Petit-ami

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Aujourd'hui, ont n'apprenaient à rendre ridicule notre plus grande peur et honnêtement, je ne sais même pas c'est qu'elle la mienne. Oh putain...finalement, je sais c'est quoi et je ne veux pas que la classe voit ma peur, il est hors de question que je le fasse. Donc, j'ai fais par exprès durant tous les cours d'être la dernière et quand ce fut presque mon tour, le cour était finit, je l'avais échappée belle.

Rémus : Mademoiselle Black, veuillez restez je vous prie...

Tous les autres élèves quittaient la classe et certain ce moquait de moi croyant que j'avais fais quelque chose de mal et que le prof allait me punir. Quand nous fûmes seuls, il prit la parole.

Rémus : Pourquoi tu es restée derrière tout le cour ? 

Moi : Je ne voulais pas que les autres voient ma peur...Car à ma connaissance, j'en ai seulement une...

Rémus : Et c'est laquelle ?

Moi : Celle de voir l'homme que j'aime avec quelqu'un d'autre...

Rémus : Oh...

Je devins toute rouge en le disant. Rémus s'approchait de moi, il n'y avait que quelques centimètres qui nous séparaient désormais.

Rémus : Je pense que c'est quelque chose d'impossible Zara...

Moi : D'avoir seulement une peur ?

Rémus : Un peu...Mais aussi que je sois avec une autre femme que toi...

Je regardais Rémus dans les yeux, il était tellement beau, il pourrait avoir n'importe qu'elle femme et il est avec moi. Et oui, je sors avec mon professeur, mais il ne l'était pas avant, il me connait depuis que je suis enfant et cela me dérange pas. Je suis amoureuse de lui depuis longtemps et cela fait désormais un an et 4 mois que nous sommes ensemble, je crois bien que mon père aurait une attaque en le découvrant. Rémus est tout de même un de ses meilleurs amis d'enfance et je n'ose imaginer qu'est-ce qui va se passer quand mon père va savoir que son meilleur ami sort avec sa fille de 16 ans.

Rémus me regardait aussi dans les yeux, puis il penchait son visage vers le mienne pour m'embrasser tendrement. Quand nos lèvres se séparaient, j'aurais souhaiter rester ainsi pour plus longtemps, mais je devais aller à mon dernier cour de la journée et je crois que Rémus a un autre cour à donner dans peu de temps. Je le pris dans mes bras quelques secondes avant de quitter sa classe en lui envoyant un baiser de la main, le sourire aux lèvres.

Depuis ce matin, je n'avais pas eu la grande forme, cela s'était améliorer légèrement en parlant avec les jumeaux Weasley et d'avantage lorsque j'ai embrassée l'homme que j'aime et de le prendre dans mes bras.

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1 mois s'étaient écoulés depuis le début de l'année, les gens m'ignorait tout simplement désormais et je traînais avec les jumeaux dès que nous avions des périodes de libre. Hermione et moi parlions surtout dans la chambre ou quand elle n'était pas avec Harry et Ron. Le soir même qu'Harry m'avait rejeté, elle s'est excusé de son comportement. Au moins une autre personne dans cette école qui est mature et réfléchis et elle m'a dit que Ron aimerait bien me connaître d'avantage, mais qu'il était toujours avec Harry. Cela ne me dérange plus autant, j'ai les jumeaux puis un autre amis que je me suis faite. Il n'ai pas dans la même maison que moi, mais ont se parlent en dehors de cours, c'est un Poufsouffle, il s'appel Cédrik Diggory. Lui aussi ne me juge pas à cause de mon nom, ni de mon père. Il est très gentil et il me fait beaucoup rire et ce même lorsque nous sommes dans la même classe.

Entre Rémus et moi, les choses vont bien, c'est sur qu'ont ne se voit pas autant car il faut faire attention puisqu'il est désormais mon professeur. Il pourrait être renvoyé si ont nous découvraient tous les deux. Mais 2 à 3 fois par semaine, je me glisse en douce en dehors du dortoirs après le couvre feux pour le rejoindre dans sa chambre. La fin de semaine, nous allons parfois à Pré-Au-Lard prendre des marches ou ont restent ensemble dans sa chambre. Lors des nuits de pleines lunes, Rémus doit sortir de Poudlard et il va dans la forêt interdite car il est un loup-garou en plus d'être un sorcier et le matin avant que le monde ne se réveille, je vais lui faire sa potion. Quand nous vivions ensemble dans la maison de mon père, je pouvais rester avec lui et l'aider directement, mais maintenant que nous sommes ici, ils refusent que je l'accompagne. Il dit que la forêt interdite est trop dangereuse pour moi, qu'il y a bien des créatures horribles qui pourrait me faire du mal dont certaine que l'ont n'osent même pas imaginer. Il ne veut pas non plus que cela me nuise dans mes études de la magie à Poudlard, il ne veut pas que je manque des journées de cours pour lui. Car évidemment le lendemain de la pleine lune, il ne vient pas à son cour et ça Dumboldore le sait.

