Je serai toujours là.

Partie 1

Victoria 

Mon portable sonna. Je tendis le bras, décrocha et répondit d'une voix encore endormi.

         -Allô, Lucas ?

         -Allô, c'est Claire...

J'entendis un petit reniflement. Elle avait la voix qui trembler.

           -Qu'est ce qui se passe ?

Un silence s'installa, puis elle dit.

          -Lucas vient d'être emmener par une ambulance. Il a...On a eut un accident. Tu peux venir s'il te plaît ? Il est à l'hôpital de Black Moon.

         -Ok, j'arrive. 

Je me leva, enfila un jean, pris mes affaires, la voiture et parti. Le stress et la peur de perdre mon petit copain me compressa la cage thoracique. Sa sœur devais être affoler. Je roula tellement vite qu'un radar prit la plaque d'immatriculation de la voiture de mes parents. Tens-pis.  Arriver à l'hôpital, je demanda à l'accueil un Lucas  et une Claire Riven. L'infirmière me montra une fille dans la salle d'attente, c'était Claire. Lucas était dans un bloc opératoire.

        -Coucou, j'ai fais aussi vite que j'ai pu. 

Lui dis-je doucement.

           -Merci Victoria. Je suis désolé. Je sais pas trop quoi faire.

           -ça c'est passé comment ?

           - Je n'ai pas le droit de le dire.

           -Comment ça ? 

J'étais stupéfaite. 

             -Lucas ne veut pas que je te le dises. La seule chose que je peux te dire c'est que l'on était en voiture.

              -Mais quelqu'un vous as percutés ? 

              -Je peux rien te dire.

              -Qui conduisait ?

             -Lucas.

Un silence s'installa. Je me plongea dans un souvenir. Le premier baiser échanger avec mon petit-copain. Il m'avait donné rendez-vous dans le parc près de chez moi, pour s'expliquer de la conduite qu'il avait eut le mercredi avec moi. Il m'avait complètement ignorer et avait fait comme si je n'étais pas là. Tout ça devant cette Jessica qui s'amuser à lui faire les yeux doux. Alors ce jour là, j'arriva sur le ponton près du lac. Il arriva deux-trois minutes après.

(Flash Back)

             -Je suis désolé pour mercredi, j'aurai pas dû te faire ça. Mais je n'avais pas le choix.

              -Pourquoi ? Te rends tu comptes du mal que tu as pu me faire ? 

              -Je  peux te dire la raison et oui je me rends compte de la douleur que je t'ai infligé et je m'en suis voulu.

J'étais aux bords des larmes.

               -Dis-moi la raison. MAINTENANT !