Les envies de rejoindre l'autre monde

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Chaque jour était un jour rempli de coups et de blessures. Je faisais mon possible pour éviter d'inquiéter et d'alarmer mes proches alors, je faisais en sortes que mes notes suivent. C'était le cas alors personne savait que j'étais re-devenu le bouc émissaire. J'osais même plus adressé la parole à ma petite amie et un soir, je l'ais appelé pour lui dire que je l'a quittait. C'était le moment le plus dans ma vie. Et c'est à ce moment là que j'ai ressenti comme un vide en moi, alors j'ai commencé à soulager ma rage en prenant un compas et en commençant à me gratter la peau avec de plus en plus de violence. Chaque jour c'était la même chose: Réveil-Collège-Bagarre-Maison-Scarifier. Bien sûr, au début juste l'envie de me gratter la peau m'apaisait mais au fil des jours, ma rage augmentait alors insistait de plus en plus sur la pointe du compas. Puis un jour, ils m'ont coincé dans les toilettes et ils m'ont frappé avec une telle violence que j'ai pu résister. Ils avaient sur eux des marteaux et ils ont commencé à me punir. L'un m'a tenu la tête et avec sa main m'a empêché de crier, un autre me tenait les bras contre le lavabo, deux autres me tenaient fermement pour éviter que je bouge et le chef m'a regardé dans les yeux, et m'a dit "Tu sais toi le PD ! On va te tuer ici même ! Je vais prendre ce marteau et je vais te casser tes poignets, puis je vais prendre une aiguille et je vais tranquillement te faire saigner pour que tu vide de ton sang." Deux coups ont été fait. Deux bruits bien distinct. Je suis resté conscient et je n'ai pas émit le moindre bruit pour ne satisfaire leurs pulsions demoniaque. Pour une fois ça a marché, voyant que je n'avais aucune réaction, ils sont partis des toilettes et m'ont ignorer de la journée. Comment j'ai fait pour écrire ? La douleur était tellement insurmontable que j'ai passé ma journée à vomir. Mes parents sont venus me chercher. Je suis rentré chez moi, je suis allé dans ma chambre, j'ai attrapé la corde à sauter, je l'ais accroché à mon abat jour, j'ai Procédé au noeud et quand j'ai mit ma tête dans le noeud, j'ai fermé les yeux et j'ai pensé à tout ce que la vie m'avait offerte quand j'étais loin de ce collège. Je me suis rendu compte de mes erreurs alors j'ai enlevé ma tête du noeud, j'ai séché mes larmes, j'ai enlevé la corde et je suis allé tout raconté à mes parents.

Histoire D'un Bisexuel collégienOù les histoires vivent. Découvrez maintenant