Entre Rêve Et Réalité

¤ CHAPITRE 14 ¤

L'amour

Je rentre dans les appartements
de la reine (accompagnée d'un garde évidemment...).

- Salut Lise! M'exclamais-je en la voyant.
Elle me foudroie du regard et ordonne à un garde qu'on me mette dehors.

- Lise? Qu'est qu'il ne va pas? Demandais-je.
Lindorie débarque par la grande porte.

- Que se passe-t-il ici? S'interroge-t-elle.

- Angèle est entrée sans votre autorisation, mère.
Mère? Mère? MÈRE?!
Mais elle la connaissait depuis à peine deux jours!

- Lise? Qu'est ce qu'il te passe par la tête? Enfin, on est amies! Pourquoi j'aurai besoin d'un garde?

- À présent ne m'appelle plus "Lise". Je m'appelle Wilaïsse et tu me donneras le titre de "Princesse Wilaïsse".
Je devais être en train de rêver. Lise avait une pointe de médiocrité dans sa voix qui trahissait son caractère (jusqu'à maintenant) de fille plutôt agréable et douce. A présent elle paraissait arrogante et même un peu perdue. Lise avait dû s'imaginer que comme Lindorie est sa mère, (autrement dit la reine), elle pouvait avoir une vie de princesse.

Mais redescend chérie, ça fait deux jours que t'es là hein.

Mes pensées se laissaient lire sur mon visage, à leur plus grand désarroi.

- Hum, tu sais Wilaïsse, s'exprima sa mère, ce n'est parce que c'est... enfin la fille d'une mauvaise personne que ce n'est plus ton amie!

- Mais enfin mère, comment pouvez-vous dire cela? Elle a failli tous nous tués! Elle m'a fait perdre des années precieuses de ma vie, et lieu de cela je les ais vécue dans un coma!
  Je n'en revenais pas. Alors c'est pour ça qu'elles s'éloignaient de moi depuis deux jours. Ma mère (que je ne connais même pas) aurait fait quelque chose de mal et tout ça me retombe maintenant sur la tête.

Génial...

Je ressors de l'appartement, complètement énervée. Je retourne dans le mien pour pouvoir soufflée un peu.

                          ***
-Hey, tu vas bien?
Cédric s'assit à côté de moi, sur le grand canapé.

- Pas vraiment non, j'ai découvert que ma mère avait fait quelque chose de mal et que à cause d'elle Lise et sa mère ne veulent plus m'approcher.

- C'est bizarre, mais moi c'est la même chose.

- T'es allé les voirs aussi?

- Ouais. Ils m'ont complètement jetés.

- Faut qu'on fasse quelque chose Cédric.

- D'accord mais quoi?

- Il faut qu'on aille demander à des anciens qui connaissent sûrement l'histoire.

- Bon, bah, viens on va chercher.

Point de vue Thibault

Ça fait au moins dix heures que je marchais sans m'arrêter. J'avais les pieds en coton... Je ne comprenais toujours pas pourquoi je m'étais réveillé en plein milieu d'une forêt aussi loin du château. En tout cas, personne n'avait l'air de s'en être rendu compte. Déjà une journée que je m'étais éclipsé. Mais en même temps j'avais une bonne raison de le faire. Je ne voulais pas voir le secret qui menaçait Angèle de mourir. En même temps, Cédric avait déjà essayé, mais elle s'était mise à chanter!
Mais le jour où tout se produirai, je ne veux pas voir ses yeux qui seront fermé à tout jamais.

Retour point de vue Angèle

Nous nous étions rendus dans la maison du "sage", comme les gens le surnommait.

- Bonjour! Je m'appelle Angèle et voici Cédric, m'exclamais-je en face du vieux monsieur.

- Bonjour jeunes gens, que venez vous chercher?

- Hum, bafouilla Cédric, nous aimerions que vous nous disiez comment était la soeur de Lindorie.

- Grande, belle, intelligente, mais beaucoup moins que sa soeur. Elles se sont toujours détester. Lindorie était toujours au dessus de sa soeur Nienor. Alors celle-ci décide de prendre les enfants de sa soeur et par erreur elle y fait tomber les siens en plus... Pas très fut-fut rigola-t-il.

Je réfléchissais à cent à l'heure. Ce pourrait-il que la fille de Nienor, se soit moi? Je posa alors la question au sage.

- Oui, probablement. Mais alors jen déduis que le jeune homme à côté de vous serai votre frère. Vous avez la même marque sur le bras dit-il.

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Salut tout le monde! Ce chapitre est un peu moins long mais je ne voulais pas qu'il soit trop lourd à lire. En attendant j'espère qu'il vous aura quand même plu!
A samedi!
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