Sentiments frivoles

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Je traîne dans la nuit sombre,
La ville commence à s'illuminer, je vois danser les ombres.
Je flâne dans les rues de la capitale,
Je cherche, et enfin poursuis mon idéal.
Je sens maintenant quelques gouttes d'eau:
La pluie s'abat sur la population nocturne.

Les rues pavées, la fumée des cigarettes, les lumières, l'amour.
Paris enfin montre son vrai visage.
J'aimerais que ce voyage,
Ne soit qu'un allé, qui n'y ait jamais de retour.
Les rues encore pleines de vie,
Je passe à travers les corps, d'un pas accompli

J'ai longtemps espéré ce moment.
Oui, mademoiselle, peu importe le temps,
Je n'ai cessé de penser à vous.
Aujourd'hui, je vous vois, avec votre sourire et vos cheveux blonds
Pas si lointain est le temps où je rêvais de cette fille, de sa description.
Peu importe, la foule devient maintenant flou.

Mais le clocher commence à sonner,
Minuit.
Pourquoi nous séparer ?
Restez.
Trop tard, son corps dans la nuit, disparaît.

Le recueil d'un vagabond Where stories live. Discover now