Ce soir, c'est la deuxième pleine lune depuis notre arrivé ici et ce soir, je vais dormir dans sa chambre comme ça, je serai sur qu'il rentre. Cela m'inquiète toujours quand il part tout seul toute la nuit, car comme il l'a dit, il y a bien des choses dans cette forêt interdit qui sont dangereuse. Je suis sûrement complètement taré et folle, mais l'idée que j'y aille ne me fait pas peur du tout, mais que lui y aille, cela me terrifie. J'ai peur de le perdre, de ne plus jamais ressentir la chaleur de ses lèvres sur les miennes. De ne plus ressentir ses mains qui me touche et de la sécurité ainsi que la chaleur que je ressens dans ses bras. 

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Ce matin, vu que je savais qu'il y avait la pleine lune le soir même, je quittais à pas de souris le dortoir des Gryffondor et je suis allée dans les toilettes pour fille. Dans celle-ci, personne n'y va depuis très longtemps et moi je les appel, les toilettes personnel de Mimi Geignarde.

C'est un fantômes qui est mort ici il y a environ 50 ans, si je ne me trompe pas. Elle est très gentille, quoique complètement bizarre et elle vénère Harry Potter, elle le trouve très mignon et elle regrette de ne pas être en vie.

Bref passons, après que la potion soit terminé, je l'a rangeais dans une pochette à l'intérieur de ma robe de sorciers et puis j'allais à la grande salle pour aller déjeuner. Il était 8 heures, mon cour commençait dans une heure, donc je devais me dépêcher.

Comme j'en avais pris l'habitude dans le dernier mois, je m'assoyais en face des jumeaux, qui eux aussi devait se dépêcher ce matin pour ne pas arriver en retard en cour. Mais ont n'a prit le temps de s'échanger quelques phrases tout en nous régalant du déjeuner. 

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C'était maintenant le dernier cour de la journée qui finissait et c'était celui des défenses contre les forces du mal avec mon petit-ami et ça tombait bien car je devais lui donner la potion, quoi que sinon je serais aller le voir après mes cours dans sa chambre pour le lui donner. Je prenais donc tout mon temps pour ramasser mes choses et personnes de ma classe ne voulait m'attendre évidemment. Dans le fond, c'est un mal pour un bien, car ainsi je peux rester en prenant mon temps au lieu de courir pour que personne ne nous voit. C'était aussi le dernier cour pour Rémus, il était déjà 16 heures, dans 5 heures mon petit-ami allait hurler à la lune. 

Lorsque toute mes choses furent rangés et les élèves tous sortis, je m'approchais de Rémus et laissait mon sac sur le bureau de la première ranger. Je lui tendis la potion et il me remerciait.

Moi : Que ferais-tu sans moi ?

Rémus : Pas grand chose...Il n'y a que toi aussi qui sait faire cette potion comme il faut...

Moi : Il faut bien que je sois bonne, j'aimerais être prof de potion plus tard...Je crois même que c'est pour ça que mon prof de potion m'apprécie tant...

Rémus m'enlaçait la taille de ses bras.

Rémus : N'oublie pas que tu es ma copine...

Moi : Jamais je n'oublierais ça...Je t'aime Rémus...

Rémus : Moi aussi je t'aime Zara...

Il penchait son visage vers le mien et caressait mes lèvres de ses douces lèvres qui m'avait tellement manqué durant la journée. Puisque hier j'avais dormi dans sa chambre comme j'allais le faire ce soir mais sans ses bras autour de moi.

Rémus : Ont devraient aller manger...

Moi : Mais je n'ai faim que pour toi mon loup...

En prononçant le surnom, je ne pus m'empêcher de rire légèrement. il n'aimait pas qu'on l'appel comme ça mais il savait que j'amais le taquiner.

Rémus : Tu vas me le payer cher ma belle...

Je me suis mise à courir jusqu'à son bureau, qui était séparé de seulement une porte de la classe et il m'a vite rattrapé. Il me portait comme un sac de patate jusqu'à son bureau, je ne me débattait pas, je savais que je n'arriverais à rien de toute façon et il refermait la porte derrière nous. Et je vous épargne le reste, disons seulement que nous avons pas fait de chose très catholique. 

La Fille Black {TERMINÉ}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant