Zayn, Lemon.

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"Essaie, ça ne te coûte rien, tu vas adorer."

"Détends toi et ne pense à rien à part te faire plaisir."

"C'est la meilleure sensation du monde".

Zayn souffla un bon coup, assis dans son lit. La tête entre les mains, il remuait toutes les paroles d'Harry en long, en large et en travers. Louis et Harry, en couple depuis un petit moment déjà, étaient très ouverts à propos de leur sexualité, et le bouclé avait conseillé au métis d'essayer de se doigter. "C'est tellement gay", pensait Zayn. Mais Harry l'avait contredit, lui expliquant qu'il le faisait bien avant de se rendre compte qu'il était homosexuel, et lui inventant des démonstrations un peu douteuses. Malgré cela, il paraitrait que c'était l'orgasme le plus fort qu'il puisse exister pour un homme.

"Vas y lentement."

Le beau métis, vêtu uniquement d'un caleçon noir Calvin Klein, s'allongea sur son lit, sentant son coeur battre fort dans sa poitrine. Pourquoi était-il si nerveux ? Après tout, il savait parfaitement qu'il n'était pas gay, puisqu'il avait une copine depuis plus d'un an. Sa main droite vint se poser sur ses abdos qu'il commença à caresser du bout des doigts, les sentant se tendre légèrement au toucher. Son autre main vint se poser sur ses pectoraux. Sa gorge s'assécha un peu lorsqu'il se mit à caresser le tour de son téton gauche avec son index.

"Tu devrais toucher tes tétons, c'est une partie super érogène."

Sa main droite se stabilisa au dessus de l'élastique de son caleçon et son index vint lentement caresser son téton qui se dressa au contact. Il lacha un petit gémissement de bien être en fermant les yeux. Il sentit son membre commencer à durcir dans son sous-vêtement et ses joues s'empourprer un peu. Il porta son doigt à sa bouche et l'y inséra, l'humidifiant de salive avant de le poser à nouveau sur son bout de chair, qui ne cessait de durcir, tout comme la bosse dans son caleçon, et de l'effleurer.

"Cherche toi un peu, fais durer le plaisir, taquine toi."

Zayn passa son pouce sous l'élastique de son caleçon et commença à caresser sa peau en dessous. Il était à présent complètement dur et n'avait qu'une seule envie : se toucher. Cela devenait de plus à plus pressant. Il retira complètement son caleçon et inspecta son membre tout en touchant son pubis : une virilité imposante avec des veines apparentes tout le long. En tant qu'homme, il en était plutôt fier. Un goutte de pré-sperme perla au sommet de son gland, lui donnant encore plus envie de se masturber. Il écarta un peu les genoux et effleura l'intérieur de ses cuisses en gémissant doucement, puis remonta caresser ses testicules de la main droite. Il remonta encore un peu jusqu'à toucher du bout des doigts son membre devenu douloureux tant il désirait se caresser. Un grognement incontrôlé sorti de sa bouche alors que ses hanches butèrent légèrement vers l'avant. Il prit finalement son membre lourd en main et commença à faire des vas et viens.

- Zayn : Hum...

Il était plutôt lent au début, puis il accéléra un peu en passant son pouce sur son gland mouillé et sensible régulièrement, augmentant son plaisir. Il décida de s'arrêter lentement afin de passer à la vitesse supérieure.
En se tendant un peu, il parvient à attraper le tube de lubrifiant dans sa table de chevet. Il écarta les jambes, hésitant, puis déposa le liquide froid sur ses doigts. Doucement, il porta sa main à son intimité, et commença à chatouiller son entrée avec son index. Pour l'instant, c'était plutôt excitant, et le jeune homme se mordit la lèvre. Il commença à enfoncer son doigt et sentit ses muscles se contracter autour. Difficilement, il l'enfonça jusqu'au bout et resta un petit moment comme ça, essayant de se détendre, avalant sa salive difficilement. Il commença à bouger doucement son doigt, et adopta un rythme modéré de vas et viens qui commençaient à lui faire du bien. Il lâcha un gémissement en accélérant, puis eu l'idée d'ajouter son majeur. "Ca n'a rien de gay, je cherche seulement à me faire le plus de bien possible", se disait-il. Au début, ce fut douloureux mais lorsqu'il commença à se masturber en même temps, il se détendit et put accélérer.

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