Lorsque Le Passé Modifie le Futur { FINI}

Avada KadaQUOI!

Note de chapitre:
Salut c'est moi! eh oui je suis de retour avec une nouvelle fic! Bye bye!

***

-Alors Potter, tu crois vraiment qu'un jeune homme sans talent comme toi peut vaincre le sorcier le plus puissant du monde.

Harry regarda l'homme à face de serpent et sentit ses entrailles se tortillés dans son estomac. Il était nerveux, il n'avait pas réussi à détruire le dernier horcruxe. Ron et Hermione cherchaient encore un moyen de le détruire et Voldemort était arrivé pendant ce temps. Le jeune sorcier de 17 ans regarda le mage noir et leva sa baguette magique. Il lança un experliamus mais le sortilège ricocha sur un tronc d'arbre. Le seigneur des ténèbres lança le sortilège du Doloris et le jeune homme se tordit de douleur par terre.

-HARRY! 

Le hurlement de Lupin vint déconcentrer le seigneur des ténèbres. Harry sentit ses poumons arrêtés de lui brûler et se leva avec difficulté. Il ne sentit pas le regard inquiet de son ancien professeur de Défense Contre les Forces du mal. Il évita de justesse un sortilège de la mort et roula sur le sol. Il vit alors les échos de trois personnes qu'il connaissait bien, son parrain, son père et sa mère. Ils le regardaient d'un air triste, mais bienveillant. Harry sentit toute peur le quitter. Pourquoi avoir peur de la mort, lorsque toutes les personnes qu'il aimait étaient mortes. Il se leva et fit face au seigneur des ténèbres.

-Alors Potter, enfin sortit de ta cachette? ricana Voldemort en pointant sa baguette sur Harry.

Des tas de souvenirs lui revint en mémoire. Les berceuses que sa mère lui chantait lorsqu'il était bébé, ses expéditions sur le balais-jouet que Sirius lui avait offert pour son premier anniversaire, les blagues qu'il avait fait avec Ron, les sourires d'Hermione, Lupin lui montrant comment faire un patronus et finalement Sirius qui passait au travers le voile. Il ferma les yeux en voyant la gerbe de lumière verte voler vers lui. Soudain le sortilège le frappa et une énorme explosion de flammes blanches vint illuminer le ciel de Poudlard. Voldemort se retourna vers ses fidèles qui avaient instantanément cesse de combattre et vit des larmes commencer à apparaitre sur les visages des membres de l'ordre du phénix. Ils baissèrent lentement leur baguette magique et entendirent un cri désespéré:

-HARRY! NON CE N'EST PAS VRAI!

Hermione arriva en courant et chercha des yeux le corps de son meilleur ami. Voldemort éclata de rire et dit d'une voix forte :

-Sorcier écoutez-moi bien, je suis prêt à passé par-dessus cette petite guerre, mais rendez vous immédiatement sinon j'ordonnerai à mes mangemorts de vous exterminez tous. Votre défenseur est mort.

Lupin vit avec horreur Ron et plusieurs membres de l'Ordre en faire autant. Il sentit une colère l'envahir. Il prit une grande inspiration et saisit le poignet d'Hermione. Il transplana hors du parc de Poudlard, désormais plus protégé par le bouclier anti-transplanation. Voldemort eut un sourire sadique et murmura :

-Bellatrix, allez retrouvez notre loulou et la sang-de-bourbe à Potter.

Il sourit d'un air satisfait. Dire que le vieux fou lui avait annoncé sa mort.
Il était loin de se douter qu'il venait de faire une des pires erreurs de sa vie.

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Harry se sentit propulsé vers le ciel et il s'évanouit sur le coup. Une petite pluie froide vint lui chatouiller la nuque et il ouvrit lentement les yeux. Il sut alors qu'il n'était pas mort, un mort ne souffrait pas autant. Il s'appuya sur ses paumes et se leva lentement. Il regarda autour de lui et s'aperçut que quelque chose clochait. Il posa une main sur son visage et ne sentit pas ses lunettes. Il fonça les sourcils, pourtant même sans ses lunettes il voyait très bien. Il était devant le parc, alors que son combat avec Voldemort s'était déroulé dans la forêt interdite. Il jeta un regard à son école et sursauta de surprise. Poudlard tenait encore en un seul morceau alors que la tour de Gryffondor venait de s'écrouler à peine une heure plus tôt. Ne comprenant vraiment pas le phénomène magique qui l'entourait, il marcha à côté du lac et vit une silhouette lointaine, toute vétue de bleu. Il courut vers la femme et reconnu le chignon si caractérielle du professeur Mc Gonagall.