Chapitre 9: Un flambeau de désespoir 🔥___🔥

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À la fin des classes, Red ce dirigeat vers le gymnase comme elle en était assigné, pourtant elle ne dit pas un seul mot, elle semblait totalement dépourvu d'émotion. Après s'être changée, elle ce dirigea vers le gymnase dans lequel ce trouvait une corde de gymnase. Vue qu'elle ne s'attardait pas à discuter dans les vestiaires, elle était toujours la première dans la grande salle. Du coin de l'œil, elle aperçut une corde de gymnase. Les yeux de la gamine qui était dépourvu de sentiments ce fixairent sur la corde et la petite n'eut qu'une pensée.

Oh... Avec ça je peut en finir.

Red s'avança tranquillement vers la corde avant d'essayer de ce l'entourer autour du cou. Malheureusement pour la gamine, la corde était trop haute. Elle pris donc un grand matelas et elle s'en servit comme d'un escalier pour pouvoir atteindre la corde. Une fois la corde attachée à son cou, elle donna un coup de pied dans le matelas qui ne s'envolat pas plus haut que de deux centimètres. La gorge de la jeune fille s'abattit sur le bord de la cord ce qui coupa totalement le souffle à Red. En réalisant la douleur qui lui était infliger elle commenca à ce débattre et à essayer de détruire le noeu qu'elle avait fait avec la corde. Tout d'un coup, le professeur de gymnastique arriva et il pris deux seconde avant de réaliser la situation. Il vint en aide à Red et il dénouat finalement la corde qui avait laissé des trace de brûlure sur la gorge de Red. La petite avait les doigts en sang et commenca à pleurer toute les larme de son corp.

-  Je...   JE NE VEUT PLUS SOUFFRIR, crias la gamine.

-  Ça va, tout est fini.
-  J'ai appelé ta mère pour qu'elle vienne te chercher, dit le professeur de gymnastique.

Après que le professeur l'ai réprimender Red ne dit plus un mot pour le reste de la journée. Et elle cessa de pleurer après quelques heures. Après avoir avalé son souper, elle ce dirigea vers la chambre de son père défunt. Son père qui était mort à la guerre, possédait un fusil de chasse dans une armoire en acier. Il avait montré à Red comment s'en servir quand elle était plus jeune et il lui avait montré où était la clé juste au cas où elle aurait besoin de son fusil. Red ce pencha et elle se mit la main en dessou du tapis qui était en dessous du vieux bureau de son père. Elle agripa la clé et elle essuya la poussière qui c'était accumuler sur c'elle-ci. Red ce releva et elle enfonça la clé dans la serrure de l'armoire en acier. Un grand son métallique retentie dans toute la salle. Sa mère qui ce demandait ce qui ce passait commença à monter les marches. Red dégaina le fusil qui était solidement accroché à l'armoire. Elle ce le pointa vers la tête, une larme descendit de la joue de Red. Quand, dans un écran de fumer, la porte de la chambre de son père s'ouvrie. Sa mère la vit, le fusil à la main, elle courut aussi vite qu'elle en pouvait, pourtant, elle avait beau courire, le petit sourire désespéré de sa fille lui révélait tout...

Avec un sourire de désespoir,
Et une lueur d'espoir,
La gamine tira sur la gâchette,
Ce qui declanchat la hachette ,
Qui fera d'elle une brochette...

Clic


Pourtant, rien ne ce produit...

Sa mère s'écrasât par terre remplie de bonheur du fait que sa fille ne soit pas morte. Red s'écroulât également, mais pour une différente raison.

Le fusil n'était pas chargé...

- pourquoi... Pourquoi je ne peux pas en finir? dit la jeune fille en pleurant.

- Ne met pas fin à t'es jour ma chérie, je veux que tu reste avec moi, dit la mère de Red
- Je t'en supplie...

C'était la première fois que Red voyait sa mère supplier quelqu'un pour quelques choses. Normalement elle n'avait pas besoin d'aide, normalement elle s'occupait d'elle et normalement, elle ne demandait pas d'aide.

-... D'accord, dit sèchement Red.
- De toute façon j'en suis incapable.

- Oh Merci!!! Merci du fond du coeur, dit la mère en pleure.

Red câlinait la tête de sa mère, et sans même réfléchir elle dit...

-  Hey maman?

-  Oui ma puce?

Demain sera un jour pluvieux...


MOT DE L'AUTEUR:

Je vous remercie infiniment d'avoir lues ce livre, sa m'a pris une éternité à l'écrire, ne me critiquez pas s'il vous plaît, ce n'ait que mon premier livre.

Merci, de Bavier3

La vision RougeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant