa ceinture et pris l'arbalète qu'il avait eu plutôt dans la journée avec une dizaine de flèches. Henri s'apprêtait à partit quand Peter pris la parole.

P: Une dernière chose, interdiction d'utiliser de l'embrève.

Plusieurs garçons se mirent à protester mais ils n'eurent pas d'autres choix que d'accepter. Henri pût enfin partir. Il pris vers l'Est , il tenta tant bien que mal de voir où il mettait les pieds mais il faisait vraiment sombre dans la forêt et il n'avait pas pensé à emporter de torche. Cela faisait déjà trente minutes qu'il marchait quand il trouva l'entrée d'une grotte caché par tout un tas de roches et de buissons. Il décida qu'il y passerait la nuit et qu'il bougerait au petit matin. Il s'enfonça dans celle-ci et s'asseyait contre la paroi, il s'endormit de suite. Henri fût soudain réveillé en sursaut, il mit du temps à comprendre ce qui l'avait réveillé mais sût que le jeu commençait.

Peter venait de sonner le départ...

Peter Pan n'échoue jamais. [ En cours ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant