Coucou les gens ! Ça va ? Moi super !
Alors on se retrouve pour le dernier chapitre de cette fiction, j’espère que la fin vous plaira ! :)
Pour ceux que ça intéresse, je vais sortir le Tome 2 de "une nouvelle vie ensemble" aujourd’hui ou demain !
Bref !
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Bonne lecture !
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Chapitre 5 : Après la pluie, le beau temps
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PDV Externe
.Le soleil était haut sans le ciel, et il faisait une chaleur cuisante en ce mois d’août. Mieux ne fallait-il pas être dehors par ce temps, à moins de vouloir mourir de chaud ou d’insolation. Une légère brise venait de temps en temps rafraichir l'aire, mais ça ne durait généralement pas longtemps. Il était environ 14h30 de l’après midi, et les touristes affluaient dans les rues de Nantes, profitant du dernier mois de leurs vacances.
La maison des Sommet était silencieuse, ses habitants étant sûrement assommés par la chaleur. Les volets étaient fermés, pour qu'il fasse le plus frais possible dans la bâtisse.
Cela faisait à présent deux mois que ce drame c’était produit : deux mois que le Patron avait violé Mathieu.
Ce dernier ne s'en était pas remis, évidemment. Il ne pouvait pas s'en remettre. Il se laissait mourir petit à petit, devant ses trois autres personnalités qui impuissantes, ne savaient pas quoi faire. Que lui était-il arrivé ? Pourquoi se comportait-il de cette façon ?
Le criminel avait déjà tout oublié. Au début, il avait culpabilisé, évidement, mais ça n'avait pas duré longtemps. Maintenant il n'y pensait plus, et quand ça arrivait, il ressentait seulement un petit pincement au cœur, mais rien de plus.
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PDV Patron
.J’étais dans ma chambre, affalé sur le lit, totalement nu étant donné que je ne voulais pas m’encombrer de vêtements avec cette chaleur. Je ne faisais rien, de toute façon il faisait trop chaud pour faire quoi que se soit. La pièce était plongée dans le noir, je n'avais pas voulu ouvrir les volets pour laisser le plus d'aire frais possible à l’intérieur.
J’étais fatigué, je n'avais pas beaucoup dormit cette nuit. Pourquoi ? Je ne sais pas, sûrement parce que je pensais trop. J'avais pensé à plein de chose, aux crimes que j'avais commis -j'en était très fier- au temps qu'il faudrait pour faire le tour du monde, et à combien de nuages ils y avaient dans le ciel. C'est vrai, si je me concentrais, est ce que je pouvais les compter ? À partir de quel moment un nuage disparaissait-il ? Oui, j'avais passé la nuit à me poser ce genre de question conne, n'arrivant pas à fermer l'œil.
De ma chambre, j'entendis quelqu’un entrer silencieusement dans la salle de bain, et le bruit de la douche retentit quelques secondes plus tard. Ça devait encore être Mathieu. Depuis un certain temps, il prenait au moins trois douches par jour, si ce n’était plus. Étrangement, le ballon d'eau chaude était toujours plein pour nous, malgré toute l'eau qu'il utilisait. Pas besoin d’être un géni pour deviner qu'il prenait des douches froides. Sûrement à cause de la chaleur…
Nous ne nous étions pas parlé, pas croisé et encore moins vu depuis que je l'avais violé. Ces deux mois sans le voir m'avaient presque fait oublier les traits de son visage. Il ne sortait plus de sa chambre, et les autres personnalités essayaient en vain de comprendre ce qui lui arrivait.
Ils étaient obligés de lui apporter sa nourriture dans sa chambre, pour ne pas qu'il se laisse mourir de faim. S’ils avaient de la chance, Mathieu leur ouvrait la porte et prenait son repas avant de la refermer presque immédiatement. Sinon, ils attendaient devant sa chambre, le harcelant jusqu’à ce qu'il accepte d’ouvrir. Généralement, le Hippie et le Geek abandonnaient facilement. Seul Maître Panda résistait, et arrivait à le convaincre de manger. Il avait même déjà réussit quelques rares fois, tard le soir, à le faire sortir de sa chambre pour aller dans la cuisine. Je n’étais jamais dans la même pièce que lui, mais je l'entendais sortir avec la japonaise pour aller en bas depuis ma chambre. J'arrivais à entendre quelques brides de leur conversation, mais rien de plus. De toute manière, Mathieu ne parlait pas. Maitre Panda lui posait des questions, et s’il le voulait, il répondait.
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Malade d'amour
FanfictionIl était tellement séduisant dans son costume aussi noir que la nuit. C'était un monstre qui se fichait de jouer avec les sentiments des autres. C'etait un criminel, un meurtrier. Comment pouvait-on être si dangereux et attirant à la fois ? Et à cha...