Chapitre 2 : le départ

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Quelques semaines après la bataille, les 3 généraux des différentes armées c'était réuni pour planifier leurs prochain mouvement, ils avaient enfin conclu de retourner chez eux, en remontant dans les terres turque, byzantine, hongroise et enfin polonaise, un long voyage mais les hommes étaient prêts a accomplir de grandes choses, une réunification des armées s'effectuait pour permettre de contempler l'étendue des forces en présence, 100 soldats à pied, pour pas moins de 500 archers et 700 cavaliers, alors que les derniers préparatifs se terminait, un messager français venait d'arriver au camp et demanda un entretien avec Robert, ce dernier l'accepta mais le rendez vous eu lieu dans la soirée. Les 2 hommes étaient dans la tente du général, debout, face-à-face :

-Alors qu'à tu as dire, tu n'as pas fait tous ce chemin depuis la France pour te taire.

-Et bien, pour ne pas vous mentir je suis venu vous voir, car la situation dans notre pays est devenu insupportable.

-Que veut tu dire par là ?

-Le roi est mort sans laisser d'hériter, ainsi que des villes du nord sont assiégé par les anglais.

-Et pourquoi est tu venu me chercher alors que je suis a des milliers de lieux de tous ça ?

-J'ai été présent à ses côtés jusqu'à son dernier souffle et il m'a dit qu'il vous choisissez pour monter à la tête du pays, et puis de vous débarrasser des anglais qui vous accompagne.

-Le nord, dit-tu, mais ils n'ont pas déjà la Normandie en leur possession ?

-Si, mais pendant que vous étiez en route, une rébellion à été mené, repoussant tous anglais des terres normandes, et bien sûr ça ne leur à pas plus, ainsi toute la côte nord est assiégé.

-Très bien, tu peux disposer, mais je ne veux pas que tu dise ce qui c'est passé ce soir, si j'entends quoi que ce soit je te ferait exécuté

-Oui, mon roi.

Robert se retrouva seul, il se plaça devant la table au milieu de la tente, qui est recouverte d'une carte où l'Europe est vaguement dessiné.

-Donc nous sommes en Palestine, et je veux rejoindre la France, si nous y allons à pied, les germaniques seront obligés de nous laisser sur le chemin et je me retrouverais avec les anglais alors que nous sommes en infériorité numérique, ils ne faut pas qu'ils atteignent la Normandie, le tournant de l'histoire pourrais changer, avec ou sans eux.

Robert quitta la carte des yeux, une idée venait de lui traverser l'esprit, une idée déshonorante mais il fallait la mettre en marche pour changer le cours de l'histoire.
Le lendemain matin aux aurores, les hommes étaient déjà debout prêt à partir. Alors que l'armée était réuni. Robert pris place sur une bute de terre surplombant les soldats, pour prendre la parole, alors que la stupéfaction se lisait sur le visage de ces derniers.

-Cher compatriotes, comme vous devez le savoir, nous allons faire route pour rentrer chez nous en passant par plusieurs terres hostiles, j'y ai beaucoup réfléchi et j'ai décidé de changer d'avis et de prendre la mer pour éviter tous les ennuis terrestre.

Des murmures d'incompréhension se faisait entendre. Une voix venant de l'ost étant adressé à Robert

-Mais il faudra attendre la construction des bateaux, cela nous prendra des semaines.

Robert rétorqua

-Justement j'ai aussi penser à cette éventualité, j'ai envoyé un homme au port de Jérusalem, le message qu'il portait indiquait que les constructeurs avait 1 semaine pour construire 200 bateaux, et c'est pile le temps qu'il faudra pour rejoindre le port.

-Mais c'est impossible.

-Je suis sûr qu'ils y arriverons, sur ce si, personne n'a rien à rajouter, nous partons, et je veux que tout le monde me suivent.

Les traducteurs ayant effectué leur aux 2 généraux, on voyait leur crainte sur leurs visages mais ils avaient une grande confiance en Robert et leurs hommes étaient très loyal.

La semaine passait, alors que la troupe marchait sans arrêt, ils arrivaient enfin au port, on pouvait distinctement voir une flotte gigantesque, pouvant transporter n'importe quelles armées. Des yeux d'émerveillement apparaissait devant tous ses navires. Robert ce plaça devant l'armée pour donner l'organisation de ce qui allait venir.

-Écoutez moi, voici ce qu'on va faire, les anglais vont embarqué en premier, ainsi que les allemands suivit de mes troupes.

L'embarquement commençai, tous les archers étaient installés ainsi qu'une majorité de la cavalerie.

Un léger sourire se lisait sur son visage pour enfin dire :

-SOLDATS, METTEZ LE FEU.

Des mercenaires que Robert avait payé avec ce qu'il avait obtenu du pillage de Jérusalem allumait le différents brasier dissimuler, les cales des bateaux étaient rempli de substance hautement inflammable, des cris de chevaux et d'hommes se faisait brûlé vif résonnait dans tous le port. Robert leva la tête au ciel

-Rien que d'entendre tous ces hurlements je trouve que c'est assez jouissif.

Un monstre était né, un monstre qui se nourrissait du sang et de la mort, ce monstre était roi de France, et déjà l'armée qui l'accompagnait le craignais. On pouvait aussi entendre d'autre hurlements, ceux des germaniques qui étaient toujours à terre se faisant massacrer par les nombreux mercenaires que Robert avait engager.

-Nous voilà débarrasser de tous ce monde, maintenant en route pour la France.

Une nouvelle ère venez de commence, une ère de massacre, de pillage et de sang, une ère de changement arriva.

Croisade (histoire fini)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant