Chapitre 1 : De feu et de sang

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Nous sommes en 1095, le pape Urbain II vient de lancer la première croisade d'une longue série qui fit couler du sang de chrétiens et musulmans sur la terre sainte, Jérusalem, la ville est d'abord contrôlé par les islamistes, les catholiques ayant réunit leurs osts, pour être finalement devant la ville en 1099, plusieurs assauts avaient été lancé mais aucun n'arrivaient à tuer ne serais-ce qu'un seul musulmans, jusqu'au jour où un général français du nom de Robert avait réussi à tenir assez longtemps pour pouvoir s'organiser, il donna l'ordre, aux trébuchets, onagres, ainsi que le bélier, tour de siège et échelle de se mettre en position pour l'assaut, les hommes se préparaient à suivre de près les engins de sièges pour engager le corps à corps, Robert lança l'ordre à toutes les unités de se mettre en marche et d'attaquer, le bélier et la tour se mirent à rouler, certains portaient des échelles sur leurs épaules, les machines de guerre lançaient des cadavres d'animaux en pleine décomposition dans la ville pour propager des maladies, le bélier venant d'arriver devant la porte on pouvait très distinctement entendre :

-ENFONCEZ CETTE FOUTUE PORTE ET DÉCHAÎNER LES ENFERS POUR LA GLOIRE DE LA FRANCE ET DE VOTRE ROI.

on entendit à peux près le même discours lorsque l'échelle et la tour de siège étaient face aux murs, à ce moment les hommes se mirent à enfoncer la porte, on entendait la même phrase chaque fois que le bélier fit son oeuvre :

-ALLEZ, ENFONCÉ.

Des morceaux de bois et de fer s'entrechoquèrent pour finalement laisser un trou béant dans la porte, il suffisait maintenant de retirer le bélier pour permettre de pénétrer dans la cité et semer le chaos. Maintenant que les murs étaient au service de Robert, après avoir réformer les rangs, l'armée adverse se plaça de façon à contenir leur adversaire dans les rues étroites de la cité, Robert se plaça devant ses troupes :

-Nous allons combattre ces infidèles, quelques soit le prix de nos morts et blessés, je veux que ce jour soit marqué d'une pierre rouge, nous serons reconnu pour notre héroïsme, même si nous mourrons tous, si vous voulez du sang alors suivez moi et battez vous jusqu'à votre dernier souffle

Il se retourna pour faire face à l'ennemi :

-SUR MON ORDRE

L'infanterie se plaça dans une position à la fois défensive et offensive, fléchi, bouclier en avant, épée en arrière :

-SOLDATS, MAINTENANT.

Les hommes étaient remplis d'un courage tel que le monde entier ne pouvait leur résister, alors le général ce mît a courir en direction de l'ennemi, tout le reste suivit, ainsi qu'un hurlement si puissant qu'il pouvait détruire des tympans, un choc violent se produisit, tellement grand que la terre trembla, du sang mélangé à des tripes et des boyaux se mirent à voler dans tous les sens, des cris de lamentations et de désespoir se fit entendre, les murs des maisons environnementes étaient recouvert de rouge, après un combat acharné, les français se faisait largement dominer, il ne restait plus qu'une poignée, contre plusieurs centaines de musulmans, Robert ayant réussi à survivre  dans ce carnage, se rendit compte de la situation :

-Merde, ces fils de chiens nous encerclent, on ne va pas tenir longtemps, si ça continue, il faudra que le tout-puissant nous viennent en aide.

Quelques minutes plus tard, un son résonnait dans toute la vallée, un son connu par tous les soldats européen et oriental, un son très reconnaissable, un choc de sabot contre le sol, on pouvait apercevoir au loin un oriflamme noir orné par un aigle jaune flottant dans l'air, c'est celui qui annonçait l'arrivée de la cavalerie du saint empire romain germanique.
Cette cavalerie était la mieux protégée avec une armure de plate créé par les meilleurs forgerons du monde connu, ainsi que leurs chevaux étaient complètement recouvert d'acier ce qui leurs permettait d'effectuer une charge dévastatrice.
Les islamiques savaient que leur fin était proche, mais ils devaient ce battre jusqu'au bout en espérant eux aussi avoir des renforts.
Les cavaliers s'arrêtaient au sommet de la colline qui dominait le champ de bataille, ils pouvaient clairement distinguer des personnes se déplaçant devant la troupe, mais l'oriflamme était différent, trois lions d'or sur un fond rouge, des anglais et pas n'importe lesquels.

C'était la fine fleur de l'archerie anglaise et reconnu comme la meilleure dans toute l'Europe, équipé de grands arc, très efficace contre n'importe quelle type d'armure, ils pouvaient très rapidement semer la mort dans les rangs.
Le cours de la bataille venait d'être renversé, Jérusalem était sur le point d'être libéré, la fin approchait, la cavalerie commença à charger et les archers dégainaient leur flèches pour noircir le ciel, les chrétiens avaient réussi a s'extirper de l'endroit pour permettre a la cavalerie de finir le travail, les lances baissé, les chevaux aux maximum de leur vitesse, l'adrénaline montant de plus en plus, en atteignant leur but, le sang gicla. Plusieurs hommes tombant et mourant sur place, souvent écrasés par leur chevaux.
Quand toute cette agitation fut terminée, les troupes restantes se retirait pour contempler l'ampleur de cette bataille, certains avec satisfaction, d'autres  qui venaient de dépasser leur limite. Une mare de sang se formait et ne cessait de grandir, les cadavres s'étaient entassés, et au bout d'un certain temps une odeur de pestilence commença à saturer l'air.
La ville venait d'être libérée, l'objectif avait été accompli, et pour récompenser les soldats, plusieurs jours de festivités furent organisés.
Alors qu'un messager s'occupait d'aller prévenir le pape en personne, malheureusement qui mourut deux jours après la prise de Jérusalem, ainsi six autre croisades suivirent laissant leur lots de victoire et de défaite, des millions de personnes furent touché par ces fléaux dévastateurs et meurtriers.

Croisade (histoire fini)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant