Dans la sombre forêt, j'avançais,
Sans jamais daigner m'arrêter.
Mais , oh non, jamais je n'aurai
Dû m'absenter en ce jour d'été.
Grand-Maman était fort malade
Et c'était une femme si formidable
Que, oh non, je ne supportais pas de
La voir mourir dans cet état.
Je m'étais enfui dans la nuit
Cachant mon visage sous la pluie,
Et j'avais couru vers le Nord
Espérant trouver quelques renforts.
Mais point de gens m'apportèrent aide
Car mon faciès était celui d'une laide.
Et je dû, pleurant, courrant, blessée
Continuer de désépérement chercher.
Un grand homme qui se disait :
« Puissant médecin de sa contrée »
Décida sous mes plaintes attristés,
Qu'il me suivrai jusque ma sombre forêt.
Mais quand nous arrivâmes ce fut
Trop tard pour trouver son salut.
Et le Grand homme s'excusait tristement,
De ne pas avoir pu aider Grand-Maman.
Et moi dans mes larmes je criais,
Que d'aux côtés de celle que j'aimais,
J'aurai dû rester toute la nuité,
Plutot que de l'aide, m'en aller chercher.