Chapitre 5 - La flamme avant l'incendie.

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La nuit tombait, son ventre gargouillait et sa vue se troublait. Entre deux, il n'avait rien fais d'intéressant depuis la pose de ses collets. Cependant une chose demeurait étrange : les bouteilles d'eau étaient encore fraîche par rapport à la température minimale que la voiture aurait pu occasionner. Il avait donc décidé de fabriquer un genre de frigidaire pour contenir les petites saucisses qu'il avait trouvé. Il mit donc les bouteilles autour des emballage pour faire une cage froide pour préserver ses futures repas. Pour la première fois depuis son réveil, il mangeait enfin. Il prit conscience que les saucisses, bien que très nourrissante, avait une date limite et des besoins plus demandeurs que les chips, donc, il prit soin de manger avant tout la viande et d'équilibrer ses repas ainsi que de se rationner. Il mangea trois des dix saucisses et bu un bon litre d'eau. S'il continuait ainsi, il devrait pouvoir tenir quatre jours au maximum entre les repas et un jour sans boire avec besoin max d'un demi-litre entre chaque pose, à rythme d'une vingtaine de jours avec sa nourriture et trente avec sa boisson. La nourriture allait posé davantage de problème sur le temps, il espérait donc beaucoup de ses collets.

La lumière se faisait rare, seule le feu qu'il avait entrepris pour griller sa nourriture faisait foi. Jason hésitait entre passer la nuit dans la tente ou dans la voiture. Au final, il choisit la voiture et s'y installa avec son sac de couchage, le ventre peu remplis mais bien hydraté, enfouit dans son sac de couchage, il gardait un oeil sur le feu qui perdait avec le temps de son ampleur et de ses crépitements. Il fermait gentillement les yeux, ne voulant pas dormir tout en étant tenté à le faire. Il se dit que le feu éloignait les prédateurs et qu'il ne risquait pas de voir cet animal étrange dont il a un vague souvenir.

Il était au bord du sommeil, à la frontière entre le rêve et l'éveil quand soudain il revint à la dur réalité : un bruit énorme et sourd retentit dans les bois, un bruit qui lui fit froid dans le dos, un bruit humain. Pris de peur, il était aux aguets. Il prit de sa poche une petite pilule d'endurance, comme pour se réconforter, ainsi que son couteau durement empoigné dans sa main droite. Des cris, des hurlements de terreur, des souvenirs dont Jason avait perdu connaissance de la nuit dernière. Des questions sautèrent par millier dans sa tête : Qu'arrivait-il pour que l'on crie de tel ? Qui criait ainsi ? Les gens supposé être avec lui dans ce véhicule sorti de l'inconnu ? Où étaient-il ?... Trop de questions auxquels il n'avait pas la reponse, des question plus que existentielles... des questions dont il avait besoin de la réponse par question de vie ou de mort. Il fit un dernier regard sur le foyer qui brûlait puis ferma les yeux involontairement et entendit un sifflement continu d'environ quatre secondes qui brouille tous les bruits alentours. C'était lui qui tombait dans les pommes. Il expira une dernière fois, puis après un temps indéterminé surement cour qui lui parut éternelle : Il reprit une inspiration inexpliquée, comme si un mort revenait à la vie, comme lorsque l'on reprend l'air d'une aventure sous-marine mal évaluée.

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Partie d'histoire optionnelle qui n'alterne pas la suite mais enseigne sur la vie de Jason(ce passage marque la fin de ce chapitre, la réel suite sera donc dans le chapitre 6)...:

Jason reprit une inspiration comme d'un retour à la vie. Il était autour d'une table bien dressée, avec une nappe, des services et des assiettes. Il y avait des chaises en bois tout autour de la table qui présentait de la place pour huit personnes, mais les service s'étalait uniquement devant lui et la place en tête à tête, séparé d'un chandelier. Il ne se leva pas, il était comme collé a cette chaise, il n'avait pas envie de bouger, il ne faisait qu'observer. Une horloge située, à côté d'un feu de cheminée allumé qui faisait la lumière tamisée qui parvenait jusqu'à lui, faisait un gros bruit à chaque mouvement de pendule. Sur sa droite, une pièce sans porte éclairé par une lumière électrique, un genre de canapé devant une télé et une autre pièce barrée d'une porte. Il était dans cette pièce qui lui était inconnue. Il attendait en regardant l'horloge qui affichait vingt-trois heure cinquante. Soudain une voix parvint à lui :"Chéri, il est bientôt l'heure". Il tourna sa tête du côté de la pièce ouverte à sa droite et la lumière s'éteignit. Une femme blonde avec des cheveux longs qui lui tombaient jusqu'au milieu du dos, une taille moyenne, une forme parfaite, en robe blanche comme celle utilisée lors des mariages, sortis de la pièce. Il ne la connaissait pas, mais elle était très belle, puis, elle continua :"Alors ? Quel est ta résolution pour cette année ?". Elle avait une voix enjouée, envoutante et sexy. Elle s'approchait avec un plat sur lequel un bon repas à base de poulet deumeurait. Elle le posa entre eux deux à côté du chandelier et elle s'assit puis servit du champagne à Jason puis à elle avec une bouteille pas peu chère. Il n'avait vu ni les verres ni cette bouteilles sortie de nulle part. Il se mit à stresser et regarda l'horloge qui affichait vingt trois heure cinquante huit. Cette scène n'avait définitivement pas duré trois minutes. Cela semblait impossible aux yeux de Jason. Il regarda la femme dans les yeux puis elle dit :" cinq, quatre, trois, deux, un..." puis cria "Nouvel..." elle n'eut pas le temps de terminer sa phrase que le temps se figea. Tout s'arrêta d'une seule seconde à l'autre. Il gesticulait sa tête de gauche à droite. Il regarda l'horloge qui affichait minuit pile, autant la trotteuse que l'aiguille des heure et des minutes étaient superposée verticalement sur minuit. Tout autour de lui s'engouffrait, toute les couleurs étaient aspirées, ce qu'il voyait perdait forme et tout redevenait noir. Une dernière phrase de cette femme parvenu dans sa tête : "Ne t'inquiète pas mon ange. Moi, je suis là."

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Fin de l'histoire optionnelle.

Merci à tous pour le temps que vous avez consacré à mon histoire, si vous avez lu ce passage je vous en remercie de plus ^^.

Je vous souhaite un joyeux réveillon et que vous puissiez tenir votre engagement annuel :) en espérant que vous irez bien pour toute l'année. Merci à vous, merci pour tout ! Même si ce message est court, j'y met toute l'attention possible.

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