Chapitre 1 : Et merde! C'est lui.

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CHAPITRE 1 : Et merde! C'est lui.

Le chapitre 1 à été corrigé et modifié. Les autres chapitres sont en cours de correction et de modification. Je ne posterais de nouveau chapitre qu'apres ceux-ci corrigés. Merci d'avance. Bonne lecture

Je me suis toujours demander ce que sa ferai d'avoir une vie normale, avec un père et un mere qui s'aiment, un frère complice et des amis de confiance avec qui je pourais rire et etre moi meme.

Ma tante me regarde et ris, puis redevient silencieuse. Je n'ai rien écouté de ce qu'elle me disais.
Je lui souris, elle aussi me sourit.
Le bruit d'une porte s'ouvre et je soufle en silence. Il est déjà l'heure.

« Émily, me dit ma mère, il est l'heure»

J'embrasse ma tante sur la joue, et lui dit au revoir. Je sors de la chambre, laissant ma mère seule avec ma tante. J'avance dans le couloir de l'hôpital, à travers les brancards et les patients.

Tante Miya est hospitalisé depuis deux semaines. Je ne connais pas les raisons exactes mais je sais qu'elle va bien. J'ai dormis à l'hôpital apres que notre maison ai pris feux " accidentellement " C'était hier, et pourtant, je vais bien. Nous habitions dans cette maison depuis une dizaine d'années . Je ne réalise toujours pas. Maman et moi n'avons rien eu, et papa était en déplacement.

À ce moment précis, mon père arrive par la porte de service. Je pense qu'il ne sait pas nous allons vivre désormais.
HO!! Mes livres! Je viens de me rendre compte que tout a brûlé ! Je n'ai plus de quoi me distraire. Plus de livres, de musique, de vêtements, plus rien !

« Bonjour Émily » me dit-il, le visage neutre.

« Salut papa » je répond froidement et regarde le sol tandis qu'il me fait un bisou sur la joue, avant de rentrer dans la chambre avec tante Miya et maman. Je ne suis pas le genre de fille culcul complice avec mon pere, je suis plutôt distante avec lui, depuis il y as deux ans.

Une fois la porte fermée, je replonge dans mes rêves.
J'observe le monde, les passants, je pense. Devant moi, une personne dort sur un brancard, une autre pleure en silence plus loin dans le couloir. Mais le silence règne. C'est dinge l'agitation qu'il y as dans les hôpitaux alors qu'aucun bruit ne résonne.
Mes parents sortent en même temps de la chambre, environ quinze minutes plus tard.

« Émily, on y va. » Me dit ma mère en me regardant avec un air de " obéis-ou-je-te-tue-maintenant" plaqué sur le visage.

Je ne réponds pas et me lève avec nonchalance pour rejoindre la voiture. Le regard au sol, je marche droit devant sans prêter attention à ce qui m'entoure. Continuant à marcher, je suis stoppé net par quelque chose, ou plutôt quelqu'un.
Je recule en tibutant et leve les yeux vers cette personne.
Un docteur, brin aux yeux bleus, me regarde comme une enfant. Figé par la panique, je lance une rapide excuse et passe mon chemin. Je suis assez maladroite.

Arrivé à la voiture, je monte la première. Mes parents m'imitent et montent à leurs tours et je les regarde, silencieuse. Je m'apprête à leur parler, mais ma mère prend les devants .

« Ma chérie, nous allons loger chez David et Ellen, des amis de ton père » me dit-elle, souriante.

« Qui est-ce ? Et où habite-t-il ? » Je demande uncrédule. Non pas que cela me déplaise d'avoir un toit, mais un hôtel aurait suffit. Je n'aime pas déranger ou attirer l'attention. De plus, il faut que je puisse me concentrer pour la fin du lycée.

« Il s'appelle David parker, tu ne le connais pas » affirme ma mère.

PARKER?? Je dois rêver, oui probablement. Parker est aussi le nom d'un garçon connu au lycée: Justin Parker.
Bien sur, il ne me connaît pas, je ne suis pas populaire ou connue. Je préfère la discrétion et la simplicité. C'est mieux comme sa. Je suis timide, mais j'ai de la répartie, bien qu'elle ne me serve pas vraiment, personne ne me chercher d'ennuis.

Parker et un Bad boy du lycée, plutot connus et aussi méchant et stupide que sa bande d'amis populaire.

« Écoute Émily, dis mon père, me sortant de ma rêverie, on essaie de faire le mieux pour toi, mais nos moyens ne nous permettent pas de refuser l'offre de David.» Fait-il, anticipant ma réponse, voyant que je ne réagissait pas.
Je ferme les yeux et prends une profonde inspiration, puis expire.

« Je sais, papa, je sais » je souffle.

Je prie intérieurement pour que ça ne soit pas chez ce Parker la, que nous allons séjourner, je ne veut pas me faire remarquer. Il existe beaucoup de Parker dans cette ville.

Le trajet pour aller chez les Parker paraît interminable. Mais nous arrivons finalement devant une maison immense.
Famille de riche ! Je pense.
La liste de Parker dans cette ville se resserre, il n'en existe pas des millions qui sont riches.
Papa sonne devant le portail et une voix retentit, celle de David sans doute.

« Bruce ! Entre mon ami, nous sommes heureux de te recevoir!»

La voix crépite légèrement à travers le dictaphone, mon père répond.

« Merci beaucoup »

Sur ce, le portail gigantesques s'ouvre et nous laisse pénétrer dans l'immense propriété des Parker. Je suis ébahie par la taille de cette maison, elle doit faire quatre ou cinq fois la nôtre.
Nous nous garons en bas des marches se trouvant devant le porche de la maison,derrière une fontaine immense qui se situe sur une mini place. De chaque côté de la maison, deux voitures sont garé, de la marque Audi, Volkswagen et Porsche. J'observe le paysage, comme si j'étais en plein rêve.
La silhouette de David se dessine entre la porte et l'un des poteaux du porche.
Il salue mon père, qui me fait signe de descendre de la voiture. Je m'exécute et prends mon sac à dos en forme de chat, c'est le seul que j'ai réussi à sauver de l'incendie . À chaque fois que j'y repense, mon estomac se noue.
Je suis mes parents jusque sous le porche immense et m'arrête deux mettres derrière eux.

« Bruce, judy, s'exclame une voix féminine, quel plaisir, entrer »
Je suppose qu'il s'agit d'Ellen, la femme de David. Son regard tombe alors sur moi.

« Tu doit être Emily, me dit elle en me faisant une étrange accolade, quelle magnifique jeune fille est tu ! »

« Enchanté » je réponds timidement.

Nous entrons dans l'immense maison et je sent ma machoire se décrocher lorsque j'entre dans un salon d'une taille semblable à celle d'une salle des fêtes.
Le sol en marbre blanc attire mon attention, recouvert au centre de la pièce d'un tapis blanc aux bordures or, trois canapés installés au centre de la pièce, en direction de la cheminée juste en face, au-dessus de laquelle est accroché un écran plasma.

« Émily, si tu savais comme j'aurais aimé avoir une deuxième fille ! »
Elle me regarde en plissant légèrement les yeux, l'air sérieuse, puis d'un coup, elle explose de rire, réchauffant instantanément l'ambiance de la pièce. Son mari la suit dans son rire.

« Je rigole ma chérie, ne le prend pas mal » elle rit toujours autant.
Chacun son humour, écoutez.
Je rougis en voyant tous les regards de la pièce tournés vers moi.

Un bruit de porte retentit et l'attention est attiré par quelqu'un d'autre, ouf !
Je regarde dans la direction d'ou venait le bruit et voit une silhouette grande est imposante passer. Je me retourne en direction de Ellen lorsqu'elle parle.

« Tiens, voilà ma fille ! » Dit elle trop fort pour que ça ne soit naturel, en insistant sur le mot "fille".
Je lui souris bêtement , puis des frissons parcourent mon dos :

« Maman, râle une voix qui est tout sauf féminine, ai-je vraiment l'air de ressembler a une fille? »

« c'est un peut sexisme comme propos! » Je repond du tac-au-tac sans penser à la personne se trouvant deriere moi.

Puis je prend concience et alors je n'ose pas me retourner à l'entente d'un rire masculin, grave et sexy à la fois, pour découvrir la personne qui se tient derrière.

« Justin, voici les Underwood, ils vont résider ici quelques temps. » Nous présente Ellen.

ET MERDE!
c'est lui.

Heart SlayerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant