Chapitre 17

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A peine étais-je entrée, qu'elle m'assailla de questions.

-Que c'est il passé ? Pourquoi pleures-tu ? Est-ce Kay ? Où bien Alexander ?

-C'est … c'est … Alexander. Dis-je en sanglotant.

-Qu'est-ce qu'il a fait encore pour faire pleurer une aussi jolie fille que toi ?

Je lui raconta les événements qui s'étaient passé sans oublié aucun détail.

-Je vais aller le voir.

-Non, ne fait pas ça Yasmine. Il ne voudra pas t'écoutée.

-Je vais pas le laisser faire. Il va m'écoutée, tu vas voir. Dit-elle en claquant la porte de sa chambre.

Je sus rapidement qu'elle était entrain de toquer, puisqu'elle hurlait dans tout le couloir de la laisser rentrer. Puis plus rien, je suppose, qu'ils sont entrain de tranquillement discuter.

-Tu vas m'écoutée, oui. Hurla Jasmine.

Ma pensée s'avérait donc fausse. Au bout d'une dizaine de minutes, la porte de la chambre s'ouvrit sur une Yasmine toute souriante.

-C'est bon, le problème est réglé.

-C'est vrai ! Je peux allée lui parler ? Demandai-je en me dirigeant vers la porte.

-Mais pour l'instant, il n'est pas beau à voir. Dit-elle avec un sourire sadique.

-Ah, bon ? Pourquoi ?

-Je l'ai fait souffrir.

-Ah ! D'accord.

-Je lui ai dit de venir s'excuser quand il sera rétablie. Donc, tu peux rester ici en attendant. Dit-elle avec un énorme sourire.

-Bien sûr que je vais rester ici en attendant. Dis-je en la prenant dans mes bras. Merci pour tout, Yasmine.

-Mais de rien ma jolie.

-Yasmine, je veux ma revanche. Hurla le maître de sa chambre.

-Tiens, mais ça. Et après va le voir. Me dit-elle en me tendant un vêtement noir.

-D'accord. Dis-je en le prenant puis en me dirigeant vers la salle de bain.

J'enleva mon pull, mon débardeur et mon pantalon. Puis enfila ce que Yasmine m'avait donné. Je me regarda dans le miroir et vis qu'il était assez transparent. Tant pis, je lui fait confiance. Je sortis de la salle de bain.

-Tu es magnifique, ma chérie. Allez va le rejoindre. Dit-elle émerveillée.

Je sortis dans la chambre. Heureusement, il n'y avait personne dans le couloir et j'allais frappée à la porte du maître. Au bout de quelques minutes, celui-ci ouvrit la porte sans me voir.

-Je te le promets Yasmine que tu vas le regrettée. Dit-il avant de posé son regard sur moi.

Il me regardait de haut en bas. Puis il me pris le bras, me tira à l'intérieur de la chambre et ferma la porte à clé.

-Tu imagines si quelqu'un t'avait vu comme ça dans le couloir. Dit-il en rapprochant son visage de mon cou.

Je ne répondis rien. Sa respiration était rapide.

-Tu es magnifiques. Et je veux que personne d'autre que moi te vois dans cette tenue.

-Pourquoi ? Je l'aime bien. Moi. Dis-je pour le titiller un peu.

-Je t'en achèterais autant que tu voudras, si seulement je suis le seul à pouvoir te voir comme ça.

-D'accord. Dis-je le sourire aux lèvres.

Sa respiration devenait de plus en plus saccadée.

-Je suis que c'est Yasmine, qui te la prêtée. Dit-il d'une voix rauque.

J'hocha la tête.

-J'en était sûr. Dit-il en rapprochant son visage de mon oreille.

Je sentis son souffle chaud sur le coin de mon oreille.

-Tu es magnifique dans cette tenue. Dit-il avant de me mordre le haut de mon oreille.

Je lâcha un cri aiguë. Il glissa ses mains le long de mes bras, pour les remonter au niveau de mes joues.

-Je t'aime, Blanche. Comme un fou. Dit-il avant de m'embrasser.

Je répondis à son baisé, puis, après avoir demandé l'accès à sa bouche, nos langues dansèrent dans un rythme endiablé. Il glissa ses mains sur mes fesses, après avoir effleuré chaque parcelles de mon corps qui se trouvait sur son chemin. Puis me souleva. J'enroula mes jambes autour de sa taille. Il se détacha de moi et poussa un cri rauque. Je crois que j'avais effleuré son intimité. Je rougis. Il me plaqua délicatement contre le mur et continua de m'embrasser. Je sentais que mes jambes étaient entrain de me lâcher. Je glissa mes mains dans ses cheveux. Je sentis ses mains au niveau de mes cuisses. Tout en continuant de m'embrasser, il prit le bas de la nuisette pour me l'enlever. Je l'aida. Il attrapa mon collier, l'enleva et le mit dans sa poche.  Puis nous reprenions nos baisés. Il recula puis se dirigea vers le lit, mais ne quitta pas mes lèvres. Il m'allongea sur le lit et de mit à califourchon au dessus de moi. Il se sépara de moi et me regarda. Ce qui me fis rougir.

-Tu es splendide. Dit-il en glissant ses mains jusqu'à ma poitrine.

Je lui pris son visage et l'embrassa de nouveau. Pendant qu'il continuait ses caresses. Il se détacha de moi.

-On devrait arrêtés sinon je n'en serais plus capable après.

-Je te fais confiance.

-Tu es sûr et certaine de ce que tu veux.

-Oui.

Il m'embrassa passionnément, avant de dégrafé mon soutien-gorge. Il se détacha pour regarder et je tourna la tête. Je plaça mes bras sur ma poitrine pour la cacher.

-Tu n'as pas besoin de la caché, tu es magnifique.

Je laissa tombée mes bras sur le lit. Puis il me contempla, comme un enfant à qui on venait d'offrir une friandise. Il m'embrassa à nouveau, puis continua ses baisés sur tout mon corps pour finalement remonter jusqu'à ma poitrine. Je ne tenais plus, je me retourna et me mis à califourchon sur lui. Je lui enleva sa chemise et son jean. Puis je lui caressait les abdos, pendant qu'il jouait avec mes seins. Il se mit à nouveau à califourchon sur moi et me retira ma petite culotte, puis il enleva son boxer.

-Tu es prête ? Me demanda-t-il inquiet devant la tête que je venais de faire.

-Euh oui. Dis-je pas trop sûr de moi.

-Ne t'inquiète pas j'irais doucement.

-D'accord.

Il fondit sur ma bouche et m'embrassa, pendant qu'il me pénétra doucement. Je sentis une vive douleur au début. Puis je ne ressentis plus que du plaisir. Il commença à accéléré ses mouvements, lorsqu'il vit que je mettais détendu. Au bout d'au moins cinq minutes avec une voix rauque, il cria mon nom avant de jouir en moi. Ce que je fis également. Il tomba fatigué sur moi et me pris dans ses bras. Il remonta la couverture sur mon corps, il ferma les yeux puis je m'endormis le sourire aux lèvres.

Blanche comme neige , Rouge comme sang [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant