Day 1

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J'ai toujours été seule,j'aurais bien aimé avoir des amis,une famille réunie et un petitcopain mais le destin en a décidé autrement ; ma mère estdevenue une prostitué pour un mec très riche, mon père c'est casséavant même que je puisse dire un mot et les gens m'ont collél'étiquette ; telle mère, telle fille. Ils ont interdits aleurs enfants de m'approcher et ils ont répandus la nouvelle afinque je sois la risée de tous. J'ai vécu seul de mes 10 ans a mes 18ans, ma mère m'envoie de l'argent en masse pour le mois et jem'achète ce que je veux, quand je veux.


Ces temps-ci, comme je n'ai pasreçu l'argent alors je suis obligé de manger les vieux yaourtpérimé depuis une semaine, ils ont un goût bizarre mais ce n'estpas sa qui va me tuer...enfin,je l'espère. Une fois mon repas achevéje prend mon sac de cours, me regarde 30 secondes devant le miroir etsort de chez moi. Je n'ai qu'a descendre les escalier, traverser laroute et tourner pour arriver a mon lycée, ce lycée que je haistant... ce n'est pas le lycée en lui même mais c'est les personnesque je rencontre a l'intérieur en passant par les pétasses, lesmachos, les intellos de services et les gros qui te bousculent dansle couloirs sans dire pardon. Et je ne parle même pas des profs quise rallient a la cause des élèves qui me regardent tous avec unregard plein de mépris...

L'après midi se passe commed'habitude ; nulle,chiante,a mourir. De plus comme je n'ai pasperdu mon temps a me faire des amis je lisais et relisais des livresa chaque fois que je ne fessais pas de taches ménagères je savaisdéjà tout et j'étais bien trop en avance.


Comme les cours a 17h furent finis,j'avais prévue de faire des courses avec le peu d'argent qui mereste pour acheter des plats préparer a réchauffer au micro-ondeset des fruits. En 10 minutes j'y suis. J'en achète deux puis despommes ainsi qu'une grenade. Il est 17h50. Les commerces se fermenttous un par uns et plus un chat en vue dans les ruelles quideviennent de plus en plus sombres. Je commence a ressentir unepetite douleur au dents, passagère mais vive. Je commence a rentrerde plus en plus vite chez moi mais au croisement je me heurte a l'undes gros con de ma classe, macho, sportif.


-Eh bin alors Lucy ? Quesque tuvient faire ici la nuit ? T'es venu faire le même métier queta mère c'est sa ? Eh bin moi tu sais quoi je vais te fairepartager un peu d'expérience !


Il me traîna de force jusqu'à uneallé en cul-de-sac où je me débattait et criait a l'aide maispersonne ne venait. Personne ne viendra jamais... je suis la seule apouvoir m'aider... mais je suis tellement en positions de faiblesse,il me jeta au sol et commença a enlever sa ceinture et abaisser sonpantalon. Je voulu m'en échapper en sprintant mais il me saisit aucoup par son bras, ça m'étouffait, il était en train de me tuer !Alors sans hésitation je le mordit de toutes mes forces son bras quisous le coup s'enleva vite de moi et il commença a hurler a la mort.Je ne pensais pas que sa aurait fait aussi mal...profitant du tempsqu'il se relève je couru en reprenant mes sacs qui étaient parterre et fonça a mon appartement. Je verrouillait tout et me laissatomber le long de la porte en ayant encore un peu mal aux dents. J'enai marre. Je voudrais que tout les personnes de ce monde soientmaudites !  

Zombie's lifeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant